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Corée du Nord: Trump affirme que "toutes les options sont sur la table"


La Chine a estimé mardi que la crise dans la péninsule coréenne était désormais à un "tournant"

i24NEWS - AFP
i24NEWS - AFP
6 min
6 min
29 août 2017 à 14:39 ■ dernière modification 29 août 2017 à 14:50
US President Donald Trump speaks to the press about protests in Charlottesville at Trump Tower in New York
US President Donald Trump speaks to the press about protests in Charlottesville at Trump Tower in New York JIM WATSON (AFP)

Le président américain Donald Trump a une nouvelle fois mis en garde mardi la Corée du Nord, affirmant que "toutes les options sont sur la table" après le tir par Pyongyang d'un missile balistique au-dessus du Japon.

"Le monde a reçu très clairement le dernier message de la Corée du Nord: ce régime a montré son mépris pour ses voisins, pour tous les membres des Nations Unies et pour les normes minimales d'un comportement international acceptable", a déclaré Donald Trump dans un communiqué de la Maison Blanche. 


La Chine a estimé plus tôt que la crise dans la péninsule coréenne était désormais à un "tournant" et a appelé à la retenue.

La porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hua Chunying a réaffirmé l'appel de Pékin à la reprise de pourparlers de paix, ajoutant que "les pressions et les sanctions" contre Pyongyang "ne peuvent fondamentalement résoudre le problème".

Dans le même temps, la Russie, par le biais d'un vice-ministre des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, s'est déclarée mardi "extrêmement préoccupée" par la situation en Corée du Nord, en dénonçant une "tendance vers une escalade" des tensions.

"Menace grave et sans précédent"

De vastes exercices militaires conjoints de la Corée du Sud et des Etats-Unis, lancés la semaine dernière dans la péninsule coréenne, "ont joué leur rôle en provoquant Pyongyang à un nouveau tir" de missile, a-t-il estimé.

Présentées comme défensives, ces manoeuvres annuelles impliquant des dizaines de milliers de soldats ont été lancées en Corée du Sud le 21 août et doivent durer deux semaines.

JUNG Yeon-Je (AFP)
Des soldats américains et sud-coréens participentà des manoeuvres conjointes à Pocheon, en Corée du Sud, le 26 avril 2017 JUNG Yeon-Je (AFP)

La Corée du Nord a mené mardi un tir de missile balistique qui a survolé le Japon pour s'abîmer dans le Pacifique.

Selon les autorités nippones, qui ont dénoncé une "menace grave et sans précédent", le missile a survolé l'île de Hokkaido (nord) et est tombé ensuite dans les eaux du Pacifique, à 1.180 km à l'est des côtes japonaises, sans causer de dommage à des avions ou des navires dans la zone.

Réunion d'urgence du Conseil de sécurité

Suite à cette nouvelle provocation de la part de Pyongyang, Tokyo et Washington ont convoqué une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU. La convocation de cette réunion, prévue mardi après-midi à New York, fait suite à un entretien entre les dirigeants américain et japonais qui ont convenu d'"augmenter la pression sur la Corée du Nord", selon les termes du Premier ministre japonais, Shinzo Abe.

Daniel LEAL-OLIVAS (AFP)
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe à Londres, le 29 avril 2017Daniel LEAL-OLIVAS (AFP)

Le 5 août, au terme d'un mois de laborieuses négociations entre Washington et Pékin, premier soutien de la Corée du Nord, le Conseil de sécurité avait adopté à l'unanimité de ses 15 membres une nouvelle série de sanctions sévères à l'encontre de Pyongyang. Elles avaient pour objectif de punir la Corée du Nord après de premiers tirs en juillet de missiles à longue portée par Pyongyang, capables de toucher le territoire américain.

Ces sanctions, visant notamment les exportations nord-coréennes de charbon, de fer et dans le domaine de la pêche, sont censées priver la Corée du Nord d'un milliard de dollars de revenus par an.

Témoignant de l'exaspération de la communauté internationale à l'égard de la Corée du Nord et d'une attitude beaucoup plus ferme de Moscou et de Pékin à l'égard de Pyongyang, la prise de ces sanctions avait été suivie d'une dizaine de jours d'échanges acrimonieux, voire outranciers, entre les Etats-Unis et la Corée du Nord.

La semaine dernière avait vu la tension retomber quelque peu malgré des manoeuvres militaires américano-sud-coréennes annuelles régulièrement dénoncées par la Corée du Nord comme menaçantes à son endroit.

Nouvelles sanctions

Selon des sources diplomatiques, le Conseil de sécurité a en réserve de nouvelles sanctions qu'il pourrait encore infliger à Pyongyang. Le secteur du pétrole avait été épargné par exemple lors des dernières sanctions de début août.

Si le Conseil de sécurité réussit une nouvelle fois à se mettre d'accord sur de nouvelles mesures coercitives, la question de l'application des sanctions, qui visent à pousser la Corée du Nord vers une table de négociations sur ses programmes d'armement, devrait toutefois rester sujet à interrogations.

Toru YAMANAKA                     (AFP)
Un système de lancement de missile déployé au ministère de la Défense à Tokyo le 26 août 2017Toru YAMANAKA (AFP)

Selon un rapport d'experts de l'ONU chargés de cette application des sanctions, dont la publication est attendue dans les prochaines semaines, la Corée du Nord continue par de multiples moyens à contourner les mesures onusiennes dans les domaines du fer, du minerai de fer et du charbon.

Les Nord-Coréens auraient ainsi recours à de faux étiquetages sur les cargaisons expédiées, à de multiples changements d'immatriculation des bateaux utilisés, et à des pays tiers pour s'affranchir des contrôles chinois, selon des sources au fait du dossier. Plusieurs pays d'Asie du Sud-Est ont ainsi été identifiés comme destinataires de charbon nord-coréen, selon les mêmes sources.

Entre octobre et juillet, ce commerce illicite a profité à la Corée du Nord à hauteur de 270 millions de dollars, selon les experts. Au cours des six derniers mois, deux navires ont par ailleurs été interceptés entre la Corée du Nord et la Syrie. Leurs cargaisons, dont le contenu reste inconnu, avaient pour destinataire un organisme syrien spécialisé dans l'armement chimique, selon les mêmes sources au fait du dossier.

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