Publicité
Réservé aux abonnés

La droite israélienne reproche à Netanyahou d’avoir flanché face à l’ennemi

Benyamin Netanyahou devra lutter pour gagner la confiance de la classe politique israélienne. POOL/REUTERS

ANALYSE - La trêve avec les Palestiniens a un goût très amer pour certains politiques israéliens. La position du premier ministre est fragilisée.

Le cessez-le-feu qui a mis fin à onze jours d’affrontements laisse un goût plutôt amer à la plupart des Israéliens. Benyamin Netanyahou a du mal à convaincre la population qu’il s’agit d’une victoire. Le premier ministre, qui paraissait au début de l’opération devoir être le grand gagnant sur le front politique intérieur, se retrouve désormais la cible de tirs groupés. Ils émanent non seulement de l’opposition de gauche, mais aussi, plus grave pour lui, de ses alliés de la droite ultra, qui critiquent sa décision de mettre fin aux combats sans avoir arraché des concessions aux islamistes du Hamas.

Ces attaques tombent au plus mauvais moment pour lui. La guerre devait en principe le remettre en selle, mais il est loin d’être certain que cet objectif sera atteint durablement. La plupart des médias estiment qu’Israël a gagné militairement, mais perdu politiquement face au Hamas. Comme le constatait avec une certaine amertume un commentateur de la radio militaire, «plus nous frappons le Hamas…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 79% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

La droite israélienne reproche à Netanyahou d’avoir flanché face à l’ennemi

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
65 commentaires
  • durieu18

    le

    Face Netanuahou, Marine Le Pen, c'est Mere Theresa...et dire que les LR ont la frousse a lui tendre la main.

  • jgberdugo@orange.fr

    le

    Les gazaouis peuvent remercier Obama et Biden.....

  • Amir Amiri

    le

    Quand on perd plus que 200 morts en 10 jour, et des milliers de blessées, des immeubles et infrastructure tombé en poussière, on doit fermer sa gueule et ne pas crier la victoire
    Le scénario écrit par Hamas ne change pas beaucoup
    Tous les 2 ans, il provoque son voisin et tout les deux ans les jeunes son massacré et le pays dévasté Tous les 2 ans rebelote une couche supplémentaire de misère imposée au peuple, et puis il crie au victoire Il faut être débile mentalement ,de répéter ce scénario depuis des décennies

À lire aussi