Une chercheuse grecque spécialisée dans le Moyen-Orient a rapporté, citant une « source sécuritaire », que des forces spéciales israéliennes ont pénétré dans une installation de production de missiles et de drones en Syrie, ont pris du matériel et des documents, et l'ont piégée avec des explosifs. Selon un rapport d'un site d'opposition syrien, des hélicoptères israéliens ont déployé des forces par cordes, des combats ont eu lieu, et deux Iraniens ont été capturés.

Haredim 10 12 septembre 2024

Israël a-t-il réussi à pénétrer dans une installation de production de missiles en Syrie ? Eva Kolouriotis, une chercheuse grecque spécialisée dans le Moyen-Orient, a publié un rapport selon lequel « des forces israéliennes ont réussi à entrer dans une installation de production de missiles en Syrie, à prendre du butin et à s'enfuir après l'avoir détruite ».

L'unité des porte-parole de Tsahal a annoncé qu'hier (mercredi), sous la direction de Tsahal et des services de renseignement de l'ISA, l'armée de l'air israélienne a mené une frappe précise contre des terroristes qui opéraient à l'intérieur d'un centre de commandement et de contrôle intégré dans un complexe qui servait auparavant d'école Al Jaouni dans la zone de Nuseirat au centre de Gaza.

Après avoir reçu des rapports affirmant que des travailleurs palestiniens locaux de l'UNRWA ont été tués à la suite de la frappe, Tsahal a demandé à l'agence de fournir des détails et les noms des travailleurs, afin d'examiner en profondeur cette affirmation. À ce jour, l'UNRWA n'a fourni aucune réponse malgré des demandes répétées.

Jusqu'à présent, un certain nombre de terroristes du Hamas ont été confirmés comme ayant été éliminés lors de la frappe, notamment :

1. Aysar Karadia, un terroriste de l'aile militaire du Hamas et des forces de sécurité intérieure.

2. Muhammad Adnan Abu Zayd, un terroriste de la branche militaire du Hamas, responsable du tir de mortiers sur les troupes de Tsahal et l'État d'Israël, a auparavant servi comme agent dans les forces navales du Hamas et était simultanément un employé de l'UNRWA.

3. Bassem Majed Shaheen, chef d'une cellule terroriste de la branche militaire du Hamas, qui a participé au massacre du 7 octobre dans le sud d'Israël.

4. Amar al-Jadili, un terroriste de la branche militaire du Hamas et des forces de sécurité intérieure.

5. Akram Saber al-Ghalaydi, un terroriste de la branche militaire du Hamas et des forces de sécurité intérieure.

6. Muhammad Issa Abu al-Amir, un terroriste de la branche militaire du Hamas qui a participé au massacre du 7 octobre dans le sud d'Israël.

7. Sharif Salam, un terroriste de la branche militaire du Hamas.

8. Yasser Ibrahim Abu Sharar, terroriste de la branche militaire du Hamas et agent du bureau d'urgence du Hamas à Nuseirat, qui était en même temps employé de l'UNRWA.

9. Ayad Matar, terroriste de la branche militaire du Hamas et en même temps employé de l'UNRWA.

L'ambassadeur israélien à l'ONU Danny Danon a écrit en réponse à X : « N'est-il pas surprenant que les « travailleurs de l'UNRWA » qui ont été tués hier dans l'attaque de Tsahal soient en fait NEUF terroristes avec du sang sur les mains, et que certains d'entre eux aient participé au massacre barbare du 7 octobre ? »

« Combien de temps l'ONU continuera-t-elle à se voiler la face et à ignorer le fait que les terroristes du Hamas ont pris le contrôle de l'UNRWA ? Ces meurtriers ne sont pas des travailleurs humanitaires. Ce sont des terroristes avec du sang sur les mains et ils ont été éliminés à juste titre », a écrit Danon.

Tremblement à l'AMAN : Le commandant de l'unité 8200 annonce au chef d'état-major sa démission en raison de l'échec.

