Juif.org - Infos - Diplomatie Juif.org : toute l'actualit矤'Israꪠet du monde Juif sous forme de news, vid讳, photos et d'opinions! Thu, 20 Nov 2025 14:51:03 +0100 http://www.juif.org Netanyahu à la frontière syrienne. Pourquoi était-ce si urgent ? - Kountrass

Pendant quelques jours, le motif était classé secret-défense. Une audience du Premier ministre Benjamin Netanyahu, prévue mercredi dans le cadre de son procès pour corruption, a été brutalement annulée après que ses avocats ont remis aux juges une enveloppe « confidentielle ». On savait seulement qu'il s'agissait d'une raison liée à la sécurité de l'État. On sait désormais ce qui se cachait derrière cette formule : une visite éclair du chef du gouvernement dans la zone tampon syrienne, au pied du mont Hermon, en compagnie du sommet de l'appareil sécuritaire.

À l'aube, Netanyahu s'est envolé vers le plateau du Golan élargi, dans ce secteur de Syrie où Tsahal maintient depuis la chute du régime Assad une présence militaire continue. À ses côtés, le ministre de la Défense Israel Katz, le ministre des Affaires étrangères Gideon Sa'ar et le chef d'état-major, le général Eyal Zamir. Sur place, le Premier ministre a passé en revue les postes avancés israéliens, dont deux implantés sur le versant syrien du mont Hermon, avant de tenir une évaluation sécuritaire avec ses généraux.

Thu, 20 Nov 2025 13:06:06 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254298,netanyahu-a-la-frontiere-syrienne-pourquoi-etait-ce-si-urgent.php JW-NEWS-254298
Le Premier ministre libanais affirme qu'Israël refuse de négocier sur les différends frontaliers et qu'il saisira les États-Unis de cette question. - Juif.org

Dans une interview accordée à Bloomberg et publiée ce matin, le Premier ministre libanais, Nawaf Salam, accuse Israël de refuser toute négociation sur les différends frontaliers et de ne pas respecter les termes du cessez-le-feu.

Cet entretien intervient quelques jours avant le premier anniversaire du cessez-le-feu israélo-libanais, qui a mis fin à plus d'un an de combats avec le Hezbollah. Le cessez-le-feu est resté globalement respecté, bien qu'Israël frappe régulièrement ce qu'il qualifie de menaces du Hezbollah dans le sud du Liban, en vertu de l'accord, selon ses dires.

M. Salam accuse désormais Jérusalem de refuser tout dialogue avec Beyrouth pour résoudre un différend frontalier qui a conduit au maintien de la présence de troupes de Tsahal à cinq points stratégiques du côté libanais de la frontière, même après le retrait du reste des forces israéliennes.

« Ils demandent des négociations et, lorsque nous nous montrons prêts, ils refusent le rendez-vous », déclare Salam à Bloomberg, ajoutant qu'il compte soulever la question auprès des États-Unis, qui supervisent le cessez-le-feu.

Il affirme que les positions encore contrôlées par Israël au Liban « n'ont aucune valeur militaire ou sécuritaire » et qu'elles servent plutôt de « moyen de pression sur les Libanais ».

En réponse aux critiques israéliennes reprochant à l'armée libanaise de ne pas se déployer assez rapidement dans le sud du Liban, Salam rétorque que l'armée de son pays fait son maximum, malgré des ressources limitées.

« Nous devons recruter davantage de soldats, mieux les équiper et augmenter leurs salaires », explique-t-il.

Néanmoins, assure-t-il, Beyrouth est toujours « en bonne voie » pour un déploiement complet dans le sud du pays d'ici la fin du mois et la démilitarisation du Hezbollah dans cette zone une condition de l'accord de cessez-le-feu que le groupe terroriste soutenu par l'Iran a maintes fois refusé d'accepter.

Thu, 20 Nov 2025 10:35:42 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254293,le-premier-ministre-libanais-affirme-qu-israel-refuse-de-negocier-sur.php JW-NEWS-254293
Un État palestinien d'ici cinq ans : le prince héritier saoudien presse les États-Unis d'obtenir une garantie contraignante - Juif.org

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane attend des États-Unis qu'ils garantissent la tenue et la conclusion de négociations en vue de la création d'un État palestinien dans un délai de cinq ans, suite à sa rencontre avec le président américain Donald Trump.

Les déclarations publiques de Trump et du prince héritier ont évoqué une « voie claire » vers la création d'un État palestinien, mais les responsables israéliens ont interprété ces propos comme non contraignants. Une garantie américaine formelle donnerait une dimension beaucoup plus concrète à la vision saoudienne d'un État palestinien.

