Alexandre Devecchio: «De Sarah Halimi à Crépol, le même déni face à l’antisémitisme et au racisme anti-Blanc»

LA BATAILLE DES IDÉES - Dans ces deux affaires, le caractère raciste du meurtre n’a pas été reconnu, réduisant ces affaires à de simples faits divers.
« Il faut toujours voir ce que l’on voit. » À force d’être répétée, la formule de Charles Péguy apparaît presque usée, mais n’en est pas moins adaptée au livre-enquête Une nuit en France (Grasset). Un an et demi après la tragédie de Crépol, Jean-Michel Décugis, Pauline Guéna et Marc Leplongeon prétendent revenir aux faits. Les trois journalistes se montrent pourtant incapables de les regarder lucidement. Les couteaux des assaillants ? « Ils n’étaient pas destinés à tuer, mais à couper leur shit. » Les insultes proférées contre les Blancs ? « Le racisme anti-Blanc ça n’existe pas, c’est un concept qui vient de l’extrême droite. » La disparition d’un procès-verbal confirmant le caractère raciste de l’agression ? « Cela ne correspondait pas à la réalité du dossier. »
En vérité, le meurtre de Thomas à Crépol et son traitement médiatique rappellent de plus en plus une autre affaire : le meurtre de Sarah Halimi. Mêmes zones d’ombre dans l’enquête, même volonté…
anonyme
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Le livre des 3 journalistes en question sur Crepol a-t-il pour but de vouloir influencer les juges? Ou juste de vouloir faire de l’argent par la provocation?
Bernard1134
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En 2022 comme en 1942 ........
Bernard1134
le
Vivement un tandem Trump Vance en France pour lutter contre les racistes et antisémites.