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L’épicerie-traiteur israélien Shosh, à Paris, aller simple gourmand vers Jérusalem

L’épicerie Shosh (Paris 2e). Compte Instagram de Shosh

CRITIQUE GASTRONOMIQUE - À mi-pente de l’épicerie et du réfectoire, les pionniers de la vague israélienne à Paris la jouent nourritures nomades.

Est-ce l’esprit de ses petits pavés, la mémoire voisine des Halles et du fameux ventre de Paname, toujours est-il que Montorgueil n’en finit plus de marcher en mangeant. L’inverse aussi. Plus une foulée dans les parages sans qu’un pas-de-porte ne pousse le piéton à virer appétit sur pattes. Dernier en date, ce Shosh! Et là, avouons qu’on va bientôt finir par les appeler par leurs prénoms car Assaf, Tomer, Dan, bref, la bande du Balagan, du Shabour, du Tekés, en leur rue Saint-Sauveur de fief, un chic kibboutz bien dans son quartier. À mi-pente de l’épicerie et du réfectoire, les pionniers de la vague israélienne à Paris la jouent nourritures nomades. En avant, mâche!

Les pains de Shosh. Shosh

Shosh donc, diminutif de la Shoshana, cette mère, cette grand-mère, cette force au foyer, figure protectrice sûrement plus d’hier que d’aujourd’hui mais, ici, saluée, convoquée et revendiquée pour plaider l’adresse et une cuisine aussi nourrissante que consolante. Dan, Tomer, Assaf puisent encore à leur matrimoine jérusalémite…

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L’épicerie-traiteur israélien Shosh, à Paris, aller simple gourmand vers Jérusalem

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3 commentaires
  • Heretique

    le

    Je ne me jamais sentais attiré par la cuisine en partie hébraïque de la Terre Sainte (pour les Chrétiens) et la Terre Sacrée (pour les Juifs). Les restriction théocratiques de kashrut rituel abîment le développement de la cuisine.

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