En Israël, le «camp de la paix» est devenu inaudible depuis les massacres du 7 octobre
REPORTAGE - Les habits de militants pacifistes, sans même évoquer l’antimilitarisme, sont devenus lourds à porter.
Envoyé spécial à Tel-Aviv
Ils ne sont pas bien nombreux. Quelques dizaines peut-être à, comme presque tous les jours, protester devant la grille du ministère de la Défense à Tel-Aviv. Il y a là Ethel, 85 ans, «survivante de la Shoah», comme elle se présente, une pancarte à la main exigeant l’arrêt de la guerre à Gaza. Son époux la soutient en entonnant les chants oubliés, remontant aux jours lointains du socialisme triomphant. Un peu plus loin, une grappe de quinquagénaires déploie une banderole demandant que la priorité soit donnée à la libération des otages et à la paix. «On n’oublie pas les victimes du 7 octobre. Bien sûr que non. Mais je ne crois pas qu’ajouter de la violence nous rendra service. Le gouvernement doit démissionner et la politique engagée radicalement changer», veut croire Yuval, un plasticien ancien militant du Meretz, un parti de gauche. Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’un passant, tee-shirt vantant les mérites de l’armée de l’air, lance des mots pas très doux…
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Cause toujours...
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A Gaza la voix de la paix, qui vient généralement du peuple, est assassinée à la fois par le Hamas et par Israël ce dernier étant de loin le plus performant pour donner la mort car tout y passe, terroristes du Hamas, hommes, femmes, enfants, bébés, membres des ONG, corps médical et même les otages israëliens.
anonyme 60316
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Avez-vous pensé à la possibilité d'une "solution à 2 états"en France à l'avenir ?
anonyme 60316
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La solution à 2 états, la paix avec les islamistes bien sûr bien sûr il faut parler sans arrêt de paix c'est bien mais surtout garder un gros gourdin à proximité