L'Administration des achats du ministère de la Défense a signé aujourd'hui (dimanche) un accord pluriannuel avec le groupe israélien Imco d'une valeur d'environ 376 millions de NIS.

Aux termes de l'accord, le groupe Imco fournira au cours des 4 prochaines années des systèmes et sous-systèmes pour les véhicules blindés de combat de Tsahal, notamment les chars Merkava et les APC Namer et Eitan.

Imco fournira au Merkava and Armored Corps Management (MANAT) du ministère de la Défense des kits électriques comprenant, entre autres, des systèmes avancés de gestion vidéo, des systèmes de gestion de tension et des harnais.

La production et la fourniture des systèmes seront réalisées par la Division Sécurité d'Imco, qui regroupe sous elle les opérations de trois filiales : Nir Or, Imco Projects et ADTI aux USA.

Il s'agit de l'accord le plus important que le ministère de la Défense ait signé avec le groupe israélien Imco, qui permettra d'économiser des dizaines de millions de NIS grâce à sa portée.

Cet accord s'inscrit dans le cadre de la mise en oeuvre des leçons de la guerre et de l'accent mis par le PDG du ministère de la Défense, le général de division (à la retraite) Eyal Zamir, sur la priorité accordée aux accords visant à renforcer la capacité terrestre et à élargir l'achat d'équipements pour les corps blindés.

Les documents publiés en ligne montrent la tentative du Premier ministre Benjamin Netanyahu d'instaurer une paix durable et de réintégrer Gaza dans l'économie régionale grâce à de grandes infrastructures et à des investissements économiques.

Il a qualifié Gaza d'« avant-poste iranien » qui « sabote les chaînes d'approvisionnement émergentes » et « contrecarre tout espoir d'avenir pour le peuple palestinien ».

Le plan mettait également en évidence la place historiquement centrale qu'occupait Gaza sur les routes commerciales Est-Ouest, à la fois sur les routes commerciales Bagdad-Égypte et sur les routes commerciales Yémen-Europe.

Trois étapes vers le succès

La première étape, intitulée Aide humanitaire, est prévue pour durer 12 mois. Israël créera des zones de sécurité libres de tout contrôle du Hamas, en commençant par le nord et en s'étendant lentement vers le sud.

Israël a systématiquement ciblé les infrastructures du Hezbollah dans le sud du Liban parallèlement à la guerre en cours dans la bande de Gaza. Parallèlement au recrutement au sein de l'organisation, le Hezbollah améliore également son espace aérien avec un système de défense aérienne complet dédié à l'abattage de drones.

L'utilisation de drones par le Hezbollah, qui a commencé il y a déjà 20 ans, est née de sa collaboration avec l'Iran. Les drones actuels et contemporains, qui ont été utilisés lors des dernières opérations à Arab al-Aramshe, peuvent transporter environ 50 kilogrammes d'explosifs et ont une portée de lancement et la capacité d'atteindre une distance d'environ 150 km.

Les médias arabes révèlent qu'à côté du drone iranien Shahed, la défense aérienne est un facteur majeur indiquant le développement du Hezbollah. Outre les missiles basés sur l'intelligence artificielle, le Hezbollah dispose également de missiles capables de maîtriser les drones israéliens avancés tels que « Hermes 450 » et « Hermes 900 ».

Une autre partie du système de défense aérienne du Hezbollah comprend le système SA8, qui comprend des missiles à courte portée atteignant 2 à 9 km et une hauteur allant jusqu'à 5 km, et le système SA17 a une portée de 20 km.

Des sources arabes ont indiqué qu'il existe encore d'autres armes et systèmes que le Hezbollah n'a pas encore révélés et que ceux-ci pourraient être plus importants et plus massifs dans leur influence et leur avancée.

Des frappes aériennes attribuées à Israël et ciblant un bâtiment gouvernemental dans la campagne aux abords de Damas, utilisé par le Hezbollah pro-Iran, ont blessé huit soldats syriens près de Damas, d'après l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH)

Jeudi soir, « l'ennemi israélien a lancé des frappes aériennes depuis la direction du Golan syrien occupé, ciblant un site près de Damas (...) blessant huit soldats », a indiqué le ministère de la Défense syrien dans un communiqué.

