Charles Kahudi (ailier de l'équipe de France): «On a très vite compris qu’Israël faisait l’impasse sur ce match. Il n’y avait pas de raison, nous non plus, de fatiguer nos cadres. Même si ce n’est jamais facile de jouer des matches où ça ne joue pas vraiment, on s’en est bien sorti. Il y avait un faux rythme, ça n’était pas évident, mais nous sommes premiers, et nous allons à Lille avec beaucoup d’ambition.»
«Les enjeux seront beaucoup plus important. Là, on sait que l'aventure peut s'arrêter à tout moment.»
Léo Westermann (meneur de l'équipe de France) : «Israël nous a proposé une défense de zone que l’on n’avait pas vue auparavant dans les matches de préparation et c’était intéressant de travailler là-dessus. C’est bien, aussi, de pouvoir faire appel aux gens du banc, les faire participer, même si tout le monde est généralement impliqué.»
Rudy Gobert (pivot de l'équipe de France): «Il n’y a pas d’adversaire satisfaisant. C’est un huitième, un match couperet et on sait que toutes les équipes veulent nous battre. Maintenant, tous les détails vont compter et ça on le sait. Sur un plan plus personnel, j’ai eu l’impression de monter en puissance petit à petit. Ce n’était que des matches de poule, mais je suis content que mes coéquipiers me trouvent de mieux en mieux. Mais maintenant, les choses sérieuses commencent.»