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Politique IsraëlCombien coûteront les promesses électorales du nouveau gouvernement aux contribuables israéliensLes revendications des partis constitutifs de la coalition en formation devraient coûter aux contribuables israéliens entre 10 et 15 milliards de shekels (2,8 à 4,2 milliards d’euros), dont une partie pèsera sur les caisses de l'État dans les premières semaines après la prestation de serment du nouveau gouvernement, selon à un nouveau bilan publié jeudi par l'administration fiscale. Les données de l'administration fiscale révèlent que se conformer à la demande des partis ultra-orthodoxes Yahadout HaTorah et Shass d'abolir les taxes fixées par le gouvernement sortant réduirait immédiatement les recettes fiscales de l'État de plus d'un milliard de shekels (280 000 000 euros). Le revenu annuel de la dernière taxe sur les boissons non alcoolisées du gouvernement, y compris les boissons diététiques, atteindra 780 millions de NIS (218 millions d’euros). Une dérogation à une taxe sur les plastiques jetables coûterait environ 250 millions NIS (70 millions d’euros), ce qui porterait la perte de revenus prévue à environ 1,030 milliard de NIS (288 millions d’euros). Le public ultra-orthodoxe considère largement les deux prélèvements comme un affront personnel à son mode de vie. La demande du président du Shass, Aryeh Deri, de fournir chaque année une aide alimentaire aux familles pauvres coûtera aux contribuables 1 milliard de shekels supplémentaires par an, en plus de 100 millions de shekels supplémentaires pour faciliter le geste. La demande des deux factions constitutives de l'alliance Ashkenazi Haredi United Torah Judaism - Agudat Israel, dominée par les hassidiques, et Degel HaTorah, plus conservatrice et non hassidique - d'égaler le financement des établissements d'enseignement haredi qui n'enseignent pas les matières de base à celui des laïcs les écoles publiques coûteraient environ 2 milliards de shekels (560 millions de dollars). Le chef du Likoud Benjamin Netanyahou, qui devrait diriger le prochain gouvernement, s'est engagé à subventionner les produits de base, tels que le pain, le lait, le sucre et autres, et à réduire les factures d'eau et d'électricité. Les responsables du ministère des Finances estiment que le geste coûtera entre 2 et 3 milliards de shekels. La proposition du Likoud de réduire ou de supprimer les droits de douane sur des centaines de produits alimentaires importés devrait coûter environ 1 à 2 milliards de shekels par an. La proposition de Netanyahou de geler les hausses des taux prélevés par les municipalités, connues en hébreu sous le nom d'arnona, coûterait au Trésor public 1 milliard de shekels supplémentaires au cours de l'année à venir. Augmenter les allocations de retraite de centaines de shekels par mois pour le million de personnes âgées israéliennes qui y ont actuellement droit coûterait au budget de l'État 3 à 4 milliards de shekels supplémentaires par an. Une augmentation modérée des taux d'allocations familiales, une demande récemment formulée par Yahadout HaTorah, coûterait 1 milliard de shekels supplémentaires. Toutes ces promesses électorales pourraient - si elles sont approuvées - entrer en vigueur avec l'approbation du prochain budget de l'État au premier trimestre 2023. En plus de cela, la coalition en formation discutera également de la promotion de la promesse électorale du Likoud de fournir une éducation gratuite aux enfants âgés de 0 à 3 ans, mais le nouveau gouvernement aurait du mal à trouver des moyens de financer le programme qui devrait coûter jusqu'à 20 milliards de shekels en sa première année. Une autre promesse coûteuse, qui a peu de chances d'être mise en œuvre, est la baisse du taux de la taxe sur la valeur ajoutée, qui s'élève actuellement à 17 %, afin de lutter contre la hausse du coût de la vie. Chaque pour cent prélevé sur la taxe coûterait aux caisses de l'État 6,5 milliards de shekels supplémentaires par an. Réduire l'impôt sur les sociétés de quelques pourcentages, une autre promesse du Premier ministre désigné, devrait coûter 2 à 3 milliards de shekels. 2 commentaires
Israel est un pays riche il se doit d savoir une population heureuse
SI IL Y'AVAIT 53 MILLIARD DE SHEKEL L'ANNEE DERNIERE POUR LES PARTIS ARABES, IL PEUT Y'AVOIR AUSSI 2 OU 3 MILLARDS POUR LES PARTIS RELIGIEUX NON? SURTOUT QUE LE RETRAIT DES TAXES SUR LE PLASTIQUE ET LES BOISSONS SUCREES SONT DES REFORMES QUI PROFITENT A TOUT LA POPULATION ISRAELIENE !
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