JDN  David Goldberg

Après la démission du chef de l'intelligence militaire de Tsahal (AMAN), le général de division Aharon Haliva, un nouveau bouleversement touche la division. Le commandant de l'unité 8200, le général de brigade Yossi Sariel, a annoncé au chef d'état-major, le lieutenant-général Herzi Halevi, sa démission en raison de son rôle dans l'échec du massacre de Sim'hath Tora. Il devrait quitter son poste dans un avenir proche. Il est à noter qu'aucun officier n'a été démis de ses fonctions jusqu'à présent en raison de cet échec.

Le commandant de l'unité 8200 est le cinquième haut responsable de l'AMAN à quitter son poste, après le général de division Aharon Haliva, le chef de la division de recherche, le général de brigade Amit Saar, l'officier de renseignement du commandement sud, le colonel A, et l'officier de renseignement de la division de Gaza, le lieutenant-colonel A. Le porte-parole de Tsahal a déclaré : « Le commandant de l'unité 8200, le général de brigade Yossi Sariel, a informé aujourd'hui ses supérieurs et ses subordonnés de son intention de quitter ses fonctions. Il devrait quitter son poste prochainement. »

En Allemagne, le ministère de l'Intérieur de la région du Brandebourg, proche de Berlin, a interdit jeudi le « Centre islamique Fürstenwalde al-Salam (IZF) », pour ses liens supposés avec les Frères musulmans et le Hamas.

Cette mesure est justifiée car les activités de l'IZF vont « à l'encontre de l'idée de compréhension internationale et de l'ordre constitutionnel », déclare le ministre de l'Intérieur chrétien-démocrate (CDU) du Brandebourg, Michael Stübgen, dans un communiqué.

« Les braises de la culture islamiste » dignes de « l'âge de pierre » doivent être « étouffées dans l'oeuf », a-t-il ajouté.

L'Égypte a accepté une proposition visant à placer des forces arabes le long du corridor de Philadelphie dans le cadre d'un accord sur le « lendemain » de la fin de la guerre, a rapporté Al-Araby Al-Jadeed jeudi matin.

La proposition a été discutée dans le cadre des efforts des Émirats Arabes Unis pour trouver des solutions pour mettre fin au conflit, alors que les EAU mènent des pourparlers avec divers pays arabes, dont le Maroc, la Mauritanie et Djibouti, pour examiner la possibilité de former une force arabe commune.

En outre, selon les rapports, la force arabe proposée contrôlerait le corridor de Netzarim, qui sépare le sud de Gaza du nord de Gaza, afin de permettre aux forces israéliennes de se retirer de la zone.

Israël, quant à lui, travaille sur un certain nombre de solutions au cas où il serait contraint de se retirer du corridor de Netzarim, pour garantir la protection de ses propres besoins en matière de sécurité. Le déploiement d'une force arabe conjointe dans la région est considéré comme un moyen de répondre aux exigences d'Israël en matière de supervision et de contrôle, tout en offrant une solution au problème sensible de la région.

L'Egypte a exprimé sa préférence pour le déploiement d'observateurs chargés de surveiller les mouvements des forces de Gaza dans la région ; cette proposition illustre la tentative de l'Egypte de trouver un équilibre entre le désir de calme dans la région et son propre désir d'éviter de s'impliquer trop profondément dans les affaires de Gaza.

Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a dévoilé mercredi un document interne du Hamas qui met en lumière les difficultés croissantes auxquelles fait face l'organisation terroriste. Ce document, attribué à Rafa'a Salameh, ancien commandant de la brigade de Khan Younis du Hamas dans le sud de Gaza, était adressé au chef du Hamas Yahya Sinwar et à son frère Muhammad.

Salameh, tué en juillet lors d'une frappe aérienne israélienne, aurait dressé un bilan alarmant des pertes subies par le Hamas. Selon les extraits fournis et traduits par le ministère de la Défense israélien, il écrivait : "Nous avons perdu 90-95% de nos capacités en roquettes ; et nous avons perdu environ 60% de nos armes personnelles ; nous avons perdu au moins 65-70% de nos lanceurs et roquettes antichars."

