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Santé: comment l’ex-star israélienne Teva cherche à rebondir

En huit ans, le cours de Teva a chuté de 72 à 8 dollars. AMIR COHEN/REUTERS

Le laboratoire, numéro un mondial des génériques, a connu cinq années de recul de ses ventes.

C’est le plan de la dernière chance pour Teva. Quatre mois après avoir pris ses fonctions, Richard Francis a présenté sa feuille de route pour sortir le numéro un mondial des génériques de l’ornière.

Le nouveau PDG du laboratoire israélien aura eu peu de temps pour peaufiner sa stratégie. Car l’urgence est là. Teva est retombé dans le rouge l’an passé. Après avoir vu son chiffre d’affaires culminer à 22,4 milliards de dollars en 2017, l’entreprise a enchaîné cinq années consécutives de recul de ses ventes, tombées à moins de 15 milliards en 2022 (- 6 %). Richard Francis, un ancien de Novartis, se donne d’ici à la fin 2024 pour ramener le laboratoire à la croissance. Il s’est dit «très enthousiaste quant à l’avenir de Teva», convaincu que son plan va permettre à l’entreprise d’être «plus forte, plus audacieuse et plus simple». Mais la tâche ne s’annonce pas aisée pour Teva, dont la dette nette atteint toujours 18,4 milliards de dollars.

Connu mondialement pour ses génériques et ses biosimilaires…

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