Les Émirats arabes unis ont été frappés en ce début de semaine par une importante tempête. Au total, plus de 120 millimètres d'eau sont tombés sur l'État du Golfe, perturbant notamment le trafic aérien. Les images de Dubaï les pieds dans l'eau ont déclenché une forme de sidération à l'étranger, la ville étant plutôt connu pour son climat désertique.

Israël déploie un vaste programme de reconnaissance faciale à Gaza. Cette arme nouvelle permet de reconnaitre les otages contraints à se déplacer sous escorte du Hamas. Elle permet aussi de reconnaitre les barbares du 7 octobre qui ont laissé leurs traces sur les vidéos où ils fêtaient leur carnage.

Cet effort expérimental, non divulgué, est utilisé pour mener une surveillance de masse des habitants de Gaza, en particulier des terroristes selon des responsables militaires et d'autres.

Quelques minutes après avoir franchi un poste de contrôle militaire israélien le long de l'autoroute centrale de Gaza, le 19 novembre, Mosab Abu Toha qui serait un poète palestinien a été invité à sortir de la foule. Il a déposé son fils de 3 ans qu'il portait et s'est assis devant une jeep militaire.

Le groupe de hackers "Anonymous" a affirmé avoir réussi à dérober des informations provenant du réacteur nucléaire de Dimona, après avoir piraté son système informatique. Selon leurs déclarations, les hackers auraient volé sept gigaoctets de données, comprenant des présentations, des courriels et d'autres documents, sans toutefois préciser la nature exacte des éléments dérobés.

Anonymous a revendiqué cette action comme "un soutien aux Palestiniens", suite aux opérations militaires israéliennes menées dans la bande de Gaza. Le groupe, connu pour son organisation décentralisée et ses membres répartis dans le monde entier, a publié ces informations, bien qu'il soit difficile de vérifier leur exactitude.

Le magazine américain Newsweek a classé l'hôpital israélien Sheba de Tel Hashomer à la 9e place des meilleurs hôpitaux au monde. Dans le classement publié mercredi, le centre médical, qui se trouve en banlieue de Tel Aviv, a été choisi parmi 2 400 établissements hospitaliers de plus de 30 pays. Il se classe juste derrière l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, qui occupe la 8e place.

En Israël, l'hôpital Ichilov de Tel Aviv est classé 64e, et l'hôpital Beilinson de Petah Tikva classé 158ème. Selon Newsweek, le meilleur hôpital au monde est la Mayo Clinic, située dans la ville de Rochester, dans l'État du Minnesota aux États-Unis. En deuxième position figure la Cleveland Clinic, dans l'Ohio, suivie de Toronto General - University Health Network, au Canada.

L'industrie israélienne de la défense était présente en force au salon aéronautique de Singapour cette semaine, faisant son retour après avoir été largement absente du salon de Dubaï en novembre, dans le sillage de la guerre entre Israël et le groupe terroriste palestinien du Hamas, un sujet qui n'a pas été abordé lors du sommet de l'Asie.

Le ministère de la Défense et onze de ses sous-traitants ont participé au plus grand rassemblement aérospatial et de défense d'Asie, dont Israel Aerospace Industries (IAI), Rafael Advanced Defense Systems et Elbit Systems ESLT.TA.

IAI, Rafael, Elbit et le ministère de la Défense ont tous refusé de communiquer sur la guerre à Gaza, et notamment sur les performances de leurs propres armes.

Omer Sharar venait tout juste de produire une nouvelle technologie anti-brouillage GPS lorsque le Hamas a attaqué Israël. Depuis, son équipe travaille « jour et nuit » pour empêcher les mini-drones de l'armée israélienne d'être interceptés à Gaza.

Aux frontières d'Israël se joue depuis des années une guerre de drones longtemps menée par l'Etat hébreu, un des principaux exportateurs mondiaux de ces appareils volants qui permettent de surveiller ou frapper des ennemis.