Israël commente rarement les frappes individuelles mais répète régulièrement qu'il ne permettra pas à son ennemi juré, l'Iran, d'accroître sa présence en Syrie.

Le kibboutz Be'eri a annoncé jeudi soir que son résident, Dror Or, a été assassiné lors de l'attaque terroriste du Hamas le 7 octobre et que son corps est retenu par le Hamas à Gaza.

M. Or avait été désigné comme otage jusqu'à présent. Ce type d'annonce intervient généralement après que les forces de défense israéliennes ont obtenu des informations médico-légales supplémentaires permettant d'établir la mort d'un otage.

Or, 49 ans, a été pris en otage avec deux de ses enfants, Noam, 17 ans, et Alma, 13 ans, par des terroristes du Hamas qui ont attaqué leur maison dans le kibboutz Be'eri le 7 octobre. La famille a été forcée de sortir de sa pièce sécurisée alors que les terroristes mettaient le feu à la maison. Un voisin a vu les terroristes s'emparer des enfants et les prendre en otage. Quelques jours plus tard, le corps de Yonat Or, l'épouse de Dror et mère de leurs trois enfants, a été retrouvé. Noam, 17 ans, et Alma Or, 13 ans, ont été libérés le 25 novembre dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu temporaire négocié par le Qatar et les États-Unis entre le Hamas et Israël.

Le porte-parole du département d'État américain, Matthew Miller, a déclaré qu'il « n'y a pas eu d'évolution [dans les négociations sur les otages] ces derniers jours ».

« Il y a une proposition sur la table qui répond à la plupart des demandes faites par le Hamas lors des précédents cycles de négociations. Israël a fait une offre importante dans cette dernière proposition [dans laquelle] il a fait des compromis sur de nombreuses positions qu'il avait adoptées depuis longtemps. Elle répondait à de nombreuses demandes dont le Hamas avait dit qu'il avait besoin pour accepter un accord, et nous pensons donc qu'il leur incombe maintenant d'accepter l'accord », a déclaré Miller.

Incroyable : le terroriste qui a assassiné Binyamin A'himéir recevra 5 654 400 NIS !

L'Institut Mabat pour les médias palestiniens a calculé combien d'argent Ahmed Dawabsha, le terroriste qui a brutalement assassiné et décapité Binyamin A'himéir recevra de l'Autorité palestinienne.

JDN Elhanan Tolédano

Le journaliste Amit Segal a publié aujourd'hui (jeudi) que l'Institut Mabat pour les médias palestiniens a calculé combien d'argent recevrait de l'Autorité palestinienne Ahmed Dawabsha du village de Duma, le terroriste qui a brutalement assassiné et décapité Binyamin A'himéir il y a environ un mois.

Les données montrent que le montant qu'il recevra jusqu'à l'âge de 75 ans est de 5 654 400 NIS, car plus d'années un terroriste passe en prison, plus son salaire mensuel de l'Autorité palestinienne augmente.

Une cellule du groupe terroriste du Jihad islamique palestinien qui préparait des attentats à la bombe en Cisjordanie pour le compte de la branche libanaise du groupe terroriste a été récemment capturée, annonce l'agence de sécurité intérieure du Shin Bet.

Selon le Shin Bet, l'armée israélienne a arrêté trois terroristes du Jihad islamique palestinien dans la ville de Yabed, en Cisjordanie, au mois de janvier. Ils sont identifiés par l'agence comme étant Ahmed Abu Bakr, 29 ans, Ibrahim Abu Bakr, 29 ans, et Ibadah Abu Bakr, 18 ans.

Le trio « a agi selon les directives du quartier général du Jihad islamique palestinien au Liban, afin de mener des attaques significatives, en utilisant des explosifs déclenchés à distance contre les troupes de Tsahal dans la région », indique l'agence.

Selon le Shin Bet, les soldats ont saisi plusieurs engins explosifs amorcés lors de leur arrestation.

Le Hamas réagit aux négociations sur le cessez-le-feu et déclare que la réponse est « négative », mais les discussions se poursuivent. L'objectif du Hamas est de mettre fin à la guerre « mais ce ne sera pas à n'importe quel prix ».

Be'hadré "Harédim Yankee Farber

Un haut responsable du Hamas a déclaré ce soir à l'agence de presse française AFP qu'actuellement la réaction de l'organisation terroriste au projet d'accord négocié par l'Egypte et le Qatar est « négative », mais que les discussions sont toujours en cours.

