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À Jénine, Tsahal mène son raid le plus meurtrier depuis la seconde Intifada

Des combattants palestiniens portent, vendredi, les corps des victimes des affrontements de la veille jusqu’au cimetière de Jénine. Arthur Larie

REPORTAGE - La ville est considérée en Cisjordanie comme foyer de la résistance à Israël.

Envoyé spécial à Jénine

La nuit tombe sur Jénine, au son des explosions et des coups de feu. Dans les rues de la «capitale de la résistance palestinienne», des combattants encagoulés courent entre les brasiers de pneus brûlés, tandis que des familles fuient les combats. Il est 18 heures ce jeudi 9 novembre et, depuis le milieu de la nuit, d’intenses combats opposent l’armée israélienne et les groupes armés de la ville. Dès les premières heures, jeudi, les troupes israéliennes ont pénétré dans le camp de réfugiés, célèbre pour sa résistance à l’occupation israélienne. Tout le jour durant, les combattants affiliés au Fatah, au Djihad islamique, au Hamas ont combattu pour entraver l’avancée des colonnes de Tsahal, dans le camp, mais aussi à l’extérieur.

Dans les rues du camp, les bulldozers israéliens labourent le sol pour déterrer les mines artisanales. Les blindés progressent entre les bâtiments, assaillis au coin des rues par les combattants armés de fusils d’assaut et de grenades, elles…

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25 commentaires
  • biton2

    le

    Mais qu'ils libèrent les otages et déposent les armes et tout s'arrêtera! Ne pas le faire c'est vouloir encore plus de massacres d'innocents dont ils sont les responsables.

  • Melbris..

    le

    Jenine n'est plus un camp de réfugiés depuis longtemps. C'est un camp de formation de terroristes islamistes.

  • Yaka51

    le

    Meurtrier pour qui?

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