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L’épidémie s’invite aussi à Bethléem et Jérusalem

Lundi, à Jérusalem, des juifs ultra-orthodoxes prient devant le Mur des lamentations, avec comme consigne de ne pas embrasser les pierres. ILAN ROSENBERG/REUTERS

Les fidèles des trois grandes religions sont appelé à modifier leurs habitudes, alors que les touristes désertent la Terre sainte.

À Jérusalem

En Israël, les lieux saints ferment ou sont désertés par les fidèles. Le 5 mars, l’Autorité palestinienne a déclaré l’état d’urgence à Bethléem et dans les environs, et clôt la basilique de la Nativité ainsi que les autres églises et les mosquées. Dans la vieille ville de Jérusalem le silence est pesant. Les touristes et les pèlerins sont une espèce en voie d’extinction. Vendredi, jour de prière pour les musulmans, les ruelles d’ordinaire bondées de Palestiniens se dirigeant d’un pas pressé vers l’esplanade des Mosquées n’ont pas connu leur animation habituelle. «Il n’y avait presque pas de monde sur l’esplanade et la prière s’est tenue à l’intérieur d’al-Aqsa, certains portaient des masques», explique un participant. L’entrée du troisième lieu saint de l’islam, vénéré également par les juifs sous le nom de Mont du Temple, était filtrée par les forces de sécurité israélienne. Les autorités avaient à l’époque réduit à cinq mille le nombre de personnes pouvant participer à un rassemblement…

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