La victoire de la sainte Tora : après une longue année de lutte contre les partis nationaux et étrangers, et après que les membres de la Knesset du Judaïsme Torah et du Shas se soient battus avec acharnement pour l'adoption de la loi sur les médias conformément aux instructions fermes du leader de la Tora, le Roch Yechiva rav Hirsch. La loi a été adoptée en deuxième et troisième lecture et entrera dans le livre de lois de l'État d'Israël.

Be'hadré "Harédim

Le Plénum de la Knesset a approuvé ce soir (mercredi) en deuxième et troisième lectures la proposition de loi sur les télécommunications (Bezeq et radiodiffusion) (amendement n° 79) de 2024, présentée par le député Yanon Azoulay et un groupe de 60 membres de la Knesset ont soutenu la proposition, contre 53 qui s'y sont opposés.

Le ministre de la Défense Galant s'en prend publiquement à Ben Gvir et le traite de « pyromane qui tente de mettre le feu au Moyen-Orient », après qu'il ait déclaré qu'il était possible pour les Juifs de monter sur le mont du Temple. Le ministre a clairement fait savoir qu'il s'opposait à son inclusion dans le cabinet de guerre.

Be'hadré "Harédim Arié Ben Zeèv

Le ministre de la Défense Yoav Galant s'en prend aujourd'hui (mercredi) au ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir et a écrit sur son compte X : « Il y a un pyromane au sein du gouvernement israélien qui tente de mettre le feu au Moyen-Orient. »

Après que le député Itamar Ben Gvir a annoncé avoir "prié sur le Mont du Temple pour une révision du statu quo" qui prévaut sur ce lieu saint pour les deux religions (aussi appelé Esplanade des Mosquées), le ministre de l'Intérieur Moshe Arbel a rappelé que "l'interdiction de prier sur le Mont du Temple est la position de tous les grands rabbins d'Israël à travers les générations."

Le député Moshe Gafni a ajouté sur son compte X : "Monter sur le Mont du Temple est strictement interdit et passible de retranchement. J'exige du Premier ministre qu'il n'autorise aucun changement du statu quo sur le Mont du Temple, et si des changements doivent être faits, alors il faut fermer le Mont du Temple aux Juifs."

Kamala Harris ouvre une mince avance de deux points de pourcentage sur Donald Trump, le candidat républicain, après que le président américain Joe Biden a annoncé son retrait de la course à la présidentielle.

Be'hadré "Harédim Shalov Shinberg Photo : porte-parole de la Maison Blanche

La vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, a pris une avance marginale de 2% sur le républicain Donald Trump après le retrait du président américain Joe Biden de la course à la présidentielle, selon un sondage Reuters.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son épouse Sara ont rencontré lundi soir les représentants des familles des otages qui ont accompagné l'entourage à Washington, ainsi que les représentants des familles des otages se trouvant aux États-Unis.

Il s'agit de leur première rencontre dans le cadre de la visite à Washington.

A la réunion ont également participé les soldats qui ont combattu le 7 octobre et qui ont combattu à Gaza et qui accompagnent la délégation, ainsi que des représentants des familles endeuillées qui ont perdu leurs proches dans les combats dans les villes proches de la frontière avec Gaza et dans la bande de Gaza.

Le Premier ministre a déclaré lors de la réunion : « Il s'agit d'une visite importante qui nous donnera l'occasion de présenter aux représentants du peuple américain l'importance de leur soutien aux efforts que nous déployons, avec eux, pour réaliser la libération de tous les otages vivants et morts. »

« Malheureusement, il y a des morts. Aujourd'hui, nous avons été informés de deux autres qui ne font plus partie des vivants », a ajouté le Premier ministre.

« Nous sommes déterminés à les ramener tous. Les conditions pour les ramener sont réunies, pour la simple raison que nous exerçons une pression très, très forte sur le Hamas. Nous assistons à un certain changement, et je pense que ce changement va s'accentuer. Nous avons l'intention de le faire, c'est un objectif de la guerre », a-t-il souligné.

Ont également participé à la réunion le chef du Conseil national de sécurité, le directeur général de la présidence du gouvernement, le secrétaire du gouvernement, le secrétaire militaire et le coordonnateur des prisonniers et des personnes disparues.