L'objectif du Hamas reste de mettre fin à la guerre, a déclaré Sohail al-Hindi à l'AFP. L'organisation souhaite un retrait complet des forces de Tsahal de Gaza.

Le chef du Hamas, Ismail Haniyeh, est en Turquie depuis plus de 12 jours, ce qui amène certains dans le monde arabe à se demander pourquoi, a rapporté Israel Hayom.

Asharq Al-Awsat a rapporté jeudi matin que le séjour de Haniyeh dans le pays soulève des questions quant à savoir si les dirigeants du Hamas ont temporairement déménagé en Turquie. Selon certaines informations, Haniyeh est arrivé en Turquie à la tête d'une délégation de hauts responsables le 19 avril. Un jour plus tard, il a rencontré le président turc Recep Tayyip Erdogan à Istanbul. Mais Haniyeh est resté dans le pays pendant plus d'une semaine après la réunion.

Des sources affiliées au Hamas ont déclaré à Asharq Al-Awsat que les dirigeants du groupe terroriste « n'ont pas l'intention de quitter le Qatar et n'ont pas été invités à le faire. Les dirigeants du Hamas resteront au Qatar malgré tout ce qui a été publié ».

Dans le même temps, les sources rapportent que Haniyeh a décidé de rester en Turquie pour une durée indéterminée, après qu'Erdogan le lui ait proposé. Il a également été rapporté que Haniyeh avait des réunions prévues avec des sources « palestiniennes » et arabes qui n'entretiennent pas de bonnes relations avec le Qatar et préfèrent donc les rencontrer à Istanbul. Entre autres, Haniyeh a également rencontré une délégation algérienne.

Selon d'autres sources proches du Hamas, « la présence de Haniyeh en Turquie est due à la nécessité de discuter du rôle que joue la Turquie, sur lequel s'appuie le mouvement en ce qui concerne l'avenir (après la guerre) avec des activités diplomatiques, à une échelle aussi large que possible.

Les sources ont ajouté que « cela pourrait être lié au relâchement de la pression sur le Qatar, qui ne souhaite pas que le Hamas lui cause un embarras supplémentaire. Si le Hamas estime que sa présence à Doha peut embarrasser les Qataris, alors il préfèrera partir. »

Un haut responsable du bureau politique du Hamas a affirmé que la proposition d'accord allait être rejetée par l'organisation, du fait qu'elle n'inclut pas la fin la guerre et le retrait total de Tsahal de la bande de Gaza. 

La proposition d'un nouvel accord d'otages, à laquelle le Hamas n'a pas encore répondu, a été révélée mercredi matin par le journal libanais Al Akhbar.

Selon le rapport, la première phase durera 40 jours, pendant lesquels Israël se retirera des zones densément peuplées et arrêtera l'activité aérienne pendant 10 heures.

Il est également révélé que les femmes otages seront libérées en premier et qu'en même temps Israël dégagera la route côtière.

À compter du 22ème jour de l'accord, les otages masculins seront également libérés et les bâtiments démolis commenceront à être nettoyés. De plus, les infrastructures des hôpitaux et des boulangeries seront renouvelées.

Concernant la libération des terroristes, 20 terroristes seront libérés en échange de la libération d'otages relevant de la catégorie humanitaire, qui comprend les blessés, les personnes âgées et les handicapés mentaux.

En échange de la libération de femmes soldats, Israël libérera 20 terroristes qui ont du sang sur les mains et qui ont été condamnés à la prison à vie.

Le rythme des libérations sera tel que les otages ne seront pas libérés tous les jours, mais trois otages seront libérés tous les trois jours.

De plus, selon la proposition, Israël autorisera les terroristes à quitter Gaza pour se faire soigner.

Dans le cadre de la deuxième phase, qui durera 42 jours, un cessez-le-feu total sera déclaré en échange de la libération des otages vivants restants, dont des soldats, et, en échange de la libération des otages, Israël libérera des terroristes supplémentaires.

Dans la troisième phase de l'accord, les corps des otages morts seront également libérés et la reconstruction de Gaza commencera.