L'UNRWA, l'agence des Nations Unies pour les « réfugiés palestiniens », a affirmé mercredi que six de ses employés avaient été tués dans une frappe de l'armée israélienne à Nuseirat, dans le centre de la bande de Gaza.

L'agence a affirmé qu'il s'agissait du bilan le plus élevé parmi son personnel au cours d'un seul incident.

« Parmi les personnes tuées se trouvaient le directeur du refuge de l'UNRWA et d'autres membres de l'équipe fournissant une assistance aux personnes déplacées. Sincères condoléances à leurs familles et à leurs proches », a déclaré l'UNRWA dans un communiqué.

« Cette école a été touchée cinq fois depuis le début de la guerre. Elle abrite environ 12 000 personnes déplacées, principalement des femmes et des enfants. Personne n'est en sécurité à Gaza. Personne n'est épargné. Les écoles et autres infrastructures civiles doivent être protégées à tout moment, elles ne sont pas une cible », a-t-elle affirmé.

« Nous appelons toutes les parties au conflit à ne jamais utiliser les écoles ou les zones qui les entourent à des fins militaires ou de combat », a conclu l'agence.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a par la suite critiqué Israël pour cette frappe, écrivant dans un message sur X : « Ce qui se passe à Gaza est totalement inacceptable. Une école transformée en abri pour environ 12 000 personnes a été à nouveau frappée par des frappes aériennes israéliennes aujourd'hui. Six de nos collègues de l'UNRWA figurent parmi les victimes. »

« Ces violations dramatiques du droit international humanitaire doivent cesser immédiatement », a-t-il ajouté.

L'ambassadeur d'Israël à l'ONU, Danny Danon, a ensuite riposté à Guterres et a déclaré : « Ce qui est « inacceptable », Antonio Guterres, c'est le fait que vous refusiez de reconnaître la réalité et que vous continuiez à la déformer. »

« Les terroristes qui opèrent à partir de bâtiments civils précédemment utilisés par l'UNRWA ne sont pas « innocents ». Il est inadmissible que l'ONU continue de condamner Israël dans sa guerre juste contre les terroristes, alors que le Hamas continue d'utiliser les femmes et les enfants comme boucliers humains », a ajouté Danon.

« Je vous suggère d'enquêter attentivement sur l'identité de ces terroristes, sur ce qu'ils faisaient dans le passé et sur les atrocités qu'ils commettaient au moment de leur élimination avant de faire des déclarations. Je le répète : Israël poursuivra sa guerre juste contre le terrorisme. La solution n'est pas un cessez-le-feu, mais la libération de tous les otages encore détenus à Gaza et l'élimination du Hamas », a déclaré l'ambassadeur israélien.

Le Hamas et d'autres organisations terroristes à Gaza utilisent régulièrement les bâtiments de l'UNRWA pour des activités terroristes contre les Israéliens. L'armée israélienne a frappé des installations de l'UNRWA utilisées par le Hamas pour des activités terroristes, mais prend régulièrement des mesures pour s'assurer qu'aucun civil ne soit blessé lors de ces frappes.

De plus, des employés de l'UNRWA ont été directement impliqués dans l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre.

Israël a déclaré en janvier de cette année que le personnel de l'UNRWA avait participé aux attaques du Hamas du 7 octobre. L'ONU a ensuite présenté un dossier montrant que les employés de l'UNRWA qui ont participé au massacre du Hamas ont enlevé une femme, distribué des munitions et pris part activement au massacre du kibboutz Be'eri, où 97 personnes ont été assassinées.

Guterres a ensuite annoncé la création d'un groupe d'étude, dirigé par l'ancienne ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, pour examiner les allégations israéliennes.

Le groupe a publié son rapport en avril. Le rapport a révélé des « problèmes liés à la neutralité » au sein de l'UNRWA, mais a également affirmé qu'Israël n'avait pas encore fourni de preuves pour étayer les allégations selon lesquelles un nombre important de ses employés étaient membres d'organisations terroristes.