Lors d'entretiens à Washington après sa rencontre avec Trump, le prince héritier a également clairement indiqué qu'il estimait que toute force internationale prévue pour Gaza n'inclurait pas de troupes de pays arabes ou musulmans. Il a justifié sa décision en affirmant que les soldats musulmans ne combattraient pas le Hamas et ne désarmeraient pas le groupe.

Si les nations musulmanes ne participent pas, la question est de savoir qui le fera. Il est possible que cette force internationale ne soit jamais constituée, ou qu'elle ne prenne la forme que d'un cadre limité et inefficace, semblable à la force de maintien de la paix des Nations Unies au Liban. Les acteurs les plus susceptibles d'affronter le Hamas resteraient ceux qui le combattent actuellement : Israël et, dans une moindre mesure, l'Autorité palestinienne.

La visite triomphale du prince héritier à Washington marque un tournant pour l'Arabie saoudite et une évolution de la politique américaine au Moyen-Orient. Sa vision est ambitieuse, tant pour son pays que pour la région.

Lors de cette rencontre, qui s'est tenue alors que Trump exprimait sa volonté de vendre des avions de chasse F-35 à l'Arabie saoudite, les deux dirigeants ont également évoqué l'éventuelle adhésion de Riyad aux accords d'Abraham et la normalisation des relations avec Israël. Dans le Bureau ovale, Trump a fait l'éloge du prince héritier, affirmant que les deux hommes entretenaient des relations étroites depuis un certain temps. « Je suis très fier du travail qu'il a accompli. Son action en faveur des droits de l'homme est remarquable », a déclaré Trump. S'adressant aux journalistes, Mohammed ben Salmane a salué la contribution de Trump à la « paix mondiale » et a annoncé que les investissements saoudiens aux États-Unis, initialement prévus à 600 milliards de dollars, atteindraient 1 000 milliards de dollars.

Ce soir-là, Trump a confirmé que l'Arabie saoudite recevrait des avions de combat F-35 identiques à ceux fournis à Israël et a qualifié le royaume de « grand allié, au même titre qu'Israël ». Il a ajouté qu'Israël serait « très satisfait » de cet accord. Cette vente prévue a suscité de vives inquiétudes en Israël, car elle risquerait de compromettre son avantage militaire qualitatif de longue date dans la région.

Le prince héritier s'est également rendu à Washington pour finaliser les garanties de sécurité des États-Unis. Trump a annoncé que les deux pays étaient parvenus à un accord de défense, et la Maison Blanche a ensuite indiqué que le président avait également approuvé un accord portant sur la vente d'environ 300 chars américains à l'Arabie saoudite.

Concernant une éventuelle adhésion de l'Arabie saoudite aux accords d'Abraham, Mohammed ben Salmane a déclaré que le royaume souhaitait y adhérer, mais qu'il « voulait également garantir la voie vers un État palestinien ». Il a insisté sur son soutien à une solution à deux États et à la paix pour les Israéliens et les Palestiniens.

Thu, 20 Nov 2025 06:43:27 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254288,un-tat-palestinien-d-ici-cinq-ans-le-prince-heritier-saoudien.php JW-NEWS-254288
Le rapprochement entre les États-Unis et l'Arabie saoudite inquiète Israël - Le Figaro DÉCRYPTAGE - Le prince héritier Mohammed Ben Salman a réaffirmé à Washington que la normalisation avec Israël reste conditionnée à une avancée réelle vers un État palestinien. Wed, 19 Nov 2025 16:04:01 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254284,le-rapprochement-entre-les-tats-unis-et-l-arabie-saoudite-inquiete.php JW-NEWS-254284 Quelle est la signification pratique du statut de partenaire accordé hier à l’Arabie saoudite par Trump ? - Kountrass

L'Arabie saoudite a reçu hier de Trump un cadeau particulier : elle a été définie comme « alliée majeure non-membre de l'OTAN ». Cette déclaration signifie un partenariat stratégique parmi les plus étendus.

JDN

Que signifie le statut « d'allié majeur hors OTAN » ?

Ce statut, connu sous l'acronyme MNNA (Major Non-NATO Ally), est le niveau le plus élevé de coopération militaire et sécuritaire que les États-Unis accordent à un pays ne faisant pas partie de l'OTAN. Le Congrès américain attribue ce titre depuis 1987, en vertu de l'article 22 du Code des États-Unis.

