Voyou radicalisé, antisémite, «cas psy» : en moins d’un an, la France exposée aux multiples visages du terrorisme islamiste
DÉCRYPTAGE - Avant Mulhouse, les terroristes du Mans, de La Grande-Motte et d’Apt ont exploité, entre juillet 2024 et janvier 2025, des angles morts de l’antiterrorisme.
Quatre attentats islamistes ont été perpétrés en France au cours des huit derniers mois. Ce qui, avec l’Allemagne (six attaques depuis début 2024), en fait de nouveau l’un des pays européens les plus touchés. Et si, à la différence de Mulhouse, aucun mort n’a été à déplorer au Mans en juillet, à La Grande-Motte en août et à Apt en janvier, ces attentats témoignaient déjà à un double titre de l’intensité persistante de la menace.
D’abord parce que cette absence de décès est due à la mobilisation des services antiterroristes mais aussi à la chance ou au miracle : une victime blessée parvenant à s’échapper au Mans, des fidèles juifs ne se trouvant pas en présence du terroriste avec sa hache à La Grande-Motte, la lame d’un couteau se brisant et la présence d’un vigile courageux à Apt. À noter que quatre personnes ont été blessées plus ou moins sérieusement sans compter, triste habitude en matière terroriste, les traumatisés et le choc ressenti sur le plan local et national.
Par ailleurs…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 91% à découvrir.
Anonyme
le
On laisse faire , pourquoi ils s’arrêteraient !!!!
lespilau
le
Un pays doit-il accepter sur son sol une religion qui prône son élimination ?
anonyme
le
Un ami américain me faisait récemment observer que ces 10 dernières années vont rester dans l histoire de France comme celles de la résurgence de l antisémitisme...