Le mois dernier, l'ONU a reconnu pour la première fois que des employés de l'UNRWA pourraient avoir été impliqués dans le massacre du 7 octobre perpétré par le Hamas en Israël.

Le dirigeant iranien, Seyyed Ali Khamenei, a déclaré hier, alors qu'il recevait une délégation des familles des personnes tuées dans l'une des provinces iraniennes : « Il n'y a parfois aucun mal à un « retrait tactique » contre Israël, car cette question peut s'appliquer non seulement dans le domaine militaire mais aussi dans le domaine politique. »

L'armée israélienne a annoncé mercredi que le sergent-chef Geri Gideon Hanghal, âgé de 24 ans, de Nof HaGalil, a été tué dans l'attaque à la voiture-bélier plus tôt dans la journée au carrefour de Givat Asaf dans la région de Binyamin.

Hanghal était soldat dans le 90e bataillon (« Nahshon ») de la brigade Kfir.

Le terroriste qui a commis l'attaque a été identifié comme étant Hail Deif Allah, âgé de 58 ans, du village de Rafat près de Ramallah.

Les forces de l'armée israélienne et de la police des frontières ont opéré dans la région de Rafat et ont cartographié la résidence du terroriste qui a perpétré l'attaque. La cartographie a été réalisée afin d'examiner la démolition potentielle de la résidence du terroriste.

Plus tôt dans la semaine, trois travailleurs du poste-frontière d'Allenby : Yochanan Shchori, 61 ans, Yuri Birnbaum, 65 ans, et Adrian Marcelo Podsmesser, 57 ans, ont été assassinés lorsqu'un terroriste jordanien a traversé la frontière israélo-jordanienne à bord d'un camion et a ouvert le feu sur eux.

Une semaine plus tôt, trois policiers : l'inspecteur en chef Arik Ben Eliyahu, le sergent-chef Roni Shakuri et le sergent-chef Hadas Brentz ont été assassinés lors d'une fusillade près du poste-frontière de Tarqumiya dans la région d'Hébron.

Tsahal a confirmé avoir effectué une frappe de drone dans le sud du Liban, à Mays al-Jabal, ce matin, visant deux terroristes du Hezbollah. L'un d'entre eux a été éliminé et le second a été blessé dans l'attaque.

Séparément, des avions de chasse ont frappé un lance-roquettes du Hezbollah à Marimin, qui avait été utilisé dans des attaques précédentes contre Israël, selon l'armée. Un autre lance-roquettes a été frappé à Rashaya al-Foukhar, ajoute l'IDF.

Israël fait face à des menaces provenant de sept fronts différents, tous soutenus par l'Iran, mais cette alliance dite de « l'Axe de la Résistance » semble instable et vulnérable. Lors d'une réunion de la commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset le 27 décembre 2023, le ministre israélien de la Défense, Yoav Galant, a déclaré : « Nous sommes engagés dans une guerre sur plusieurs fronts et attaqués sur sept théâtres d'opérations. » Il a précisé que les Forces de défense israéliennes (FDI) intervenaient activement sur six d'entre eux.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou, le 1er juillet, avait détaillé à un groupe de responsables américains que ces sept fronts incluaient le Hamas à Gaza, le Hezbollah au Liban, les Houthis au Yémen, ainsi que des milices en Irak, en Syrie, en Cisjordanie, et l'Iran lui-même. Cependant, malgré l'apparente unité de cet « Axe de la Résistance », il est clair que cette coalition est loin d'être un bloc homogène.

Le Hamas a diffusé une déclaration inhabituelle attribuée à Yahya Sinwar, le leader du groupe terroriste dans la bande de Gaza, félicitant le président algérien Abdelmadjid Tebboune pour sa réélection contestée. Selon le communiqué, Sinwar "félicite le président Abdelmadjid Tebboune pour la confiance renouvelée du peuple algérien en lui en tant que président de l'Algérie". Il a également souligné "le soutien de Tebboune aux Palestiniens" et a exprimé ses félicitations dans le contexte de ce que le Hamas appelle le "Déluge d'Al-Aqsa", faisant référence à l'attaque meurtrière du 7 octobre 2023 contre Israël.