Wed, 19 Nov 2025 12:55:41 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254279,quelle-est-la-signification-pratique-du-statut-de-partenaire-accorde.php JW-NEWS-254279
Mohammed ben Salmane : "Nous voulons rejoindre les accords d’Abraham" - i24 News

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a rencontré mardi le président américain Donald Trump à la Maison-Blanche, avant de délivrer une série de déclarations remarquées sur l'avenir du Moyen-Orient. « Nous voulons être partie prenante des accords d'Abraham, mais nous voulons également une solution à deux États et une voie crédible vers la création d'un État palestinien », a affirmé le dirigeant saoudien à l'issue de l'entretien, marquant l'une de ses prises de position les plus explicites sur le dossier.

Wed, 19 Nov 2025 05:52:57 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254276,mohammed-ben-salmane-nous-voulons-rejoindre-les-accords-d-abraham.php JW-NEWS-254276
Trump : Gaza est presque au point, ses habitants sont plus en sécurité que jamais. - Juif.org

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi soir que le nouveau Conseil de la paix, chargé de superviser la gestion de Gaza jusqu'à fin 2027, comprendra des chefs d'État de nombreux pays importants.

Ses propos ont été tenus lors d'un dîner à la Maison Blanche en l'honneur du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, en visite officielle.

« J'espère que Votre Altesse fera partie du Conseil », a déclaré Trump au prince héritier. « Tout le monde souhaite y siéger, et ce Conseil sera finalement assez important puisqu'il réunira les chefs d'État de tous les grands pays. »

Ces déclarations interviennent au lendemain de l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution accordant au Conseil de la paix, dirigé par les États-Unis, un large mandat pour gérer Gaza pendant les deux prochaines années, conformément au plan de paix en 20 points de Trump pour Gaza.

Trump a remercié ben Salmane pour son rôle dans l'obtention du cessez-le-feu du mois dernier à Gaza, sans toutefois donner plus de détails.

« Même si la situation semble encore un peu chaotique... [Gaza] est en passe d'être parfaite », a affirmé Trump.

Il a également salué la libération des otages dans le cadre de l'accord mettant fin à la guerre, tout en indiquant à tort que l'organisation terroriste Hamas devait encore libérer deux otages, alors qu'il y en a en réalité trois.

« Le Hamas a accompli un travail considérable, contrairement à ce que beaucoup pensaient », a déclaré Trump.

Ce dîner faisait suite à la rencontre de Trump avec le prince héritier saoudien à la Maison Blanche.

Après cette rencontre, la Maison Blanche a annoncé que les deux dirigeants avaient finalisé une série d'accords de grande envergure renforçant significativement le partenariat stratégique américano-saoudien.

Wed, 19 Nov 2025 05:37:07 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254274,trump-gaza-est-presque-au-point-ses-habitants-sont-plus-en.php JW-NEWS-254274
Trump accueille le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane avec une offre de F-35 et l'exhortera à normaliser ses relations avec Israël - Times of Israel

Le président américain Donald Trump déroulera le tapis rouge mardi pour le prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto de l'Arabie saoudite, lors d'une visite qui devrait faire progresser la vente d'avions de chasse F-35 et de nombreux accords commerciaux avec le royaume.

Il s'agira du premier voyage de ben Salmane, plus connu sous le nom de MBS, aux États-Unis depuis l'assassinat en 2018 du journaliste saoudien Jamal Khashoggi par des agents saoudiens à Istanbul, un événement qui avait suscité l'indignation internationale.

Les services de renseignement américains ont conclu que MBS avait approuvé la capture ou l'assassinat de Khashoggi, un critique de premier plan. Le prince héritier a nié avoir ordonné l'opération, mais a reconnu sa responsabilité en tant que dirigeant de facto du royaume.

L'accueil chaleureux qui lui sera réservé à Washington est le dernier signe en date du rétablissement des relations bilatérales après les fortes tensions causées par le meurtre de Khashoggi.

Lors d'une journée de diplomatie à la Maison Blanche, MBS s'entretiendra avec Trump dans le Bureau ovale, déjeunera dans la salle du Cabinet et assistera à un dîner de gala en soirée.

Trump espère tirer profit de la promesse d'investissement saoudienne de 600 milliards de dollars faite lors de sa visite dans le royaume en mai. Un haut responsable de la Maison Blanche a déclaré à Reuters que des accords américano-saoudiens dans les domaines de la technologie, de la production, de la défense et autres sont attendus.

Trump a déclaré lundi aux journalistes : « Nous allons vendre » des F-35 à l'Arabie saoudite, qui a demandé l'achat de 48 de ces avions de combat de pointe.

