La rébellion des juifs ultraorthodoxes tourne à la violence en Israël
Une partie marginale de la population israélienne n’accepte pas les consignes sanitaires.
À Jérusalem
La station de tram est hors d’usage. La ligne qui circule à la frontière entre les quartiers juifs ultraorthodoxes et palestiniens de Jérusalem a été attaquée samedi à la sortie du shabbat par de jeunes manifestants haredis qui dénoncent le confinement. Sur place, la police est omniprésente. En uniforme et en civil. Des adolescents peu portés sur le port du masque sanitaire, obligatoire en Israël, les défient en silence, à distance, depuis une aire de jeux pour enfants. La flambée de violences dans les quartiers ultraorthodoxes laisse des traces. De l’autre côté de la voie, les Arabes craignent des agressions.
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À Jérusalem, Bnei Brak, une ville de la banlieue de Tel Aviv, à Beit Shemesh, Ashdod, des émeutiers ont affronté la police. Ces confrontations témoignent des relations tumultueuses entre une partie de la population israélienne qui ne reconnaît pas, dans ses branches dissidentes et marginales, l’existence même de l’État hébreu et n’accepte pas les consignes sanitaires. À…
juano arnillas
le
on comprend mieux pourquoi la France est un havre de paix pour ceux qui viennent trouver refuge ici
CitoyenPhilippe
le
Où avez vous vu que les "Arabes craignaient " ?
Arrêtez donc de jeter de l'huile sur le feu !
jean-claude 95
le
Que ce soit musulmans ou juifs orthodoxes c'est la même démarche à savoir c'est Dieu qui décide.