Si l'armée israélienne dispose de technologies de pointe, le Hamas, au pouvoir depuis 2007 à Gaza, a développé ces dernières années un arsenal de mini-drones bon marché qu'il charge d'explosifs.

Des éléments hostiles ont tenté de s'emparer du réseau de communication d'un avion d'El Al en route vers la Thaïlande. L'appareil a néanmoins atterri comme prévu. De hauts responsables de l'entreprise soulignent que l'incident s'est produit dans la région somalienne, et qu'il n'a aucun lien direct avec la guerre en Israël, les avions survolant la zone étant souvent la cible de tentatives de cyberattaques.

"L'autorité locale de l'aviation civile somalienne a récemment publié une mise à jour à l'intention de toutes les compagnies aériennes mondiales concernant les perturbations de communication attendues dans cette zone. Les pilotes d'El Al ont également été informés du problème et ont reçu pour instruction d'utiliser des moyens de communication alternatifs dans un tel cas", a indiqué la compagnie aérienne israélienne. "Nous soulignons que les perturbations ne visent pas spécifiquement les avions d'El Al, et qu'il ne s'agit pas d'un incident de sécurité. La perturbation n'a pas affecté le déroulement normal du vol grâce au professionnalisme des pilotes qui ont utilisé les moyens de communication alternatifs, permettant au vol de poursuivre sa route comme prévu", a-t-elle ajouté. 

Lors des premiers jours de l'hospitalisation du jeune Eliézer Mzna'hem P. à l'hôpital Schneider, à Peta'h Tikva, ses proches entretenaient encore l'espoir qu'il s'agissait d'une maladie bénigne qui pourrait être traitée par antibiotique intraveineuse. Mais les jours d'hospitalisation se poursuivirent, les résultats des examens n'étaient pas bons, et le jeune homme, ainsi que sa famille et ses amis de la Yechiva, devinrent anxieux. Son diagnostic était un problème complexe aux intestins. Les médecins étaient indécis sur la marche à suivre... 

On leur proposa une opération complexe, mais les médecins doutaient de son efficacité. D'un autre côté, chaque jour qui passait accroissait le risque d'une grave hémorragie interne, qui constituait un danger de mort, que D' préserve. Pendant ce temps, le jeune homme était suivi de près, pendant que les médecins réfléchissaient à des pistes de traitement.

L'Iran a annoncé dimanche avoir lancé simultanément trois satellites en orbite, près d'une semaine après que le lancement d'un satellite de recherche par les Gardiens de la révolution ait suscité des critiques occidentales.

L'agence de presse officielle IRNA a déclaré que le lancement a également permis l'utilisation réussie de la fusée iranienne à deux étages Simorgh (Phoenix), qui a connu de multiples échecs dans le passé.

« Trois satellites iraniens ont été mis en orbite avec succès pour la première fois », a rapporté la télévision d'État.

Le satellite Mahda, qui pèse environ 32 kilogrammes et a été développé par l'Agence spatiale iranienne, est conçu pour tester des sous-systèmes satellitaires avancés, a indiqué l'agence de presse officielle IRNA.

Les deux autres, Kayhan 2 et Hatef, pèsent moins de 10 kilogrammes chacun et visent à tester la technologie de positionnement spatial et la communication à bande étroite, a ajouté l'IRNA.

La semaine dernière, le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien a envoyé le satellite de recherche Soraya dans l'espace.

La Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne ont condamné ce lancement dans une déclaration rejetée par l'Iran comme étant « interventionniste ».

Les gouvernements occidentaux, y compris les États-Unis, ont mis en garde l'Iran à plusieurs reprises contre de tels lancements, affirmant que la même technologie pourrait être utilisée pour des missiles balistiques, y compris ceux conçus pour transporter une ogive nucléaire.

L'Iran a rétorqué qu'il ne cherchait pas à se doter de l'arme nucléaire et que ses lancements de satellites et de fusées étaient uniquement destinés à des fins civiles ou défensives.