Il s'agirait de la première vente américaine de ces avions de chasse à l'Arabie saoudite et d'un changement de politique majeur. Cet accord pourrait modifier l'équilibre militaire au Moyen-Orient et mettre à l'épreuve la définition que Washington donne du maintien de ce que les États-Unis appellent « l'avantage militaire qualitatif » d'Israël. Jusqu'à présent, Israël était le seul pays du Moyen-Orient à posséder des F-35.

Outre l'équipement militaire, le dirigeant saoudien souhaite obtenir des garanties de sécurité, l'accès à la technologie de l'intelligence artificielle et des avancées dans un accord sur un programme nucléaire civil.

« Les Saoudiens vont dépenser des sommes considérables demain aux États-Unis », a déclaré lundi à Reuters un haut responsable de la Maison Blanche.

Dennis Ross, ancien négociateur américain au Moyen-Orient et aujourd'hui au Washington Institute for Near East Policy, a indiqué que Trump souhaitait développer une relation multiforme qui maintienne l'Arabie saoudite hors de la sphère d'influence chinoise.

« Le président Trump estime que toutes ces mesures renforcent les liens entre les Saoudiens et nous sur un large éventail de questions, allant de la sécurité au lien entre finance, intelligence artificielle et énergie. Il souhaite qu'ils soient liés à nous sur ces sujets et non à la Chine », a affirmé Ross.

Trump devrait également faire pression sur MBS pour que l'Arabie saoudite adhère aux accords d'Abraham et normalise ses relations avec Israël.

Les Saoudiens se sont montrés réticents à franchir une étape aussi importante sans une perspective claire d'un État palestinien, un objectif relégué au second plan par la guerre contre le Hamas à Gaza.

Durant son premier mandat en 2020, Trump a conclu les accords d'Abraham entre Israël et Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Maroc et le Soudan. Ces dernières semaines, le Kazakhstan, qui entretenait déjà des relations diplomatiques avec Israël, a accepté de les rejoindre.

Mais Trump a toujours considéré l'adhésion de l'Arabie saoudite aux accords d'Abraham comme la clé de voûte d'une paix plus large au Moyen-Orient.

« Il est primordial pour lui que l'Arabie saoudite rejoigne les accords d'Abraham durant son mandat, et il n'a cessé d'accentuer la pression en ce sens », a déclaré un haut responsable de la Maison Blanche.

Jonathan Panikoff, ancien directeur adjoint du renseignement national pour le Moyen-Orient, a indiqué que si Trump incitera MBS à normaliser les relations avec Israël, l'absence de progrès dans ce domaine ne devrait pas entraver la conclusion d'un nouvel accord de sécurité américano-saoudien.

« La volonté du président Trump d'accroître les investissements aux États-Unis, que le prince héritier a déjà promis, pourrait faciliter le développement des liens de défense, même si le président est déterminé à faire progresser la normalisation des relations israélo-saoudiennes », a déclaré Panikoff, qui travaille désormais au think tank Atlantic Council à Washington.

Tue, 18 Nov 2025 17:10:41 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254272,trump-accueille-le-prince-heritier-saoudien-mohammed-ben-salmane-avec.php JW-NEWS-254272
Gaza : l'ONU ouvre la voie à un État palestinien, le Hamas dénonce, Israël temporise - i24 News

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté lundi soir une résolution historique sur Gaza qui évoque pour la première fois la possibilité concrète d'une "autodétermination palestinienne". Cette mention, absente des versions initiales du texte américain, marque un tournant diplomatique majeur dans le conflit israélo-palestinien.

La résolution stipule qu'"après la mise en oeuvre du programme de réformes de l'Autorité palestinienne, les conditions pourraient être réunies pour un chemin crédible vers l'autodétermination et vers un statut d'État palestinien". Washington s'engage à mener un "dialogue entre Israël et les Palestiniens pour convenir d'un horizon politique de coexistence dans la paix et la prospérité".

Tue, 18 Nov 2025 06:40:27 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254263,gaza-l-onu-ouvre-la-voie-a-un-tat-palestinien-le-hamas-denonce.php JW-NEWS-254263
Le Conseil de sécurité de l'ONU adopte la résolution américaine sur la force internationale à Gaza et la « voie vers un État palestinien » - Juif.org

Le Conseil de sécurité de l'ONU a approuvé lundi la résolution soutenue par les États-Unis visant à établir une force internationale à Gaza.

Treize pays ont voté pour. La Russie et la Chine se sont abstenues.

Cette proposition s'appuie sur le plan en 20 points du président américain Donald Trump pour la bande de Gaza. Ses principaux éléments comprennent la mise en place d'une force internationale pour stabiliser la région, le désarmement du Hamas et la création d'une « voie vers la création d'un État palestinien ».

