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Fêtes pascales historiques à Jérusalem

L’archevêque de Jérusalem, monseigneur Pizzaballa, a prononcé une prière spéciale contre la pandémie du coronavirus depuis le mont des Oliviers (ci-dessus) avant de bénir la ville avec une relique de la vraie Croix. AMMAR AWAD/REUTERS

Malgré la fermeture du Saint-Sépulcre et l’absence de pèlerins, les cérémonies ont lieu en plus petit comité.

Dans le calendrier liturgique chrétien, le dimanche des Rameaux donne le coup d’envoi de la semaine sainte mais commémore aussi l’entrée de Jésus à Jérusalem, où il fut acclamé, selon les Évangiles, par une foule agitant des palmes et déposant des manteaux sur son passage. Chaque année, la procession du dimanche d’avant-Pâque mène les fidèles du Mont des Oliviers à la basilique Saint-Anne, une propriété française de la Vieille Ville située en face de l’esplanade des Mosquées où Jacques Chirac puis Emmanuel Macron se distinguèrent en boutant hors des lieux des policiers israéliens.

D’ordinaire, des scouts ouvrent la marche. Ils sont suivis d’une foule compacte de chrétiens locaux et de pèlerins. Le patriarche de Jérusalem est entouré du nonce apostolique et du custode de Terre sainte. Derrière eux, en invités d’honneur, les consuls généraux des quatre nations latines: l’Italie, l’Espagne, la Belgique et la France ferment le ban. Ces dernières années, le cortège rassemblait de 15.000 à 20.000…

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