L’économie en état d’apesanteur face au conflit du Proche-Orient
ANALYSE - La tuerie terroriste du Hamas du 7 octobre et la réplique militaire d’Israël laissent l’économie mondiale, sinon de marbre, du moins en état d’apesanteur.
La guerre du Kippour, du 6 au 24 octobre 1973, avait provoqué un embargo immédiat des pays exportateurs de pétrole (Opep), suivi d’un quadruplement des cours du pétrole. Cinquante ans plus tard, presque jour pour jour, la tuerie terroriste du Hamas du 7 octobre et la réplique militaire d’Israël laissent l’économie mondiale, sinon de marbre, du moins en état d’apesanteur.
Qu’il s’agisse des matières premières ou des Bourses, les marchés sont restés impassibles. Wall Street, qui donne le la de la finance mondiale, n’a pas réagi. Tant le Dow Jones que l’indice SP 500, sont même aujourd’hui en légère hausse par rapport à ce qu’ils étaient début octobre. Malgré la sidération ressentie par les opinions publiques, les financiers s’intéressent bien plus aux taux d’intérêt, dont ils espèrent un reflux prochain, qu’aux bilans mortifères quotidiens.
«Risque de perspectives assombries»
Comment comprendre ce manque d’affect et que signifie-t-il pour l’économie? De l’indifférence ou de la résilience? À force d’accumuler les chocs - guerre…
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Dimitri78
le
La mondialisation est en hausse dans le monde et les projections futures montrent une hausse plus marquée avec en même temps les réformes sur la transition écologique et énergétique, une adaptation plus grande par le développement de masse des bornes électriques pour les véhicules électriques.
PA75
le
La France sera en récession à la fin de cette année ou au plus tard au début 2024. C’est ce que disent les économistes sérieux et j’ai tendance à les croire. À cet égard le chômage est déjà en train de remonter ce qui est le signe que beaucoup d’entreprises anticipent une récession sévère.