Présentant la résolution devant le Conseil, l'ambassadeur des États-Unis auprès de l'ONU, Mike Waltz, a déclaré qu'il s'agissait d'« un plan audacieux et pragmatique, issu du Plan global en 20 points du président Trump pour mettre fin au conflit de Gaza, forgé dans le cadre d'un dialogue diplomatique avec le Qatar, l'Égypte, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, la Jordanie, la Turquie, le Pakistan et l'Indonésie ».

Il a ajouté : « Je vous le demande, si la région la plus touchée, les nations arabes, les pays à majorité musulmane, les Palestiniens et les Israéliens, peuvent accepter cette résolution, comment pourrait-on s'y opposer ? Chez moi, on dit : "On ne peut être plus catholique que le Pape." Et je demande aujourd'hui à chacun : êtes-vous plus justes dans cette cause que ceux qui doivent vivre avec et qui, en fin de compte, bénéficieront de ce plan de paix ? »

Waltz a souligné que la première phase du plan a permis la libération des otages encore en vie et l'instauration d'un cessez-le-feu qui tient.

« Leur plan a déjà permis de faire taire les armes et de libérer 45 otages lors de cette première étape, certes fragile. Et que ce soit clair : les États-Unis restent déterminés à faire en sorte que les dépouilles des trois derniers otages détenus par le Hamas rentrent chez elles », a-t-il déclaré.

Waltz a averti que l'échec de la mise en oeuvre du plan Trump pourrait entraîner l'effondrement du cessez-le-feu, ajoutant : « Nous ne pouvons pas reproduire la définition de la folie en faisant exactement la même chose qu'auparavant. Et en reprenant les mêmes arguments et les mêmes discours, nous serons condamnés à revivre cette horreur.»

« Le temps presse, comme une bombe à retardement. Votons donc pour cette résolution, non pas comme un compromis, mais comme un pacte. Pour les enfants de Gaza. Pour une paix durable. Pour un Moyen-Orient renaissant », a-t-il déclaré.

L'ambassadeur d'Israël auprès de l'ONU, Danny Danon, a réagi à l'adoption de la résolution, soulignant qu'elle contient une déclaration explicite sur le désarmement du Hamas.

« Le désarmement du Hamas est une condition fondamentale. Il n'y aura pas d'avenir à Gaza tant que le Hamas détiendra des armes », a affirmé Danon.

Vendredi, les États-Unis et une coalition de pays clés du Moyen-Orient et à majorité musulmane ont publié une déclaration commune exprimant leur ferme soutien à la résolution, soulignant qu'elle « offre une voie vers l'autodétermination et la création d'un État palestinien ».

La clause du projet de résolution appelant à une voie vers l'établissement d'un État palestinien a suscité de vives critiques de la part de plusieurs ministres israéliens, mais le texte n'a pas été modifié avant le vote.

Dimanche, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a réaffirmé son opposition de longue date à la création d'un État palestinien à l'ouest du Jourdain.

« Notre opposition à un État palestinien sur quelque partie que ce soit de ce territoire reste inchangée », a-t-il précisé.

Tue, 18 Nov 2025 05:58:26 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254260,le-conseil-de-securite-de-l-onu-adopte-la-resolution-americaine-sur.php JW-NEWS-254260
À l'ONU, le plan Trump pour Gaza dévoile les fractures du «jour d'après» - Le Figaro DÉCRYPTAGE - Les États-Unis tentent d'imposer un cadre politique à l'enclave avec le déploiement d'une force internationale. Mais Israéliens, Palestiniens et pays arabes s'opposent encore sur l'essentiel : le désarmement du Hamas, le retrait de Tsahal et le rôle futur de l'Autorité palestinienne. Mon, 17 Nov 2025 19:04:01 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254259,l-onu-le-plan-trump-pour-gaza-devoile-les-fractures-du-jour.php JW-NEWS-254259 L'Allemagne annonce la levée de son embargo partiel sur les armes à destination d'Israël - i24 News

L'Allemagne a confirmé ce lundi la levée, à compter du 24 novembre, de l'embargo partiel sur les exportations d'armes à destination d'Israël. L'annonce intervient au lendemain d'un entretien entre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, et le chancelier allemand, Friedrich Merz.

Stefan Cornelius, porte-parole du gouvernement, a indiqué à l'agence de presse DPA que Berlin reviendrait ainsi sur la mesure de restriction instaurée en août dernier. Cet embargo concernait tout matériel militaire susceptible d'être utilisé dans la bande de Gaza, notamment des obus de chars fournis par le groupe Rheinmetall.

