Un homme d'une trentaine d'années a été poignardé à mort lors d'un attentat terroriste survenu au carrefour du Gush Etzion en Cisjordanie, selon le Magen David Adom.

Le MDA a fait savoir qu'il avait évacué trois autres victimes, qui seront prises en charge dans des hôpitaux de Jérusalem : une femme d'une quarantaine d'années qui se trouve dans un état grave, un homme d'une trentaine d'années et un adolescent de 15 ans dans un état modéré.

Quatre Israéliens ont été blessés lors d'une attaque terroriste combinée survenue mardi après-midi au carrefour de Gush Etzion.

Selon les premières informations, trois terroristes ont foncé en voiture sur des piétons au carrefour.

Les terroristes sont ensuite sortis de leur véhicule, armés de couteaux, et ont tenté de poignarder d'autres victimes. Ils ont été neutralisés sur place.

Les équipes médicales d'urgence du Magen David Adom (MDA) ont prodigué les premiers soins à une femme grièvement blessée, probablement par des tirs destinés à neutraliser les terroristes.

Par ailleurs, les équipes prennent en charge deux victimes dans un état grave et une autre légèrement blessée.

Une enquête interne de Tsahal, révélée ce matin sur Galei Tzahal, montre que le massacre du 7 octobre a pris Tsahal au dépourvu face à une guerre prolongée sur plusieurs fronts.

Selon le rapport, le document n'a pas été présenté au chef d'état-major Eyal Zamir et n'a pas été examiné par la commission Turgeman chargée d'enquêter sur les événements.

D'après les conclusions, le scénario de référence d'avant-guerre de Tsahal prévoyait 21 jours de combats au Liban suivis de 14 jours à Gaza un déploiement de seulement cinq semaines non consécutives. Il en a résulté une sous-estimation généralisée de la durée du conflit et, par conséquent, du niveau de préparation des infrastructures.

Dans ce contexte, les stocks de munitions et de pièces détachées étaient également insuffisants. L'enquête indique que Tsahal a dû lancer une campagne d'approvisionnement immédiate dès les premiers mois de la guerre, ce qui a retardé l'offensive terrestre et la réponse aux autres menaces.

Un autre problème mis en lumière par l'enquête révèle une dangereuse dépendance aux stocks d'urgence américains. L'année précédant la guerre, les États-Unis ont transféré plus de 100 000 obus d'artillerie, initialement stockés en Israël, vers le conflit ukrainien. Lorsque l'on a constaté que ces dépôts étaient vides, Tsahal s'est retrouvée confrontée à une grave pénurie de munitions.

L'enquête, menée par un lieutenant-colonel de la Direction de la planification, a sévèrement critiqué différents échelons, notamment les forces terrestres, l'état-major et le ministère de la Défense.

Malgré la gravité des conclusions, le document n'a été ni présenté au chef d'état-major ni examiné par la commission Turgeman. Il a toutefois été transmis au Contrôleur d'État.

Le courrier est arrivé discrètement, mais sa portée est explosive : Europol a confirmé avoir été en contact avec la Fondation Hind Rajab, une structure se présentant comme une ONG de « justice internationale », mais dont le président revendique des liens anciens avec le Hezbollah. Pour la première fois, une agence policière de l'Union européenne reconnaît officiellement avoir échangé avec cette organisation qui mène une campagne systématique de poursuites contre des soldats de Tsahal à travers le monde.

Basée à Bruxelles et créée en 2024, la Fondation Hind Rajab s'est fait connaître en utilisant une arme très particulière : le droit pénal international. Elle revendique l'envoi aux autorités de plusieurs pays et à la Cour pénale internationale à La Haye des noms de plus de 1 000 soldats israéliens, en s'appuyant notamment sur leurs propres publications sur les réseaux sociaux. Selon ses communiqués, des plaintes ont déjà conduit à l'ouverture de procédures au Brésil, en Belgique, en Tchéquie ou encore dans d'autres États européens, parfois jusqu'à l'arrestation et l'interrogatoire de réservistes israéliens de passage à l'étranger.

L'armée israélienne est désormais engagée dans une course aux armements qui l'oppose aux trafiquants d'armes le long de la frontière égyptienne. Mais sans l'aide de la police, de l'agence de sécurité du Shin Bet et de l'appui des législateurs, elles n'a que peu de chances de l'emporter.

