New York Jewish Week Il était une fois, au siècle dernier, un enfant Benjamin Resnick qui imaginait le récit d'une vie juive, aux Etats-Unis, très différente de celle qu'il raconte dans « Next Stop », son premier roman dystopique qui a été publié le 10 septembre.

Resnick était alors en maternelle, à Chicago. Il avait voulu à tout prix raconter à son enseignant cette histoire « de la boulangerie juive qui faisait les meilleurs gâteaux du monde, mais auxquels seuls les enfants juifs avaient droit ».

Une première partie on ne peut plus ancrée dans la réalité : petit, Resnick raffolait des biscuits farineux que son père lui achetait à la boulangerie casher. L'interdiction des clients non juifs ?... Une totale invention de sa part.

Au moins deux personnes ont été blessées ce matin (vendredi) à la suite d'une attaque de missiles antichars du Hezbollah près du kibboutz Yir'on.

Le directeur général du Magen David Adom (MDA), Eli Bin, a rapporté que la mort d'un travailleur étranger qui travaillait comme conducteur de tracteur dans la région et qui a été grièvement blessé lors de l'attaque de missiles a été constatée.

Plus tôt, de nombreuses alarmes ont été entendues dans la région de Haïfa et d'Acre. Au moins 20 roquettes ont été tirées par des terroristes du Hezbollah. Jusqu'à présent, un impact de roquette a été signalé dans la zone industrielle de Kiryat Bialik. Il n'y a pas eu de victimes.

Un Arabe de Beyrouth, apparemment originaire du quartier Dahiya, s'est filmé en début de semaine en train de menacer en arabe le porte-parole de Tsahal, Avihai Adrai, mais suite au bombardement aérien de Tsahal, il n'a pas eu le temps de finir ses paroles.

Juste avant que nous devions finir et nous enfuir, le caméraman nous a prévenu : « Nous vous suivons. Je veux dormir en paix ! Je n'arrive pas à dormir », a-t-il réprimandé en arabe au porte-parole de Tsahal : « On dirait que tu t'endors ». Pendant qu'il parlait, les FDI ont attaqué dans la zone et la force de l'attaque a fait tomber ses lunettes et il a été contraint de fuir.

Tsahal annonce la mort à Gaza de trois soldats réservistes israéliens. Leurs noms ont été autorisés à publication :

Sergent-chef (réserviste) Ouri Moshe Borenstein, 32 ans, de Moreshet, commandant d'un véhicule blindé Achzarit dans l'unité de soutien administratif 5460, brigade "Bney Or" (460), tombé au combat dans le nord de la bande de Gaza.

Major (réserviste) Netanel Hershkovitz, 37 ans, de Jérusalem, commandant adjoint de compagnie dans l'unité de soutien administratif 5460, brigade "Bney Or" (460), tombé au combat dans le nord de la bande de Gaza.

Sergent-chef (réserviste) Tzvi Matityahu Marantz, 32 ans, de Bnei Adam, chef de section dans l'unité de soutien administratif 5460, brigade "Bney Or" (460), tombé au combat dans le nord de la bande de Gaza

Le siège de Jérusalem par l'Empire assyrien en 701 avant notre ère est mentionné dans la Bible, dans les archives assyriennes et, plus tard, par des historiens anciens tels qu'Hérodote. Les spécialistes s'accordent à dire que ce siège est l'un des épisodes bibliques les plus connus et qu'il est considéré comme ayant eu lieu de manière certaine et historique.

Dans le cadre de l'unification de l'empire sous l'égide de son nouveau souverain, le roi Sennachérib, les Assyriens ont tenté d'étouffer les rébellions des États de la région, dont le Royaume de Juda, alors dirigé par le roi Ézéchias. Selon le récit biblique, l'Assyrie a ravagé le pays entourant Jérusalem et a assiégé la ville, mais son armée a été désorganisée par une peste qui a causé des milliers de morts parmi ses troupes.

La Bible et les archives assyriennes s'accordent sur le fait que les Assyriens n'ont pas conquis Jérusalem. Ils rentrèrent chez eux après qu'Ézéchias eut accepté de continuer à payer un tribut à l'empire tout en conservant une indépendance nominale.

Le commandant de la Force Qods est-il un agent du Mossad ? Le rapport dramatique et l'enquête des Gardiens de la Révolution.

Rapport : Après une vague de rumeurs sur son état, Ismail Qaani est vivant et fait l'objet d'une enquête suite à l'assassinat de Nasrallah. Huit sources différentes affirment que le commandant est actuellement placé sous surveillance et interrogé au Liban. « Un sérieux soupçon que les Israéliens ont réussi à infiltrer les Gardiens de la Révolution. »

JDN

La mystérieuse disparition du commandant de la Force Qods, Ismail Qaani, continue d'agiter le monde en général, et l'Iran en particulier, après qu'il a disparu pendant plusieurs jours. Initialement, des rapports indiquaient qu'il avait été tué à Beyrouth, en même temps que le successeur de Nasrallah, Hacham Safi al-Din. Cependant, un nouveau rapport révèle que la situation est encore plus dramatique.