Dans la nuit, un hélicoptère "Yanshuf" de l'armée de l'air israélienne, qui était en mission pour évacuer un soldat blessé vers un hôpital pour y être soigné, s'est écrasé lors de son atterrissage dans la région de Rafah, dans la bande de Gaza.

Une enquête préliminaire a montré que l'accident n'était pas dû à des tirs ennemis. La cause de l'accident est toujours en cours d'investigation. Les activités opérationnelles de l'armée de l'air israélienne ne changent pas.

Deux soldats de l'armée de l'air israélienne ont été tués à la suite de l'accident. Leurs familles ont été prévenues. Leurs noms n'ont pas encore été autorisés à être publiés et seront publiés ultérieurement.

Toutefois, selon les rapports, l'un des soldats blessés est une femme officier qui se trouve dans un état critique.

Au cours de l'incident, sept autres soldats ont été blessés à des degrés divers et ont été évacués vers un hôpital pour y recevoir des soins médicaux. Leurs familles ont été prévenues.

Après l'incident, le commandant de l'armée de l'air israélienne, le major-général Tomer Bar, a nommé une commission d'enquête de l'armée de l'air israélienne pour examiner les circonstances de l'incident.

L'armée israélienne et les secouristes sont intervenus après des informations faisant état d'une attaque à la voiture-bélier près de l'implantation de Givat Asaf, en Cisjordanie.

Un Israélien d'une vingtaine d'années a été grièvement blessé, selon le service ambulancier Magen David Adom.

L'armée indique que le terroriste a été « neutralisé » sur les lieux.

Un camion a été utilisé dans l'attaque, selon des photos.

Le ministre de la Défense Yoav Gallant s'est rendu ce matin à la frontière nord, où il a tenu une réunion d'information des commandants pour résumer un exercice de la 9e brigade, dirigée par le commandant de brigade, le colonel Roi Manis, et le général de brigade Kobi Heller, commandant du centre d'entraînement des forces terrestres.

Le ministre de la Défense a reçu un briefing sur les activités de la brigade pour arrêter les terroristes et protéger les communautés à la frontière nord, et sur l'exercice de simulation de combat sur le territoire libanais.

Gallant a déclaré aux soldats : « Je suis impressionné par la détermination, le professionnalisme et le dévouement à la mission qui se déroule ici depuis près d'un an - à la fois dans le nord et dans le sud. Le centre de gravité se déplace vers le nord, nous sommes sur le point d'achever nos tâches dans le sud, mais nous avons ici une mission qui n'a pas été réalisée, et cette mission consiste à changer la situation sécuritaire et à ramener les habitants chez eux. »

« Ces instructions que vous attendez ici aujourd'hui, je les ai données dans le sud et j'ai vu les forces opérer. Trois semaines après le signal de départ, elles sont allées de l'avant et ont accompli leur mission. Cela se produira également ici et vous devez être prêts et préparés pour mener à bien cette mission. »

Il a ajouté : « Nous terminons la formation de toutes les unités pour une opération terrestre dans tous ses aspects, du niveau du peloton au niveau du commandement. Nous sommes prêts à l'action, nous saurons quand nous déployer. Vous ferez tout ce que vous devez faire. »

« J'ai eu des soldats qui m'ont dit : « Vous ne faites que parler. » Une semaine plus tard, je les ai rencontrés sur le terrain. Soyez prêts, ce n'est pas une mission comme les autres. Vous avez toute la capacité de mener à bien les missions en fonction de ce pour quoi vous êtes entraînés. Merci, merci aux familles qui vous soutiennent et merci aux commandants. »

La frappe de dimanche soir, qui aurait été menée par Israël, a fait au moins 18 morts et des dizaines de blessés parmi les Syriens. Selon les rapports, elle visait un « institut de recherche scientifique » dans la région de Masyaf, dans la zone rurale de Hama.

Les rapports ont également indiqué que la frappe visait les infrastructures iraniennes en Syrie.