Depuis des décennies, l'armée israélienne lutte contre les tentatives de contrebande entre l'Égypte et Israël, le long des 200 kilomètres de frontière qui séparent les deux pays.

Les responsables israéliens affirment que ce que le Hamas remet par l'intermédiaire de la Croix-Rouge n'est pas le corps d'un otage, mais des « découvertes » qu'Israël a demandé à examiner.

Selon un responsable israélien, le Hamas remet quelque chose qui a été trouvé hier dans le quartier de Zeitoun, à Gaza-City. Jérusalem a demandé que ces éléments soient transférés par la Croix-Rouge afin qu'ils puissent être examinés en Israël, a déclaré le responsable.

Des responsables à Téhéran continuent de faire face à des soupçons de faille grave dans le réseau de caméras de circulation de la capitale.
Mehdi Abbasi, membre du conseil municipal de Téhéran, a confirmé lors d'une interview au site Didban-e Iran que « l'expérience a montré qu'il faut examiner minutieusement tout équipement importé » une déclaration interprétée dans le pays comme une reconnaissance implicite que des images du réseau municipal sont parvenues à des acteurs extérieurs à l'Iran, et auraient même été utilisées par Israël.

Les Comités de résistance populaire (CRP), un groupe terroriste gazaoui allié au Hamas, affirment que l'un de leurs chefs locaux a été tué par ce qu'ils décrivent comme une force israélienne infiltrée près de Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.

Le groupe dénonce la mort de Waseem Abdel-Hadi, commandant de sa branche armée, lors d'une opération qu'il qualifie de « lâche et perfide ».

Les CRP, dont des membres ont rejoint ultérieurement l'offensive du 7 octobre 2023 menée par le Hamas en Israël, affirment qu'Abdel-Hadi a joué un rôle dans le développement de sa branche armée. Le groupe ne profère aucune menace directe de représailles.

Israël n'a pas encore réagi à cet assassinat présumé.

Les CRP sont considérés comme la troisième organisation terroriste la plus importante opérant dans la bande de Gaza, après le Hamas et le Jihad islamique. Ces dernières années, le groupe opérait sous les directives du Hamas.

En mai, elle avait également annoncé qu'un membre éminent avait été tué lors d'un raid commando israélien.

Le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem, a vivement critiqué le projet de résolution américain qui doit être présenté au Conseil de sécurité de l'ONU, affirmant qu'il ne contribue pas à la stabilité de la bande de Gaza.

Qassem a déclaré que le Hamas souhaite une résolution du Conseil de sécurité qui protège le droit à l'autodétermination du « peuple palestinien » et empêche une guerre contre la bande de Gaza ou des opérations militaires israéliennes en Judée-Samarie et à Jérusalem.

Selon lui, les États-Unis tentent d'apaiser quelques pays par le biais de déclarations non contraignantes. L'alternative, a ajouté Qassem, devrait être l'adoption d'une résolution renforçant le cessez-le-feu et ordonnant le déploiement d'une force internationale de maintien de la paix dans la bande de Gaza.

Le journal officiel du Hamas, Falastin, a mis en garde contre les dangers que représente le projet de résolution américain. Iyad al-Qarra, un journaliste proche du Hamas, a déclaré que les États-Unis cherchent à remodeler la bande de Gaza sous couvert d'aide humanitaire.

Al-Qarra a souligné que l'essence de la proposition est de désarmer la bande de Gaza par le biais de forces internationales dotées de larges pouvoirs, tandis qu'Israël ne serait pas tenu de s'engager sur un calendrier précis pour son retrait de Gaza.

Selon lui, cela se traduirait par une tutelle politique et sécuritaire prolongée sur Gaza, tandis que le droit « palestinien » à l'autodétermination serait retardé et remplacé par une administration de transition dépourvue de souveraineté palestinienne.

Al-Qarra a exprimé l'espoir que la position de l'Algérie au Conseil de sécurité contribuerait à bloquer la tentative d'internationalisation de cet accord dans la bande de Gaza.

Lorsqu'il était otage à Gaza, Avinatan Or s'est frayé un chemin jusqu'à la surface depuis un tunnel du Hamas avant de se faire prendre, a-t-il révélé à l'occasion d'un discours donné lors de la conférence d'une organisation juive aux Etats-Unis.