Trump a déclaré lors d'une conversation avec CNN : « Il sera beaucoup plus facile de battre Harris que Biden » . Dans le même temps, CNN a rapporté qu'il n'était pas certain que la réunion Netanyahu-Biden ait lieu comme prévu. Pendant ce temps, le système politique en Israël et aux États-Unis n'ont pas tardé à commenter le départ à la retraite.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pris la parole lundi matin avant de s'envoler pour Washington pour rencontrer le président américain Joe Biden.

Avant le décollage, Netanyahu a salué les otages libérés et les familles des otages qui voyageraient avec lui.

Se tournant vers ses compatriotes et vers le monde, Netanyahu a déclaré : « Je pars pour un voyage très important aux États-Unis à un moment où Israël se bat sur sept fronts et où règne une grande incertitude politique à Washington. »

« Je chercherai à ancrer le soutien bipartisan qui est si important pour Israël. Et je dirai à mes amis des deux côtés de l'allée que quel que soit le choix du peuple américain comme prochain président, Israël reste l'allié indispensable et fort des Etats-Unis au Moyen-Orient. »

Netanyahu a poursuivi : « J'ai l'intention de voir le président Biden, que je connais depuis plus de quarante ans. Ce sera l'occasion de le remercier pour ce qu'il a fait pour Israël pendant la guerre et au cours de sa longue et distinguée carrière dans la fonction publique, comme sénateur, vice-président et président. »

« Ce sera également l'occasion de discuter avec lui de la manière de faire avancer, au cours des mois critiques à venir, les objectifs qui sont importants pour nos deux pays - parvenir à la libération de tous nos otages, vaincre le Hamas, affronter l'axe terroriste iranien et garantir que tous les citoyens israéliens puissent rentrer en toute sécurité dans leurs foyers du nord et du sud. »

« En cette période de guerre et d'incertitude, il est important que les ennemis d'Israël sachent que l'Amérique et Israël sont solidaires - aujourd'hui, demain et toujours. »

Le vol verra Netanyahu monter à bord de l'avion Kanaf Zion (« aile de Sion ») pour la première fois depuis sa remise en service. L'avion est utilisé pour le président et le premier ministre, à destination de Washington.

Le président américain Joe Biden a annoncé dimanche sa décision de se retirer de la course à la présidentielle américaine, permettant ainsi à son parti de sélectionner un autre candidat pour affronter l'ancien président américain Donald Trump en novembre.

"Cela a été le plus grand honneur de ma vie d'être votre président", a écrit Biden dans une lettre. "Et même si j'ai eu l'intention de me faire réélire, je crois qu'il est dans le meilleur intérêt de mon parti et du pays que je me retire et me concentre uniquement sur l'accomplissement de mes fonctions de président pour le reste de mon mandat."

"Je parlerai plus en détail à la Nation plus tard cette semaine de ma décision."

Biden a également remercié la vice-présidente américaine Kamala Harris pour « avoir été un partenaire extraordinaire » dans son travail, et a remercié le peuple américain « pour la foi et la confiance » qu'il a placées en lui.

"Je crois aujourd'hui ce que j'ai toujours eu : qu'il n'y a rien que l'Amérique ne puisse faire - lorsque nous le faisons ensemble. Nous devons simplement nous rappeler que nous sommes les États-Unis d'Amérique."

C'est ce que l'on appelle un revirement historique. Marine Le Pen, connue pour sa position selon laquelle « la France n'(était) pas responsable » de la rafle du Vel d'Hiv, a récemment changé de ton. Lors d'un hommage rendu aux victimes de la rafle, elle a pour la première fois reconnu que cet événement tragique avait été ordonné par « les autorités françaises ».

La Knesset a massivement voté jeudi une résolution rejetant l'établissement d'un État palestinien. Ce vote, intervenant juste avant la visite du Premier ministre Benjamin Netanyahou aux États-Unis, risque d'exacerber les tensions avec l'administration Biden et de nombreux démocrates américains. La résolution, adoptée par 68 voix contre 9, affirme que "l'établissement d'un État palestinien au coeur de la Terre d'Israël poserait un danger existentiel pour l'État d'Israël et ses citoyens".