Mon, 17 Nov 2025 10:07:55 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254251,l-allemagne-annonce-la-levee-de-son-embargo-partiel-sur-les-armes-a.php JW-NEWS-254251
Aveux choc ! L’Allemagne dépend de l’armement israélien - Kountrass

L'Allemagne du chancelier Mertz fonde sa politique d'armement sur la technologie israélienne, de l'achat de drones et de missiles Spike aux systèmes Arrow 3, malgré les critiques formulées à l'encontre d'Israël à Gaza. Cette dépendance historique en matière de sécurité s'accentue.

Quatre-vingts ans après l'Holocauste, Israël arme l'Allemagne. Lors du sommet du G7 en juin, un journaliste a interrogé le chancelier allemand Friedrich Merz sur les bombardements massifs menés par Israël sur Téhéran pendant la guerre israélo-iranienne. « Israël fait le sale boulot pour nous tous », a rétorqué Merz d'un ton glacial.
 

Pour les Allemands, il s'agissait d'une déclaration particulièrement brutale et belliqueuse de la part du chancelier d'après-guerre, mais elle révélait une profonde compréhension de sa vision du monde : la sécurité de l'Allemagne dépend désormais des Juifs, le peuple qu'elle cherchait autrefois à anéantir, rapporte le journal britannique « The Telegraph » à propos des relations de sécurité entre Berlin et Jérusalem.

Mon, 17 Nov 2025 06:33:19 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254250,aveux-choc-l-allemagne-depend-de-l-armement-israelien.php JW-NEWS-254250
Amit Yagur : "Le débat sur les F-35 cache un affrontement régional bien plus large" - i24 News

Dans une analyse dense et géopolitique, Amit Yagur, ancien officier de Tsahal, relativise la polémique autour d'un éventuel feu vert israélien à la vente de F-35 à l'Arabie saoudite. Selon lui, l'enjeu dépasse largement la question des avions de combat. « Le F-35 n'est pas tellement important », affirme-t-il, estimant que l'on assiste surtout à une recomposition profonde du Proche-Orient.

Amit Yagur décrit un paysage régional marqué par la confrontation de trois blocs : l'axe chiite — Iran, Hezbollah et Hamas — affaibli mais en reconstruction ; l'axe sunnite radical, dominé par la Turquie, le Qatar et les Frères musulmans ; et enfin les États sunnites modérés, dont l'Arabie saoudite, l'Égypte, la Jordanie et certains Émirats. « Entre ces civilisations, il y a un combat de géants sur l'avenir du Proche-Orient après la guerre », résume-t-il.

 

Sun, 16 Nov 2025 19:07:10 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254247,amit-yagur-le-debat-sur-les-f-35-cache-un-affrontement-regional.php JW-NEWS-254247
Un tsunami américain à Gaza - Times of Israel

Dans la nouvelle réalité dans la bande de Gaza, ce sont les États-Unis qui fixent le ton, et ils veulent poursuivre le cessez-le-feu presque à tout prix. Il faut choisir : poser des lignes rouges à Trump et en payer le prix, ou coopérer avec lui tout en préservant une marge de manoeuvre.

Plus d'un mois après la signature de l'accord mettant fin à la guerre dans la bande de Gaza (9 octobre), le passé, le présent et l'avenir se clarifient.

Premièrement, la réponse à la question : « comment Israël en est arrivé à mettre fin aux combats ? » apparaît de façon cinglante. Les déclarations des hauts responsables américains, à commencer par le président Trump, et les interviews qu'ils ont accordées, ne laissent aucun doute : Israël a été contraint de mettre fin à la guerre suite à l'attaque ratée au Qatar, qui a suscité à Washington de fortes craintes d'une perte d'équilibre stratégique. La guerre ne s'est pas terminée parce que la pression militaire a fonctionné, mais parce que Trump a décidé qu'une campagne illimitée dans le temps et sans plan précis nuisait à Israël, mais aussi à Washington.

Sun, 16 Nov 2025 11:00:41 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254241,un-tsunami-americain-a-gaza.php JW-NEWS-254241
Israël refuse d’accueillir le Premier ministre norvégien - Kountrass

Jérusalem a rejeté la demande du Premier ministre norvégien de se rendre en Israël, invoquant un « moment inopportun ». Une décision qui intervient dans un contexte de relations diplomatiques au point mort depuis le 7 octobre.