Libéré le mois dernier à la faveur du cessez-le-feu, Or a vécu seul en captivité.

Lors de l'Assemblée générale des Fédérations juives d'Amérique du Nord, à Washington, DC, il a expliqué que parfois, il ne voyait personne pendant des jours.

Dans un communiqué publié dans la nuit par le Hamas au nom des factions palestiniennes les groupes terroristes opérant dans la bande de Gaza, dirigés par le Hamas , le mouvement affirme que la résolution soumise par les États-Unis au Conseil de sécurité de l'ONU est « dangereuse » et constitue « une tentative de soumettre la bande de Gaza à une autorité internationale ».

Le communiqué précise que les factions palestiniennes rejettent toute clause relative au désarmement de Gaza ou portant atteinte au « droit à la résistance du peuple palestinien ».

Le communiqué rejette également toute présence militaire étrangère dans la bande de Gaza, affirmant qu'elle constituerait une violation de la souveraineté palestinienne.

« Toute force internationale doit être directement subordonnée à l'ONU et opérer en coordination avec les institutions palestiniennes officielles, sans la participation de l'occupant », stipule le communiqué.

L'ONU votera aujourd'hui sur la résolution approuvant le plan de cessez-le-feu global du président américain Donald Trump pour Gaza, qui prévoit le placement de Gaza sous la tutelle d'une Force internationale de stabilisation (FIS) et d'une administration palestinienne apolitique supervisée par un Conseil de la paix présidé par Trump.

Selon ce plan, Gaza doit être démilitarisée et reconstruite, bien que le Hamas ait jusqu'à présent refusé de donner son accord sur la question de la démilitarisation.

Alors que des efforts diplomatiques sont déployés pour désarmer le Hamas, Kan News a révélé dimanche que l'organisation terroriste a commencé à stocker des armes sophistiquées hors de la bande de Gaza, en prévision d'éventuels besoins.

Selon ce rapport, ces armes sont entreposées en Afrique, au Yémen et dans d'autres pays qui soutiennent le Hamas. Elles sont destinées à être transportées et acheminées clandestinement vers des sites stratégiques, notamment la bande de Gaza.

Le rapport souligne que ces opérations interviennent précisément au moment où les discussions sur le désarmement du Hamas s'intensifient, ce qui témoigne de la volonté de l'organisation de préserver et de reconstruire ses capacités militaires après la guerre, dans le cadre d'une stratégie à long terme.

Il y a environ une semaine et demie, il a été révélé que les services de renseignement autrichiens avaient découvert à Vienne une cache d'armes soupçonnée d'appartenir au Hamas et destinée à d'éventuelles attaques terroristes en Europe.

Selon un communiqué du ministère autrichien de l'Intérieur, un ressortissant britannique de 39 ans, nommé Mohammed, a été arrêté à Londres dans le cadre de l'enquête, soupçonné d'être lié à la découverte d'une cache d'armes.

Le communiqué précise que « des institutions israéliennes ou juives en Europe étaient vraisemblablement les cibles de ces attaques planifiées ». Après son identification, le Royaume-Uni a entamé une procédure d'extradition.

Le suspect a été arrêté dans le cadre d'une enquête internationale menée par la Direction de la sécurité d'État autrichienne et les services de renseignement, qui visait des organisations terroristes du monde entier soupçonnées d'avoir des liens directs avec le Hamas. L'enquête a fait naître des soupçons quant à l'introduction clandestine d'armes en Autriche par un petit groupe d'agents ou de sympathisants terroristes, en vue d'éventuelles attaques.

Le parquet fédéral allemand, qui a participé à l'enquête, a indiqué que Mohammed avait rencontré à deux reprises un homme nommé Abed, arrêté en Allemagne le mois dernier, soupçonné de planifier des attaques contre des institutions israéliennes et juives dans le pays.

La cache découverte contenait cinq pistolets et dix chargeurs, rangés dans une valise à l'intérieur d'un box de stockage loué. Les autorités policières autrichiennes ont estimé que ces armes étaient également destinées à d'autres opérations liées au Hamas, dont les détails n'ont pas été divulgués.

