La famine menace la bande de Gaza en dépit des parachutages d’aide humanitaire

DÉCRYPTAGE - Les ONG réclament une ouverture plus importante du point de passage terrestre avec l’Égypte, où les camions passent au compte-goutte, pour empêcher une catastrophe alors que les combats font toujours rage malgré les rumeurs d’une trêve imminente.
Le sort des otages israéliens retenus dans la bande de Gaza pourrait se régler au Caire, où des négociations ont repris dimanche. Les Israéliens, qui exigent que leur soit communiquée la liste des 40 personnes susceptibles d’être libérées dans un premier temps, ont refusé de participer à la réunion. Mais les discussions avec le Hamas se poursuivent, sous la médiation des États-Unis, du Qatar et de l’Égypte. Lors de l’attaque terroriste du 7 octobre, 1200 Israéliens ont été tués et quelque 250 enlevés dans la bande de Gaza. Il en reste 134.
Les États-Unis espèrent qu’un deal sera conclu avant l’arrivée du mois de ramadan, qui doit démarrer autour du 10 mars. En échange de la libération des otages, le Hamas demande un cessez-le-feu définitif, le retrait de l’armée israélienne et le retour des Palestiniens évacués du nord de la bande de Gaza. Une trêve pourrait être signée d’ici «24-48 heures» si Israël «accepte les demandes du Hamas», a affirmé dimanche à l’AFP un haut responsable du mouvement…
Baba F
le
que le hamas se rende et libère les otages voilà c’est simple !
Une Dominique
le
Libérez les otages et le petit Kfir Biba
bg2626
le
Pourquoi Erdogan ne reccueillerait-il pas les gazaouis en détresse?
Son Parti l'AKP est pourtant comme le Hamas, affilié aux sinistres Frères Musulmans!