Le Hamas veut garder une partie importante de ces personnes enlevées pendant les derniers jours de l'accord, afin de faire pression sur Israël pour qu'il tienne ses engagements.

Be'hadré "Harédim

Le Hamas estime qu'Israël entrera à Rafah même s'il y a un accord d'otages et exige donc, lors des négociations avec les médiateurs, non seulement de recevoir des garanties de la part des médiateurs qu'Israël arrêtera la guerre pour une période prolongée, mais refuse également de divulguer le nombre d'otages restant. Il veut garder une partie importante de ces personnes enlevées pour lui jusqu'aux derniers jours de l'accord, afin d'exercer une pression sur Israël pour qu'il tienne ses engagements. C'est ce que rapporte Gili Cohen dans « Kan 11 ».

Une enquête de Tsahal sur la mort de deux réservistes dans le centre de la bande de Gaza dimanche a révélé qu'ils ont été tués par des tirs amis.

Le sergent-chef (res.) Ido Aviv, 28 ans, du 9232e bataillon de la brigade Yiftah, et le sergent-chef (res.) Kalkidan Meharim, 37 ans, du 223e bataillon de la brigade Carmeli, ont été touchés par des tirs d'obus provenant d'un char qui avait ouvert le feu en dehors de ses limites désignées, selon l'enquête. L'enquête a révélé que l'incident a commencé lorsqu'un char de Tsahal a été touché par une bombe placée en bord de route près de l'hôpital turc dans le corridor de Netzarim. Peu après, des mortiers et des missiles antichars ont été lancés en direction des troupes dans la zone du corridor. Au cours d'un échange de tirs avec les terroristes du Hamas, un char de la brigade Yiftah a quitté un campement et a bombardé un bâtiment dans la zone. Selon l'enquête, le bâtiment se trouvait à l'extérieur des limites désignées de la force de chars. Plusieurs soldats, dont Aviv et Meharim, se trouvaient dans le bâtiment lorsqu'il a été touché. Tsahal poursuit son enquête sur le comportement des troupes, qui ont été déployées à Gaza la semaine dernière.

Rencontrant des familles de victimes et d'otages du Hamas, Benjamin Netanyahou a affirmé qu'il n'y avait aucun changement dans les objectifs de la guerre. "Il y aura bien une opération à Rafah et nous ne céderons pas au Hamas. Nous poursuivons nos efforts afin de dégager un accord pour la libération d'otages, mais il est hors de question de mettre fin à la guerre", a-t-il ajouté.

Un homme d'une trentaine d'années a été légèrement blessé lors d'une attaque au couteau dans la rue Sultan Suleiman, près de la Porte d'Hérode à Jérusalem.

Les agents de la police des frontières ont abattu et éliminé le terroriste, qui s'est avéré plus tard être un touriste turc. Il a été identifié comme étant Hassan Skalanan, un touriste entré en Israël lundi par le passage d'Allenby entre Israël et la Jordanie.

Les ambulanciers du Magen David Adom prodiguent des soins médicaux à la victime sur place.

Les agents de la police des frontières ont éliminé le terroriste.

"Il y a peu de temps, un terroriste arrivé armé d'un couteau a commencé à poignarder les agents de la police des frontières opérant à la Porte d'Hérode, dans la vieille ville de Jérusalem", a indiqué la police des frontières dans un communiqué. "Une équipe de la police des frontières, dirigée par un officier, est rapidement intervenue et a éliminé le terroriste."

"Un agent de la police des frontières a été légèrement blessé et évacué conscient vers un hôpital."

De nombreux policiers sont sur place. Toutes les entrées du Mont du Temple ont été fermées.

Il s'agit du sergent-chef (res.) Ido Aviv, 28 ans, du 9232e bataillon de la brigade Yiftah, de Karmiel et du  sergent-chef (res.) Kalkidan Meharim, 37 ans, du 223e bataillon de la brigade Carmeli, de Petah Tikva.

Leur décès porte à 263 le nombre de soldats tués dans le cadre de l'offensive terrestre de l'armée israélienne contre le Hamas. Les deux soldats ont été tués et un autre soldat du 223e bataillon a été grièvement blessé à la suite d'une explosion survenue au cours d'un combat avec des terroristes dans la zone du corridor de Netzarim, selon une enquête de Tsahal. La cause de l'explosion est toujours à l'étude.