Les discussions sur l'avenir de Gaza se retrouvent à nouveau dans l'impasse, alors que l'administration Trump envisagerait d'adapter son plan de paix afin de contourner l'étape pourtant centrale du désarmement du Hamas. Selon un reportage diffusé samedi sur la chaîne israélienne Channel 13, la Maison-Blanche réfléchirait à suspendre temporairement la création d'une force internationale chargée de neutraliser le mouvement terroriste, afin de lancer plus rapidement la reconstruction du territoire gazaoui.

Depuis début octobre, un cessez-le-feu fragile est en vigueur, mais les pourparlers sur les phases suivantes achoppent sur la question clé de la démilitarisation du Hamas et du futur mode de gouvernance du territoire. L'absence de pays prêts à s'engager dans une mission de désarmement complique considérablement les plans américains. Un responsable israélien affirme que Washington propose désormais des "solutions intermédiaires" jugées inacceptables par Jérusalem. Selon lui, le Hamas profite de l'immobilisme actuel pour se renforcer.

Un acte d'accusation a été déposé dimanche devant le tribunal de district de Haïfa contre Shimon Azarzar, 27 ans, originaire de Kiryat Yam, accusé d'avoir transmis des informations militaires sensibles aux services de renseignement iraniens, ont indiqué le Shin Bet et la police israélienne.

Azarzar et sa compagne avaient été arrêtés en octobre, soupçonnés d'avoir agi sous les ordres de l'Iran pour recueillir des renseignements et mener à bien diverses missions.

Selon le Shin Bet et la police israélienne, Azarzar a transmis pendant un an des photos et les coordonnées de sites stratégiques en Israël à des agents iraniens. Il aurait également utilisé sa compagne, réserviste en poste sur une base aérienne, pour recueillir des renseignements supplémentaires sur les installations et les opérations de Tsahal.

L'acte d'accusation reproche à Azarzar des infractions liées à l'espionnage, notamment le contact non autorisé avec un agent étranger et la transmission de documents classifiés. Les autorités ont précisé qu'il avait été rémunéré par virement bancaire pour ses activités.

« Le Shin Bet et la police israéliens mettent une nouvelle fois en garde les citoyens et résidents israéliens contre tout contact avec des éléments étrangers provenant d'États ennemis ou de sources non identifiées, et leur interdisent formellement d'effectuer des missions pour leur compte, que ce soit contre rémunération ou pour toute autre raison. Les services de sécurité israéliens continueront d'identifier et de déjouer les activités terroristes et d'espionnage en Israël, et s'efforceront de traduire en justice tous les responsables », ont averti le Shin Bet et la police dans un communiqué conjoint.

Selon les autorités, l'enquête a révélé qu'Azarzar avait proposé de transmettre des informations provenant de bases militaires et qu'il avait exploité les connaissances de sa compagne concernant des opérations et des lieux classifiés.

Environ une semaine avant l'arrestation d'Azarzar, un autre suspect avait été interpellé pour des faits similaires. Lors d'une perquisition à son domicile, les enquêteurs auraient découvert du matériel numérique et 18 cartes SIM utilisées pour communiquer avec un agent étranger hostile.

Malgré ces éléments, le tribunal de première instance a remis le suspect en liberté sans l'assigner à résidence.

D'après les enquêteurs, l'individu a photographié plusieurs sites à la demande d'un contact iranien, notamment le musée d'art de Tel-Aviv, le parc Ganei Avraham dans le quartier de Bavli à Tel-Aviv, et le site d'impact de roquette à Ramat Gan lors de l'opération Lion ascendant. Il aurait reçu des milliers de shekels en cryptomonnaie en guise de paiement.

Le ministre israélien des Affaires de la diaspora Amichai Shikli a vivement attaqué dimanche la Turquie, la désignant comme "la plus grave menace pour Israël aujourd'hui" et l'accusant de "construire la Syrie d'al-Joulani comme avant-poste destiné à attaquer l'État d'Israël".

Dans une interview accordée à la radio publique Kan Reshet Bet, le ministre a affirmé que le président turc Recep Tayyip Erdogan et le ministre des Affaires étrangères Hakan Fidan "mènent une politique étrangère très agressive et offensive. Ils établissent actuellement des bases dans le nord de la Syrie".

Le président américain Donald Trump devrait conclure un accord avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane autorisant l'Arabie saoudite à acquérir des avions de chasse F-35.

Ce contrat, d'une valeur de plusieurs dizaines de milliards de dollars, pourrait bouleverser l'équilibre des forces au Moyen-Orient.

