Beaucoup parmi les membres actifs de la F.D.I.I nous signalent la vidéo titrée "Les Pleurnicheurs" faisant référence aux tristes familles pleurant un fils ou un frère soldat mort au combat contre le terrorisme palestinien. Vous trouverez cette vidéo en cliquant ICI.
Bien évidemment, elle n’est pas combattable (supprimable) car elle ne va à l’encontre d’aucune loi. Elle nie peut être la loi morale ou éthique : reflet d’ignorance ou d’une moquerie bon marché car elle nie toute parcelle d’humanité.
Aucun parent israélien, aucun parent juif de par le monde, n’est monté sur le toit de sa maison pour crier sa joie pendant les bombardements de Gaza. Au contraire chaque Juif a souffert avec les palestiniens.
Parce que OUI, le soldat d’Israël pleure !
Le soldat israélien pleure parce qu’il doit se battre. Il pleure parce qu’aucun homme digne de ce nom n’aime se battre. Il pleure parce qu’il doit gagner, et que pour gagner, il devra tuer. Aucun homme n’aime tuer.
Le soldat israélien pleure parce qu’il a perdu un être cher. Peut-être que d'autres lorsqu’ils perdent un fils, font le vœu d’envoyer leurs autres enfants à la mort. Nous, nous aimons nos enfants, frères, amis, et même si notre combat est juste, nous ne voulons pas, nous ne ferons jamais le vœu de perdre qui que ce soit.
La différence ne s’arrête pas ici : comprenez que nous enterrons nos victoires dans les pleurs, lorsqu'au contraire nos voisins enterrent leurs défaites dans les cris de haine.
Parce que nos larmes sont également un signe de vie. Les guerres menées par Israël ont toute été défensives. Nous avons voulu empêcher une extermination tant de fois annoncée.
En nous battant à 1 contre 10 lors des trois grandes guerres de 1948, 1967 et 1973, nous avons combattu un ennemi qui annonçait notre destruction pure et simple. Nos victoires nous ont permis de pleurer, heureusement et malheureusement.
Nos larmes, et c’est pourquoi elles sont bonnes à montrer, ne sont que le symbole de notre victoire morale et physique. Et si nous y sommes encore obligé, nous continuerons de pleurer, fièrement, et vivant, comme des hommes!