Que vaut HaSalon Paris, le restaurant festif d’Eyal Shani aux Puces?
CRITIQUE GASTRONOMIQUE - Eyal Shani, chef star israélien déjà à l’origine de Miznon, installe sa table aux Puces de Saint-Ouen. Ambiance surexcitée et plats en pleine forme.
Quand vous lirez ces lignes, a priori mais sans garantie, il sera encore là pour quelques jours et peut-être même en cuisine. Plus tard, plus loin, c’est une autre histoire.
Lui? Eyal Shani, autodidacte de chef israélien devenu, en trois décennies, l’une des constellations de la galaxie food. Pas moins de quarante adresses depuis sa Jérusalem natale jusqu’à Boston, Melbourne, Ibiza. Depuis un certain Miznon (Marais), à lui que l’on doit l’irrésistible vague levantine à Paris et cette désormais manie de croquer du chou-fleur rôti à tout bout de table, y compris les plus domestiques (ma voisine vient de s’y mettre).
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De retour, ces jours-ci, avec un de ces spots inédits pour lesquels l’époque se plaît à superlativer «la sensation, l’expérience, l’énergie» (vous verrez, toutes les chances que le serveur vous en lâche un des trois). Et de découvrir donc la chose dans un Paris nommé Saint-Ouen, au cœur des Puces, dans ce qui fut le Ma Cocotte et se retrouve aujourd’hui en plein pot de réfectoire
anonyme
le
L'auteur de l'article pourrait-il se relire avant de publier?
sigeo
le
Encore dee la cuistance exotico-chichiteuse. Assez !