« Ils veulent acheter beaucoup d'avions », a déclaré Trump aux journalistes à bord d'Air Force One. « J'étudie la question. Ils m'ont demandé de l'examiner. Ils veulent acheter beaucoup de F-35, mais en réalité, ils veulent acheter bien plus que cela : des avions de chasse. Nous avons les meilleurs avions, les meilleurs missiles ; vous l'avez constaté lorsque nous avons détruit le programme nucléaire iranien », a-t-il ajouté.

Israël a été le premier pays, hors des États-Unis, à recevoir le F-35. L'appareil est entré en service opérationnel au sein de l'armée de l'air israélienne en décembre 2017 sous le nom de code « Adir ».

Trump perçoit cet accord comme une tentative d'intégrer l'Arabie saoudite aux accords d'Abraham, comme il l'a déclaré avant la visite du prince héritier Mohammed ben Salmane à la Maison-Blanche cette semaine. Le Pentagone s'inquiète également de cet accord, craignant que, compte tenu des liens étroits entre l'Arabie saoudite et la Chine, les technologies de pointe de l'avion ne parviennent à la superpuissance chinoise.

Le week-end dernier, Trump a annoncé que le Kazakhstan rejoindrait les Accords d'Abraham, puis a écrit sur Truth Social : « Je viens d'avoir un excellent entretien téléphonique entre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev. Le Kazakhstan est le premier pays de mon second mandat à rejoindre les Accords d'Abraham, le premier d'une longue série. C'est un grand pas en avant pour le rapprochement des peuples à travers le monde. Aujourd'hui, de plus en plus de nations s'engagent pour la paix et la prospérité grâce à mes Accords d'Abraham. Nous annoncerons prochainement une cérémonie de signature pour officialiser cet engagement, et de nombreux autres pays cherchent à rejoindre ce club de puissance. Il y a encore beaucoup à faire pour unir les pays en faveur de la stabilité et de la croissance : de véritables progrès, de véritables résultats. Heureux sont les artisans de la paix ! »

Après avoir publié ce message, Trump a ajouté : « Nous sommes en pourparlers avec de nombreux pays qui souhaitaient adhérer aux accords d'Abraham et n'ont pu le faire à cause de l'Iran, qui régnait en maître sur le Moyen-Orient. Maintenant que l'Iran a perdu son arsenal nucléaire, beaucoup souhaitent y adhérer. Nous discutons avec les membres potentiels traditionnels des accords d'Abraham. »

La neutralisation par le Shin Bet, Tsahal et la police d'une infrastructure centrale du Hamas à Bethléem constitue une victoire stratégique, qui a empêché des attaques imminentes contre des civils israéliens et les forces de sécurité. Cette opération conjointe avec les trois entités confirme l'efficacité du modèle israélien de contre-terrorisme offensif et ciblé en Judée‑Samarie.

Selon le communiqué conjoint, environ 40 agents du Hamas ont été arrêtés au cours de plus de 15 opérations menées par des réservistes de la brigade Etzion, l'unité Duvdevan et les forces du Lotar.  Des armes, dont des fusils d'assaut M16, ont été saisies, et l'une des cellules était prête à passer à l'action dans un délai très court. Les arrestations et les saisies ont démantelé une infrastructure qui recrutait, formait et armait des groupes pour mener des fusillades et des attentats à la bombe contre des Israéliens.

La marine des Gardiens de la révolution iraniens a confirmé samedi avoir arraisonné le pétrolier Talara vendredi matin.

Selon le communiqué, le pétrolier, battant pavillon des Îles Marshall et parti des Émirats arabes unis, transportait une cargaison non autorisée de 30 000 tonnes de produits pétrochimiques et faisait route vers Singapour.

La marine des Gardiens de la révolution a souligné que cette saisie était « une opération menée conformément aux obligations légales et visant à protéger les intérêts et les ressources nationales de la République islamique d'Iran », a rapporté l'IRNA.

Vendredi, le Centre britannique des opérations de commerce maritime (UKMTO) a signalé avoir « reçu un rapport d'incident à 20 milles nautiques à l'est de Khawhr Fakkan, aux Émirats arabes unis. Les autorités mènent l'enquête.»

« Il est conseillé aux navires de faire preuve de prudence et de signaler toute activité suspecte à l'UKMTO. »