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Charles Kahudi: «On a très vite compris...»

Au sortir d'un match où Israël a reposé ses principaux joueurs, les Français ont vite laissé la victoire (86-61) de côté afin de se concentrer sur le huitième de finale où ils affronteront la Turquie samedi.

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Charles Kahudi (ailier de l'équipe de France): «On a très vite compris qu’Israël faisait l’impasse sur ce match. Il n’y avait pas de raison, nous non plus, de fatiguer nos cadres. Même si ce n’est jamais facile de jouer des matches où ça ne joue pas vraiment, on s’en est bien sorti. Il y avait un faux rythme, ça n’était pas évident, mais nous sommes premiers, et nous allons à Lille avec beaucoup d’ambition.»

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Florent Pietrus (intérieur de l'équipe de France): «Qu’Israël ait laissé ses cadres au repos n’est pas notre problème. Nous, on a fait le travail jusqu’au bout. C’est bien de gagner pour la confiance, les équilibres dans le groupe. Maintenant, les cartes sont redistribuées, la Turquie est un adversaire difficile à manier avec un gros cinq, à nous d’être prêts. Mais on n’est pas venus pour s’arrêter en huitième de finale.»

«Les enjeux seront beaucoup plus important. Là, on sait que l'aventure peut s'arrêter à tout moment.»

Léo Westermann (meneur de l'équipe de France) : «Israël nous a proposé une défense de zone que l’on n’avait pas vue auparavant dans les matches de préparation et c’était intéressant de travailler là-dessus. C’est bien, aussi, de pouvoir faire appel aux gens du banc, les faire participer, même si tout le monde est généralement impliqué.»

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Nando De Colo (arrière de l'équipe de France) : «J’apprécie de pouvoir jouer cette phase finale sur mes terres, c’est quelque chose d’incroyable. Maintenant, il faut rester concentré, faire attention aux petits détails, à ce que ’on va mettre en place à la vidéo. Le plus important, c’est de rester ensemble quoi qu’il arrive et de jouer quarante minutes. Les enjeux seront beaucoup plus important. Jusqu’à présent, si l’on avait perdu un match, il n’y aurait pas eu beaucoup de conséquences. Là, on sait que l’aventure peut s’arrêter à tout moment.»

Rudy Gobert (pivot de l'équipe de France): «Il n’y a pas d’adversaire satisfaisant. C’est un huitième, un match couperet et on sait que toutes les équipes veulent nous battre. Maintenant, tous les détails vont compter et ça on le sait. Sur un plan plus personnel, j’ai eu l’impression de monter en puissance petit à petit. Ce n’était que des matches de poule, mais je suis content que mes coéquipiers me trouvent de mieux en mieux. Mais maintenant, les choses sérieuses commencent.»

publié le 10 septembre 2015 à 23h23 mis à jour le 16 septembre 2015 à 21h30
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