Jonas Gahr Støre a confirmé au quotidien norvégien DN que sa demande de visite avait été refusée par les autorités israéliennes. « Voilà la justification » qu'on lui a opposée, a-t-il déclaré laconiquement. L'information a été confirmée par des sources israéliennes à Ynet.

Le Premier ministre norvégien attribue ce refus à l'engagement de son pays sur plusieurs dossiers sensibles : le soutien aux recours contre Israël devant la Cour internationale de Justice, la reconnaissance d'un État palestinien en mai 2024, et le désinvestissement d'entreprises israéliennes par le Fonds souverain norvégien. « Je pense que certains membres du gouvernement israélien réagissent ainsi envers les pays qui se sont opposés à la guerre à Gaza et ont reconnu l'État palestinien », a commenté Støre.

L'idée de cette visite a germé lors du sommet organisé par Donald Trump à Charm el-Cheikh le mois dernier, où Støre a rencontré le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et plusieurs dirigeants mondiaux. Le Premier ministre norvégien espérait s'entretenir avec des responsables régionaux pour définir le rôle de son pays dans la reconstruction de Gaza et « la prochaine phase du développement régional ».

Sun, 16 Nov 2025 05:23:34 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254238,israel-refuse-d-accueillir-le-premier-ministre-norvegien.php JW-NEWS-254238
Le Liban saisit l’ONU contre Israël pour un mur dépassant la ligne bleue de démarcation - i24 News

Le Liban va déposer une plainte auprès du Conseil de sécurité de l'ONU contre Israël, qu'il accuse d'avoir construit un mur de béton le long de la frontière sud, empiétant au-delà de la « ligne bleue », annonce la présidence libanaise.

Cette ligne tracée par l'ONU marque la séparation entre le Liban, Israël et le plateau du Golan. Beyrouth affirme que les nouvelles constructions israéliennes constituent une violation de sa souveraineté et des résolutions internationales.

Sun, 16 Nov 2025 05:20:09 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254235,le-liban-saisit-l-onu-contre-israel-pour-un-mur-depassant-la-ligne.php JW-NEWS-254235
Washington affirme que son plan pour Gaza ouvre une voie à un État palestinien - Times of Israel

Dans une déclaration commune qui a été initiée par les États-Unis dans la journée de vendredi, plusieurs pays qui travaillent actuellement à mettre un terme au conflit à Gaza ont exprimé leur soutien à la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui a été proposée par Washington, une proposition qui vise à établir une force internationale de stabilisation à Gaza et ce malgré l'opposition de la Russie et de la Chine.

La déclaration, qui a été soutenue par le Qatar, l'Égypte, les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite, l'Indonésie, le Pakistan, la Jordanie et la Turquie, souligne que le processus présenté par Washington « offre une voie vers l'autodétermination et vers la création d'un État palestinien ».

Sat, 15 Nov 2025 16:13:51 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254233,washington-affirme-que-son-plan-pour-gaza-ouvre-une-voie-a-un-tat.php JW-NEWS-254233
Rapport : Trump fait pression sur les Saoudiens concernant la normalisation des relations avec Israël après le cessez-le-feu à Gaza - Juif.org

Selon un article d'Axios paru jeudi, citant deux hauts responsables américains, le président américain Donald Trump a exhorté le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) à normaliser ses relations avec Israël lors d'un entretien téléphonique le mois dernier. Cette conversation, jusqu'alors confidentielle, a eu lieu après le sommet de paix de Gaza en Égypte.

D'après un responsable américain ayant eu connaissance directe de l'appel, Trump a déclaré à MBS qu'il était parvenu à mettre fin à la guerre à Gaza et qu'il attendait désormais de l'Arabie saoudite qu'elle prenne des mesures en faveur de la normalisation. MBS aurait répondu qu'il était disposé à travailler sur ce dossier avec l'administration Trump.

L'ambassade d'Arabie saoudite à Washington s'est refusée à tout commentaire.

Selon Axios, les responsables américains espèrent des avancées sur ce dossier avant la rencontre prévue la semaine prochaine entre Trump et MBS à la Maison Blanche, tout en reconnaissant que des divergences importantes persistent entre les positions saoudienne et israélienne.

Alors que l'administration Trump a multiplié les ouvertures à Riyad, espérant la convaincre d'adhérer aux accords d'Abraham, les responsables saoudiens ont toujours affirmé qu'un État palestinien serait une condition préalable à la normalisation des relations entre l'Arabie saoudite et Israël.

L'Arabie saoudite et Israël semblaient en voie de normalisation avant l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Après le massacre, l'Arabie saoudite a suspendu les plans de normalisation des relations avec Israël, soutenus par les États-Unis.