Dans un vote serré de 53 contre 51, la Knesset a rejeté mercredi la proposition d'établir une commission d'enquête étatique sur les événements tragiques du 7 octobre. Cette décision intervient dans un contexte de tensions croissantes au sein du gouvernement israélien et de pressions de l'opposition pour une investigation approfondie.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou reste ferme sur sa position : aucune enquête sur la responsabilité du gouvernement ne peut avoir lieu tant que la guerre à Gaza se poursuit.  L'ancien ministre du cabinet de guerre, Benny Gantz, a accusé Netanyahou de "retarder les opérations nécessaires à Gaza" et a affirmé que "tout sera révélé lorsque les protocoles et les témoignages seront entendus par la commission d'enquête étatique". Cette déclaration a provoqué une vive réaction de Netanyahou, qui a accusé Gantz de propager des "fake news". Ce rejet par la Knesset intervient alors que des rumeurs circulent sur les intentions de Netanyahou d'établir un panel indépendant, dirigé par une figure de son choix, pour enquêter sur les événements. Cette approche est vue par certains comme une tentative de contrôler le récit et potentiellement de limiter la portée de l'enquête. L'opposition, menée par le parti Yesh Atid, insiste sur la nécessité d'une commission d'État dotée des plus grands pouvoirs d'investigation. Ils argumentent qu'une telle commission est essentielle pour comprendre pleinement les défaillances qui ont conduit à la tragédie du 7 octobre et pour en tirer les leçons nécessaires. Cette controverse met en lumière les divisions profondes au sein de la classe politique israélienne sur la manière de gérer l'après-7 octobre. Alors que le pays continue de faire face aux conséquences de cette attaque dévastatrice, la question de la responsabilité et de la transparence reste au coeur du débat public. L'issue de ce débat pourrait avoir des implications significatives non seulement pour la compréhension des événements du 7 octobre, mais aussi pour l'avenir politique d'Israël et sa capacité à prévenir de futures tragédies.

Il est parfois difficile de se taire ! Nous nous refusons généralement de parler des scandales qui perturbent la vie du pays, surtout quand ils sont rapportés par des journalistes quelconques. Là, il nous a semblé indispensable de rapporter ce qui se dit dans le monde des médias locaux, en particulier quand il s'agit d'un sujet brûlant, qui dérange énormément le public qui est le notre, celui orthodoxe, et qui, de plus, est lié à un français. Alors, allons-y ! Et que D' nous pardonne si nous faisons erreur.

L'annonce par l'armée d'envoyer des ordres ce dimanche à des milliers d'étudiants et de membres de kollelim a conduit à une unification orthodoxe de tous les Grands du peuple juif contre cette décision, qui trouve le monde des Yechivoth et des Kollélim parfaitement unis contre elle.

Aujourd'hui, un journaliste laïc de haut rang a révélé que, malgré les dénégations, celui qui a donné son appui à l'armée pour envoyer les ordres n'est rien de moins que celui qui a travaillé ces derniers mois pour établir un nouvelle unité orthodoxe dans Tsahal !

Kikar haChabbath  Hizki Stern

En début de semaine (dimanche), une réunion a eu lieu au domicile du rav David Leybel (notre photo) à Bené Brak avec le commandant du commandement de la formation de Tsahal, le colonel David Zini, et le commandant du commandement du renseignement militaire, le général de brigade Shay Taib, dont le but était de promouvoir « la création d'une brigade orthodoxe au sein de Tsahal ». Après la réunion, une émeute a éclaté d'une faction d'extrémistes qui ont scandé des insultes contre le rav Leybel.

Lors d'une réunion tendue mardi avec les familles endeuillées des soldates de surveillance ou tazpitaniyot assassinées par le Hamas le 7 octobre, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a affirmé qu'il ne savait pas que les soldates avaient exprimé leur inquiétude quant à la préparation d'une attaque imminente par le groupe terroriste palestinien.

Il a également affirmé ne pas savoir que les tazpitaniyot de la base située à la frontière de Gaza, toutes des femmes, n'étaient pas armées. Enfin, il a affirmé ignorer que de nombreuses familles endeuillées n'avaient pas reçu de visites de condoléances de la part de ministres du gouvernement ou de membres de la Knesset.

Au cours de cette réunion de trois heures, dont l'enregistrement a été diffusé par la Douzième chaîne, les familles ont vivement critiqué le Premier ministre pour ne pas avoir reconnu sa responsabilité dans le pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas.

