Général Reiland: «Trop de victimes de crimes de haine ne se font pas connaître»
ENTRETIEN - Alors que les actes antisémites flambent, le commandant de l’Office spécialisé dévoile un inquiétant bilan.
Déjà au cœur de l’actualité internationale avec la guerre en Ukraine, l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH) travaille sur la flambée des actes antisémites qui se propage depuis l’attaque du Hamas en Israël, le 7 octobre. Plus de 1800 faits ont été recensés en France cette année, contre 551 en 2022. Pour mieux lutter contre ce fléau et tous les ressorts de la haine, cette unité a organisé, le 19 décembre dernier au siège de la Direction générale de la gendarmerie nationale, un séminaire réunissant plus d’une centaine d’enquêteurs.
Dotés de nouveaux outils de détection et d’aide à la décision, ils ont cinq mois pour sensibiliser toutes les unités sur le terrain à un phénomène qui change de dimension. Le général Jean-Philippe Reiland, patron de l’Office, dresse un état des lieux pour Le Figaro.
LE FIGARO. - Depuis l’attaque du Hamas en Israël, la mécanique de la haine antisémite a changé de dimension. Comment l’OCLCH contribue-t-il à l’enrayer?
VENDEE22
le
Il faut effectivement lutter contre le racisme antiblanc qui fait des ravages. Publiez les stats ethniques des Victimes d'agression et d'homicides. On va rire
anonyme
le
Effectivement, de nombreuses victimes d’actes de racisme anti-blanc sont persuadées que cela ne servirait a rien de toute façon, vu la dérive du pays.
figminou
le
Ce qui permet à la gauche de dire que le racisme anti-Blancs n'existerait pas.