Le mois dernier, lors d'une interview, Trump a déclaré s'attendre à un élargissement des accords d'Abraham dans un avenir proche et a exprimé l'espoir que l'Arabie saoudite rejoigne le pacte.

« J'espère que l'Arabie saoudite y adhérera, et j'espère que d'autres pays suivront. Je pense que lorsque l'Arabie saoudite y adhérera, tout le monde y adhérera », a déclaré le président.

Selon un article d'Axios publié jeudi, des responsables américains affirment que certaines des exigences saoudiennes ont été prises en compte. Trump devrait proposer un engagement en matière de sécurité lors de la visite de MBS, qui, sans constituer un traité à part entière, pourrait en jeter les bases.

L'administration Trump estime que les dernières clauses de son plan de paix pour Gaza ouvrent la voie à la création d'un État palestinien. Ce plan stipule que si l'Autorité palestinienne met en oeuvre « fidèlement » les réformes lors de la reconstruction de Gaza, les conditions pourraient se réunir pour « une voie crédible vers l'autodétermination et la création d'un État palestinien ». Il promet également un dialogue mené par les États-Unis afin d'établir un « horizon politique pour une coexistence pacifique et prospère ».

Un ancien responsable américain proche des dirigeants saoudiens a déclaré que MBS exigerait des engagements plus fermes et concrets de la part d'Israël pour justifier la normalisation des relations auprès d'une opinion publique saoudienne de plus en plus hostile à Israël suite à la guerre de Gaza.

Un haut responsable américain a résumé la position de Washington : « Nous avons fait tout ce que vous nous avez demandé. Maintenant, le président Trump souhaite d'autres choses, comme la normalisation des relations avec Israël. Comment comptez-vous procéder désormais ? »

Les responsables américains affirment que les discussions se poursuivent, mais il reste difficile de prévoir si une avancée significative sera réalisée lors de la prochaine visite de MBS.

Fri, 14 Nov 2025 07:27:38 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254221,rapport-trump-fait-pression-sur-les-saoudiens-concernant-la.php JW-NEWS-254221
Netanyahu « n'a pas peur » de se rendre à New York sous le maire Mamdani - Juif.org

Dans un entretien franc avec la journaliste australienne Erin Molan, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a répondu aux questions concernant Zohran Mamdani, le nouveau maire de New York, connu pour ses positions anti-israéliennes. Il a notamment évoqué ses craintes de se rendre dans la ville suite aux déclarations de Mamdani, qui avait affirmé vouloir arrêter Netanyahu s'il y entrait.

Netanyahu a répondu fermement : « Non. Je n'ai pas peur. Que voulez-vous que je dise de Mamdani ? Que lui reproche-t-il ? »

Il a ensuite développé son point de vue sur les positions politiques de Mamdani, les opposant à sa propre approche économique, en particulier la transition d'Israël d'un semi-socialisme à un capitalisme de marché. Netanyahu a souligné le succès des réformes économiques israéliennes, qui, selon lui, ont fait d'Israël une puissance technologique mondiale. Il a également mis en garde contre l'antisémitisme, dont Mamdani est accusé de faire partie, et son pouvoir destructeur sur les sociétés.

« L'antisémitisme détruit généralement les sociétés », a déclaré Netanyahu. « Cela commence par les Juifs, puis s'étend aux Noirs, aux homosexuels, aux Hispaniques... et finit par détruire les sociétés. » Il a ajouté que si New York persistait dans cette voie, son avenir pourrait être « très sombre ».

Interrogé sur sa volonté d'entamer un dialogue avec Mamdani, Netanyahu a été direct : « Je suis engagé dans de nombreux dialogues en ce moment. Et je pense que, dans ce cas précis, il ferait mieux de se renseigner avant de faire de telles déclarations. »

Netanyahu a également insisté sur l'importance d'être un dirigeant instruit : « C'est bien d'être un jeune dirigeant, mais c'est mal d'être un jeune dirigeant illettré. » Il a suggéré que Mamdani, qu'il a accusé de manquer de connaissances en économie et en matière d'antisémitisme, devait se documenter sur ces sujets avant qu'une conversation constructive puisse avoir lieu. Malgré les tensions, le message de Netanyahu était clair : il est ouvert à la discussion, mais seulement si Mamdani est disposé à reconsidérer ses positions au préalable.

Thu, 13 Nov 2025 17:18:17 +0100 http://www.juif.org/diplomatie-moyen-orient/254219,netanyahu-n-a-pas-peur-de-se-rendre-a-new-york-sous-le-maire.php JW-NEWS-254219