Selon Al-Akhbar, contrairement aux frappes précédentes présumées d'Israël en Syrie, la frappe de dimanche à Masyaf a été menée en deux étapes : dans la première étape, de puissants missiles ont été utilisés pour endommager les infrastructures de la région. Ensuite, une deuxième vague a été lancée, à l'aide de drones, tandis qu'une foule s'est rassemblée sur le site pour évacuer les blessés.

Cette deuxième vague a fait un grand nombre de victimes, a noté Al-Akhbar.

Israël n'a pas réagi aux rapports sur la frappe et n'a pas confirmé sa responsabilité.

Lundi soir, sous la direction de Tsahal et des services de renseignement de l'Agence de sécurité israélienne (Shin Bet), l'armée de l'air israélienne a frappé d'importants terroristes du Hamas qui opéraient dans un centre de commandement et de contrôle intégré dans la zone humanitaire de Khan Yunis.

Les terroristes ont mené des attaques terroristes contre les troupes de Tsahal et l'État d'Israël, a déclaré l'unité du porte-parole de Tsahal.

Avant la frappe, de nombreuses mesures ont été prises pour atténuer le risque de nuire aux civils, notamment l'utilisation de munitions précises, la surveillance aérienne et des moyens supplémentaires, selon le communiqué.

« Les organisations terroristes de la bande de Gaza continuent d'abuser systématiquement des infrastructures civiles et humanitaires, y compris la zone humanitaire désignée, pour mener des activités terroristes contre l'État d'Israël et les troupes de Tsahal », a déclaré Tsahal.

Le Hamas a affirmé que 40 personnes ont été tuées dans l'attaque et que 60 autres ont été blessées. Selon des responsables de la bande de Gaza, au moins 20 tentes dans le complexe attaqué ont pris feu.

Lundi, les soldats de la 16e brigade de réserve, sous le commandement de la 252e division, ont opéré dans le cadre de l'opération dans la région de Zeitoun, dans le centre de la bande de Gaza.

Les troupes ont attaqué des cibles terroristes où les terroristes s'étaient infiltrés, ont éliminé des dizaines de terroristes et ont démantelé de nombreuses infrastructures terroristes.

Lors des inspections dans la zone, une machine utilisée pour produire des armes et un puits de tunnel opérationnel utilisé par les terroristes dans la région ont été découverts.

« Les soldats de la 16e brigade opèrent dans la bande de Gaza pour la deuxième fois depuis le début de la guerre. Les soldats de réserve jouent un rôle crucial et indispensable dans la guerre, dans la défense des citoyens d'Israël et dans la garantie de la sécurité de l'État », a déclaré l'unité du porte-parole de Tsahal.

L'armée israélienne (Tsahal) rapporte une série d'incidents à sa frontière nord. Deux soldats ont été légèrement blessés près de Shlomi suite à l'interception de trois "cibles aériennes", probablement des drones. En réponse, l'aviation israélienne a mené des frappes ciblées contre des installations militaires du Hezbollah dans le sud du Liban, notamment à Kfarkela. Un poste d'observation de l'organisation à Kfarchouba a également été détruit par un char israélien. Tsahal affirme avoir éliminé un terroriste dans la région de Tallouseh.

« L'attaque a également détruit des bâtiments et des centres militaires dans la zone de recherche scientifique de Masyaf, une ville du nord-ouest de la Syrie, en plus d'un incendie dans les zones boisées sur la route Masyaf-Wadi al-Uyun et la région de Hayr Abbas. »

Masyaf abrite un centre de recherche des milices iraniennes, destiné à améliorer la précision des roquettes pointées sur Israël. Deux sources des services de renseignements régionaux ont déclaré à Reuters que le centre de Masyaf « a été touché à plusieurs reprises ».

« Des missiles de défense aérienne sont tombés sur des zones résidentielles, des villages et des fermes et aucune information n'est disponible jusqu'à présent sur les pertes humaines, après qu'un missile est tombé sur le village de Samaka dans la campagne de Tartous, et un autre dans la banlieue d'al-Majd à Tartous, ce qui a entraîné des dégâts matériels », poursuit le rapport de l'OSDH.