Comment des employés de l’ONU ont-ils pu participer aux attentats du 7 octobre en Israël?
ANALYSE - De nombreux soupçons pèsent sur les relations entre l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens et le Hamas.
La tempête qui s’est abattue sur l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens grossit de jour en jour. La Suisse d’abord, puis les États-Unis suivis par l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, l’Italie, le Canada, la Finlande, l’Australie, le Japon, l’Autriche et l’Estonie ont gelé leur financement de l’UNRWA, dont une dizaine d’employés sont accusés d’avoir participé aux attentats terroristes du 7 octobre.
Mais pas encore la France, qui constitue le 6e plus gros contributeur de cette agence de l’ONU dont le chiffre d’affaires de 1 milliard de dollars par an est alimenté à 95 % par des pays occidentaux, notamment européens. Paris, qui a versé 60 millions d’euros à l’UNRWA en 2023, évoque une affaire d’une «exceptionnelle gravité». Mais la France, qui n’avait pas prévu de nouveau versement au premier semestre 2024, a décidé d’attendre le résultat de l’enquête avant de décider «le moment venu, de la conduite à tenir».
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Les soupçons qui pèsent sur la neutralité de l’agence des…
Minou 007
le
Pourquoi toutes ces agences qui sont mondialement connues et qui ne sont que partiellement contrôlées qui finissent par faire ce qu'elles veulent cela devient un état dans l'état !!!!
ARIK
le
Faute de travailler, si ce n'est pour construire des centaines de kilomètres de tunnels, ils passent leur temps à produire de nouveaux petits réfugiés héréditaires.
ARIK
le
Faute de travailler, si ce n'est pour construire des centaines de kilomètres de tunnels, ils passent leur temps à produire de nouveaux petits réfugiés héréditaires.