La République islamique a été confrontée à plusieurs échecs de lancement de satellites dans le passé.

Le lancement réussi de son premier satellite militaire, Nour-1, en avril 2020, a suscité de vives critiques de la part des États-Unis.

Téhéran est soumis à des sanctions américaines paralysantes depuis le retrait de Washington en 2018 d'un accord nucléaire historique qui accordait à l'Iran un allégement des sanctions en échange de restrictions sur ses activités nucléaires destinées à l'empêcher de développer une ogive atomique.

Vous devez impérativement apporter une preuve d'identité et un justificatif de nationalité française :
1. Preuve d'identité :
? Pièce d'identité française (passeport ou carte d'identité) en cours de validité ou périmée de moins de cinq ans.
? À défaut, un passeport étranger en cours de validité
Les originaux devront être présentés. Aucune copie, même numérique, ne sera acceptée.
2. Preuve de nationalité française :
? Soit une carte nationale d'identité (...)

Avez-vous récemment essayé d'utiliser Waze pour naviguer et avez-vous été surpris de découvrir que toutes les écritures sur la carte sont en arabe ? Votre application de localisation pense-t-elle que vous êtes en Égypte ou au Liban alors que vous habitez à Kfar Saba ou Givatayim ? Il ne s'agit pas d'un bug ou d'une cyberattaque, mais plutôt d'un brouillage GPS par l'armée israélienne suite à la reprise des combats à Gaza.

« Pendant les combats, le brouillage GPS est activé pour divers besoins opérationnels afin de protéger la sécurité des résidents de l'État d'Israël », a déclaré dimanche l'unité du porte-parole de Tsahal dans un communiqué. « Les citoyens doivent être conscients que le brouillage peut avoir des effets divers et temporaires sur les applications géolocalisées. »

L'effet de ces perturbations sur les utilisateurs n'est pas constant et évolue en fonction des besoins opérationnels de Tsahal.

« D'après le GPS, toute ma famille et moi sommes au Caire, mais nous sommes à Kfar Saba », a déclaré dimanche l'un des utilisateurs ayant subi les perturbations du GPS.

L'armée israélienne a commencé à perturber de manière proactive les signaux GPS au début de la guerre afin d'induire l'ennemi en erreur.

Les perturbations affectent non seulement les applications de navigation comme Waze ou Google Maps, mais également toute application basée sur la localisation. Par conséquent, il est recommandé dans l'application Home Front Command de saisir les paramètres et d'ajouter manuellement l'emplacement sous « zones d'intérêt », afin que vous receviez les notifications pertinentes pour votre zone de résidence.

Google, la société mère de Waze, a déclaré : « Nous sommes conscients que des perturbations du GPS sont actuellement activées dans tout Israël et affectent à ce stade toutes les applications basées sur la localisation. Il convient de noter qu'en raison de ces perturbations, il peut y avoir des inexactitudes temporaires pour trouver l'emplacement et la navigation dans l'application Waze. Comme toujours, Waze surveille attentivement pour s'assurer que la carte est aussi précise et à jour que possible. »

D'ici deux à trois générations, les Israéliens vivront probablement avec des températures maximales diurnes moyennes de plus de 35 degrés Celsius près de 80 jours par an ; entre 1995 et 2014, ces températures n'étaient atteintes que 35 jours par an, selon un rapport de l'OCDE publié à la fin de la semaine dernière.

Entre 2080 et 2099 période pour laquelle les prévisions ont été faites les Israéliens dormiront 145 nuits par an avec des températures moyennes ne descendant pas en dessous de 20 degrés, contre 97 nuits par an entre 1995 et 2014. Les températures nocturnes de 20 degrés Celsius et plus sont considérées comme tropicales et rendent la tâche de refroidissement des bâtiments plus difficile avant la chaleur du lendemain.

Vers la fin du siècle, Israël sera également plus exposé aux conditions de sécheresse, par habitant, que tout autre pays étudié dans le cadre du rapport.