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Eyal Shani ou l’énergie de Tel-Aviv à Paris

Eyal Shani (à gauche) en compagnie de Jess Soussan, chef exécutive en charge de HaSalon, son nouveau restaurant aux Puces de Saint-Ouen. Géraldine Martens

Le chef star israélien inaugurera HaSalon aux Puces de Saint-Ouen le 19 janvier. Rencontre en avant-première avecce cuisinier à part.

«C’est le Brillat-Savarin israélien!» nous avait prévenue Annabelle Schachmes, journaliste et auteur spécialiste de la cuisine juive, à propos d’Eyal Shani, qui inaugurera le 19 janvier aux Puces de Saint-Ouen, à l’entrée du marché Paul Bert-Serpette, HaSalon, déclinaison de son restaurant phare ouvert à Tel-Aviv depuis 2008.

HaSalon à New York. Max Flatow

«Le public parisien doit s’attendre à être bousculé. C’est un chef avec une vraie singularité, à la base de toute une réflexion sur la cuisine israélienne d’aujourd’hui. Tous les jeunes chefs qui ouvrent des restaurants méditerranéens à Paris s’inspirent de lui, de ses associations, de ses techniques, parfois même sans le savoir! Il a décomplexé la cuisine israélienne, l’a rendue noble, a réinventé ses codes, en créant sa propre façon de cuisiner. Il a magnifié son terroir grâce à la compréhension parfaite qu’il en a donnée.» Avec un tel panégyrique, autant dire que notre curiosité, déjà aiguisée par une fréquentation régulière des trois restaurants Miznon parisiens…

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2 commentaires
  • Heretique

    le

    Ce chef a réussi à s'échapper de théocratie Orthodoxe qui règle la vie quotidien dans son pays.

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