Donald Trump a choisi James David Vance, sénateur républicain de l'Ohio, comme adjoint désigné. Vance avait déjà sévèrement critiqué l'ancien président, mais est depuis devenu l'un de ses plus fervents défenseurs et partisans | C'est un ancien militaire et un partisan de droite d'Israël.

Be'hadré "Harédim Photo exceptionnelle de Vance en ce jour, mardi 15 juillet, au Kotel !

James David Vance, 39 ans, sénateur de l'État de l'Ohio, a été choisi comme vice-président de l'ancien président Trump, candidat à la présidence en novembre prochain. Vance a été un critique sévère de Trump dans le passé, mais il est devenu ces dernières années l'un de ses plus grands partisans.

L'ancien président Donald Trump a fait sa première apparition publique dans la nuit de mardi, seulement deux jours après avoir survécu à une tentative d'assassinat, lors de la soirée d'ouverture de la Convention nationale républicaine. Trump portait un bandage sur son oreille droite.

Les délégués ont acclamé avec enthousiasme l'ancien président lorsqu'il est apparu à l'écran en coulisses avant d'entrer dans la salle, sans toutefois prononcer de discours. Son apparition est intervenue quelques heures après que les délégués l'ont officiellement désigné comme le candidat du parti pour l'élection présidentielle de novembre, et ont accueilli le sénateur de l'Ohio, J.D. Vance, que Trump a choisi comme colistier.

"Nous devons nous unir en tant que parti, et nous devons nous unir en tant que nation", a déclaré Michael Whatley, président du Parti républicain choisi par Trump, en ouvrant la session de la convention nationale. "Nous devons montrer la même force et résilience que le président Trump, et conduire cette nation vers un avenir plus grand".

Après la fusillade, Donald Trump se répète et dit avoir rejeté le discours fort qu'il avait préparé, dans le but de prononcer un discours plus rassembleur. • Joe Biden a également appelé à l'unité ce soir : « Le pouvoir de changer l'Amérique devrait être entre les mains du peuple, pas entre les mains d'un assassin potentiel. »

JDN

Première interview après la tentative d'assassinat : Donald Trump a été interviewé par le « New York Post » et a déclaré qu'il « était censé être mort » à la suite de la tentative d'assassinat lors d'un rassemblement électoral en Pennsylvanie. Il a décrit l'expérience comme « très surréaliste ».

« Le médecin de l'hôpital a déclaré qu'il n'avait jamais rien vu de pareil. Il a qualifié cela de miracle », a déclaré Trump, l'oreille droite bandée par un large bandage blanc lâche. « Je ne suis pas censé être ici, j'étais censé mourir », a-t-il ajouté.

Le ministre des Affaires de la diaspora, Amichai Chikli, s'est entretenu dimanche avec Arutz Sheva au sujet de la frappe visant le commandant de la branche militante du Hamas, Mohammed Deif.

"L'élimination de Deif est importante comme aucune autre", a ouvert Chikli et a expliqué : « Deif est le 7 octobre, il est la brane, il est le chef de l'aile militaire, et son élimination est d'une importance capitale pour faire avancer un accord dans de meilleures conditions. »

Selon lui, « au-delà d'un accord, la chose la plus importante dans l'élimination de Deif, à supposer qu'il ait effectivement été éliminé, est la démoralisation des membres du Hamas. Je pense que cette élimination a le potentiel de conduire avant tout à la victoire, mais à un accord aussi. »

Chikli a également évoqué la tentative d'assassinat de l'ancien président américain Donald Trump. « Je pense que nous avons beaucoup à apprendre de ce terrible incident. » Se tournant vers Israël, il a déclaré : « Il y a une incitation généralisée contre le Premier ministre et non pas en marge de la société, le major-général (de réserve) Guy Tzur) s'est levé et a proclamé : « Netanyahu est un traître, un ennemi de l'État ». (Homme d'affaires israélien) Ami Dror arrive et dit : « Nous effacerons la mémoire de Netanyahu. » D'autres disent : « Nous attendrons avec un noeud coulant. »

« Malheureusement, le procureur général ferme les yeux et n'agit pas », a-t-il ajouté.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou doit donner une conférence de presse à 20h45 ce samedi soir au siège du ministère de la Défense à Tel Aviv, après la frappe visant le chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Il s'agit de la première conférence de presse du Premier ministre depuis le mois de mars.