Coronavirus: en Israël, le reconfinement gâche les fêtes
Les contraintes imposées par le gouvernement à la veille du Nouvel An juif sont rejetées par la population.
Correspondant à Jérusalem
Israël entre dans une période de confinement pour une période de trois semaines au minimum dans un climat de fronde passive. Le lock down national débute ce vendredi, quelques heures avant les fêtes de Rosh ha-Shana, le Nouvel An juif, commémoré d’ordinaire en famille. Il va se poursuivre durant Yom Kippour, le jour du Grand Pardon, et à l’occasion de Soukkot, la fête des Cabanes. Ces cérémonies religieuses sont célébrées, selon la coutume, par des prières collectives et des rassemblements dans les synagogues. Les contraintes imposées par le gouvernement suscitent la consternation générale et un rejet important dans les milieux ultraorthodoxes. Dans les commerces de Jérusalem, les marchands imaginent des subterfuges pour contourner les interdits. L’un se lance dans la vente en ligne ou glisse un numéro de téléphone portable pour informer ses clients d’ouverture de son échoppe par intermittence et de livraisons à domicile. Le système D promet d’être de rigueur.
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Le…
chaproumi
le
Chacun son tour. Bientôt les fêtes de fin d'année et étant donnée la situation en dehors, je ne vois pas pourquoi nous ne serions pas gentiment invités à fêter Noël de la façon la plus simple qui soit. Sans grand défoulement dans les magasins, sans déplacement de 1.000 kilomètres pour faire Noël avec "mémé" (souvenez vous du nouvel an chinois) et sans messe de minuit
charlus
le
N'est-ce pas le but que de détruire les peuples avec leurs us et coutumes? Nous on nous confinera à Noël, c'est certain, qu'il y ait ou non une deuxième vaguelette.