Qui peut oublier les déchirantes images vidéo de la jeune Hadil Ghalia courant sur le sable de la bande de Gaza à la recherche de sa famille? Il existe de nombreux parallèles entre cette vidéo et les photos de Mohammed al-Durah, pris entre les coups de feu palestiniens et israéliens. Pourtant, il y a tant de contradictions dans les deux scénarios que nous ne devons cesser de questionner l’authenticité de ce que l’on nous montre.
Que Hadil ait perdu ou pas sa famille à la suite du tir égaré d’obus israélien, ou à la suite de l’explosion d’un dispositif palestinien ou d’une mine palestinienne, tout cela est de peu d’importance. Elle a perdu sa famille comme le jeune al-Durah a perdu la vie, parce qu’elle vit dans une zone de guerre. Elle est devenue une légende des médias, en jouant le premier rôle dans un clip vidéo magistralement réalisé et largement diffusé par les médias du monde entier – écartant même l’omniprésente page de football pendant quelques minutes. En conséquence, meme certains Israéliens perplexes ont commencé à citer un populaire chroniqueur israélien, qui a bruyamment avoué "sa honte" à l’égard d’Israël dans le plus largement lu des quotidiens. Pourtant, les faits, à la fois pour l’affaire Al-Durah et pour la famille Ghalia, aussi tragiques soient-ils, restent peu concluants.
Si les Palestiniens ont miné la plage (ce qu’ils admettent), et si la plage est utilisée comme base pour lancer des missiles contre Israël, alors pourquoi les autorités palestiniennes permettre à leur population un accès libre à cette même plage? Comment se fait-il que les photographes, comme par hasard, se trouvent toujours au bon endroit au bon moment? Ce ne sont là que quelques-unes des questions pertinentes. (Nous pourrions également demander, bien sûr, pourquoi les médias du monde entier ne diffusent pas d’images en provenance de la ville de Sderot au sud d’Israël, dont les enfants ont été traumatisés et blessés par plus d’un millier d’attaques à la roquette au cours du dernier mois – tous lancés à partir de l’intérieur la bande de Gaza. Mais c’est le célèbre double standard au travail.)
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L’armée israélienne est réputée pour son intégrité. Les FDI ne prennent jamais délibérément pour cible des civils. Dans une zone de guerre, bien sûr, les accidents se produisent, et parfois des civils sont blessés ou tués (de nombreux palestiniens tués par des tirs palestiniens sont mis a la charge des israeliens!). Les Palestiniens eux-mêmes comptent sur cette retenue israélienne, tout en provoquant déliberement une réaction de l’armée israelienne. Il s’est avéré que certains scénarios ont été soigneusement mis en scène par des Palestiniens, réalisés et filmés pour la consommation médiatique internationale. C’est une situation gagnant-gagnant pour la propagande palestinienne, parce que le monde verra les pauvres arabes palestiniens innocents se faire attaquer par les monstres israeliens. Les gros titres sont imprimés et les journaux généreusement vendus.
Depuis leur arrivée sur la scène mondiale comme une entité "quasi nationale" en 1948, les Arabes palestiniens ont été cyniquement exploités par leurs propres frères. Cette machine de propagande bien huilée et bien financée a changé la donne et transformé Israel, ce minuscule pays assiégé, entouré par des millions d’Arabes hostiles, en un Goliath belligérant et monstrueux . Comme Charles Krauthammer l’a écrit, dans son excellent article dans "The Washington Post" le 16 juin 2006, "les Palestiniens préfèrent la victimisation à l’Étatisation": http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/06/15/AR2006061501794.html
Les Arabes palestiniens sont pris en hotages par leurs propres frères dans la bande de Gaza. Rejetés par les Égyptiens et le monde arabe en 1948 et en 1967, et maintenant contraints de vivre dans une zone de guerre en raison de leurs dirigeants incompétents, corronpus à tous les échelons et pronants la destruction d’Israel sur la TV palestinienne (voir : TV palestinienne: chansons pour la destructions d’Israel ) et la paix aux micros des journalistes étrangers. Ils vivent dans la misère et la pauvreté. Ils n’ont pas d’emplois et pas de nourriture à mettre sur la table alors que l’Ouest et Israel leurs versent de milliards de dollars chaque année. Ne se prendront-ils jamais en main ? Continueront-ils eternellement à blamer Israel et les juifs pour la misere du monde et pour leur faillite collective ? Ironie du sort leur qualité de vie est considérablement meilleure sous l’occupation israélienne. Le général Moshe Dayan voulait les éduquer, les soigner, leur offrir un travail en Israel, les nourirs (voir : La guerre des six jours en bas de page). Maintenant, ils n’ont rien. Leur haine et leur amertume sont alimentées par leurs dirigeants, et ciblée contre Israël.
Si les Arabes avaient accepté des Nations Unies le "Plan de partage, comme l’ont fait les israeliens, ils auraient déjà célébré la 60e année de la Palestine arabe comme un État indépendant, au lieu de cela ils criaient "à mort les juifs" (voir : Guerre d’indépendance d’Israel). Il n’y a plus de soldats israéliens ou d’installations militaires israeliennes dans la bande de Gaza. Il n’y a pas de colons israéliens dans la bande de Gaza. En fait, depuis le désengagement de l’été 2005, la bande de Gaza est le second Etat arabe palestinien indépendant apres la Jordanie (voir: Division de la Palestine). Au lieu de jeter les bases d’une nouvelle et dynamique nation, comme l’avait fait Israel, Gaza est devenue une zone d’anarchie endémique, un terrain de lancement de missiles contre des civils israéliens à l’intérieur de la Ligne verte, avec des factions terroristes rivales chaotiques combattant les unes contre les autres dans la bande de Gaza tout en continuant leurs hostilités contre Israël.
Nous nous demandons si les Arabes palestiniens seront capables de vivre dans une démocratie, aucun pays arabe dans le monde n’est démocratique. Ils n’ont par conséquent aucun modèle dans le monde arabe pour tirer des enseignements. Comme Eben Abba a dit, "les Arabes ne ratent jamais une occasion de rater une occasion". Peut-être qu’ils ne sauront jamais saisir leur chance où peut être, comme le disait Golda Meir (voir : Golda Meir)" Nous ferons la paix avec les Arabes quand ils aimeront leurs enfants plus qu’ils ne nous haissent".