Un porte-parole de la FINUL a déclaré au site d'information Walla que la force multinationale de maintien de la paix au sud du Liban avait rejeté une demande israélienne d'évacuer les postes le long de la frontière israélo-libanaise.

Israël a formulé cette demande par crainte que les troupes de la FINUL soient blessées lors de son incursion terrestre du côté libanais de la frontière pour démanteler les sites du Hezbollah.

Le porte-parole appelle Israël et le Hezbollah à respecter la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU, qui exige qu'Israël ne franchisse pas la Ligne bleue et que le Hezbollah désarme et retire ses troupes au nord du fleuve Litani, à 30 kilomètres de la frontière.

La FINUL n'a pas réussi à garantir le respect de la résolution par le Hezbollah pratiquement depuis son adoption en 2006.

Ce jeudi soir, les projecteurs se braquent sur la Bozsik Arena de Budapest pour un match de Ligue des Nations hors du commun. Israël et la France s'y retrouvent pour une rencontre chargée d'enjeux sportifs et géopolitiques.

Depuis le 7 octobre, l'équipe israélienne est contrainte à l'exil, l'UEFA ayant interdit l'organisation de matchs sur son sol. La Hongrie, sous l'impulsion de Viktor Orban, a ouvert ses portes à la Fédération israélienne, offrant un havre de paix sportif dans la tourmente. Pour Israël, lanterne rouge du groupe avec deux défaites, l'enjeu est crucial. Face à une équipe de France déterminée à consolider sa position, les hommes d'Alon Hazan cherchent à créer la surprise et à raviver leurs espoirs dans cette compétition. La France, quant à elle, vise la première place du groupe, actuellement détenue par l'Italie. Didier Deschamps sait que chaque point compte dans ce groupe serré où la Belgique est également à l'affût. Au-delà du terrain, ce match revêt une dimension symbolique forte. Il témoigne de la capacité du sport à transcender les frontières et les conflits, offrant un moment de répit et d'unité dans un contexte international tendu. La sécurité, renforcée pour l'occasion, rappelle néanmoins que le monde du football n'est pas une bulle hermétique aux réalités géopolitiques.

Regavim a décidé de pousser le concept jusqu'au bout pour en dénoncer l'absurdité et a proposé la candidature de Yahya Sinwar, suggérant aussi que des organismes comme les Frères Musulmans, Boko Haram ou les camps de rééducation chinois pourraient très bien prétendre aussi à ce prix prestigieux.

"Conformément aux standards établis, nous souhaitons proposer un certain nombre de candidats supplémentaires, des organisations qui travaillent, au moins à l'extérieur, pour la « paix », « l'éducation » et la « protection sociale » : le mouvement des Frères musulmans qui incite, soutient et éduque au terrorisme, ainsi que les installations pénitentiaires de Shing Yang (officiellement appelées : Centres d'éducation et de formation), responsables de l'emprisonnement de millions de Ouïghours et d'autres minorités sous oppression culturelle et politique", écrit Regavim au comité du Prix Nobel.

Le centre médical Hillel Yaffe a annoncé jeudi matin le décès de Refael Mordechai Fishhof, grièvement blessé lors d'une attaque au couteau mercredi à Hadera.

Fishhof, 35 ans, laisse derrière lui sa femme et ses huit enfants.

Avant sa mort, les Juifs du monde entier ont prié pour son rétablissement, ajoutant le nom "Haim" à son nom dans l'espoir que cela lui apporterait le mérite d'une vie plus longue.

Il y a plusieurs années, Fishhof a été impliqué dans un grave accident près de la yeshiva de Hadera, et il a été hospitalisé dans un état grave. Il s'est miraculeusement rétabli et a repris ses activités quotidiennes.

Il est le fils du rabbin Tzvi Shraga Fishhof, chef de la yeshiva Beit Matityahu et chef de la yeshiva Knesset Shmuel à Beitar Illit. Son grand-père, le rabbin Nachum Emmanuel Adler, était l'un des fondateurs de la Yeshiva Ahavat Chesed pour les Juifs allemands et un éducateur dans le système scolaire haredi.

Dvir Sharvit, 43 ans, et Revital Yehud, 45 ans, ont été identifiés comme les deux personnes tuées lors du barrage de roquettes du Hezbollah mercredi vers Kiryat Shmona, selon les médias israéliens.

Il y a deux ans, Revital s'était remise d'un cancer et avait décidé de déménager d'Eilat à Kiryat Shmona, pour rejoindre Sharvit, qui avait commencé à travailler comme confiseur en Galilée. Malgré les pressions de leurs proches pour quitter la ville et évacuer vers Beersheba, le couple a décidé de rester dans le Nord, avec leurs trois chiens, également tués par des éclats d'obus.