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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlAntisémitisme : ''Je maintiens mes propos sur le fait que la France n'est pas un pays antisémite mais je ne nie pas qu'il y ait des actes antisémites qu'il faut dénoncer avec vigueur'' a déclaré l'économiste français Jacques Attali, de passage à JéruDes propos destinés à mettre fin à la polémique sur ses propos sur l'antisémitisme en France publiés vendredi par le quotidien israélien Haaretz. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 11 minutes
1) La société française est depuis des années maintenant victime de certaines dérives de comportements mettant en péril les principes même de la République que sont la Liberté, l'Egalité et la Fraternité
2) Ces dérives de comportement se réclament d'agissement en rapport avec l'islam.
3) Le contenu politique de l'islam est une composante inconnue de la quasi totalité de nos représentants.
4) Le rôle de la Représentation Nationale est de voter les lois qui seront
à même de protéger la société française des attaques
contre la Démocratie et les droits de l'Homme.
Proposition:
Vérité, valeurs et Démocratie demande la réalisation par la Représentation Nationale dans son ensemble d'un
audit du contenu politique de l'islam.
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Envoyé par Roland_002 - le Mercredi 21 Octobre 2009 à 20:27
quoiqu'en pensent les "intellectuels" Attali vient de donner la preuve qu'il devient sénile.
C'est un imbécile, et un horrible mégalo, mais j'avais déjà constaté cela dans ses articles du Point ou de l'Express.
Nicole
C'est avec un ton plutôt alarmiste que le philosophe Bernard-Henri Levy (BHL) a ouvert son discours, mercredi matin, à la Conférence du président "Facing Tomorrow".
Consacré au thème "Turning Crises into Opportunity" (Transformer les crises en opportunités), BHL figurait parmi les cinq prestigieux intervenants du premier pannel de discussion de la conférence, organisée à Jérusalem.
Faisant immédiatement référence aux propos controversés de Jacques Attali dans une interview d'Haaretz, publiée vendredi 16 octobre - dans laquelle l'ancien conseiller de François Mitterrand nie en bloc le moindre sentiment antisémite en France, lui valant une pluie de critiques, notamment de la part de la communauté française -, Bernard-Henri Levy a d'abord choisi de revenir sur l'état actuel de la haine des Juifs en France : "Un virus qui prend aujourd'hui une nouvelle forme", selon lui. Celle de "la haine et parfois même de la satanisation d'Israël".
Manifestations récurrentes d'un anti-sionisme féroce dans l'Hexagone, présence d'un ennemi dont "le seul agenda reste l'annihilation pure et simple" de l'Etat hébreu... "La riposte appropriée doit être double", poursuit BHL.
D'une part, il s'agit de "ne jamais renoncer, sous aucun prétexte, au principe de supériorité militaire stratégique d'Israël".
De l'autre, la classe politique israélienne doit se montrer à la hauteur du formidable "souffle du peuple juif". Il faut donc agir au lieu de "dialoguer", remplacer le "processus" par "l'événement". "Je rêve d'une grande conférence à Jérusalem, pas à Washington ni à Paris.
En présence des autorités israéliennes, de leurs alliés occidentaux et des représentants du monde arabe, venus rendre publique une offre claire de paix", ajoute le philosophe. Et de préciser : "Il n'y a, à mes yeux, qu'un seul homme capable de remplir cette mission : Shimon Peres."
Enfin, dans le sillon du rapport Goldstone et d'un nouveau regain de tensions entre Jérusalem et la communauté internationale, c'est avec un soutien annoncé à l'armée israélienne que le philosophe a conclu son discours : "J'étais avec l'armée israélienne il y a trois ans au Liban. J'ai même fait partie des rares personnes qui ont pu les accompagner exceptionnellement dans la bande de Gaza [pendant l'opération Plomb durci]. J'ai constaté ce souci moral d'éviter les civils... Et ce souci est aujourd'hui encore plus vivace que jamais."
C'est avec un ton plutôt alarmiste que le philosophe Bernard-Henri Levy (BHL) a ouvert son discours, mercredi matin, à la Conférence du président "Facing Tomorrow".
Consacré au thème "Turning Crises into Opportunity" (Transformer les crises en opportunités), BHL figurait parmi les cinq prestigieux intervenants du premier pannel de discussion de la conférence, organisée à Jérusalem.
Faisant immédiatement référence aux propos controversés de Jacques Attali dans une interview d'Haaretz, publiée vendredi 16 octobre - dans laquelle l'ancien conseiller de François Mitterrand nie en bloc le moindre sentiment antisémite en France, lui valant une pluie de critiques, notamment de la part de la communauté française -, Bernard-Henri Levy a d'abord choisi de revenir sur l'état actuel de la haine des Juifs en France : "Un virus qui prend aujourd'hui une nouvelle forme", selon lui. Celle de "la haine et parfois même de la satanisation d'Israël".
Manifestations récurrentes d'un anti-sionisme féroce dans l'Hexagone, présence d'un ennemi dont "le seul agenda reste l'annihilation pure et simple" de l'Etat hébreu... "La riposte appropriée doit être double", poursuit BHL.
D'une part, il s'agit de "ne jamais renoncer, sous aucun prétexte, au principe de supériorité militaire stratégique d'Israël".
De l'autre, la classe politique israélienne doit se montrer à la hauteur du formidable "souffle du peuple juif". Il faut donc agir au lieu de "dialoguer", remplacer le "processus" par "l'événement". "Je rêve d'une grande conférence à Jérusalem, pas à Washington ni à Paris.
En présence des autorités israéliennes, de leurs alliés occidentaux et des représentants du monde arabe, venus rendre publique une offre claire de paix", ajoute le philosophe. Et de préciser : "Il n'y a, à mes yeux, qu'un seul homme capable de remplir cette mission : Shimon Peres."
Enfin, dans le sillon du rapport Goldstone et d'un nouveau regain de tensions entre Jérusalem et la communauté internationale, c'est avec un soutien annoncé à l'armée israélienne que le philosophe a conclu son discours : "J'étais avec l'armée israélienne il y a trois ans au Liban. J'ai même fait partie des rares personnes qui ont pu les accompagner exceptionnellement dans la bande de Gaza [pendant l'opération Plomb durci]. J'ai constaté ce souci moral d'éviter les civils... Et ce souci est aujourd'hui encore plus vivace que jamais."
Jacques Attali, "le Réparateur", par Assaf Uni
Philippe Karsenty attire mon attention sur cet article de "Haaretz" [*]. Je l’en remercie. Il se focalise avec véhémence sur le déni de l’antisémitisme en France, exprimé rageusement par Attali, en termes choisis : «Foutaises! Mensonges!»… Mais pour comprendre – si tant est que ce soit possible – la vision du monde de ce Monsieur, il est indispensable de lire l’intégralité de l’interview qui suit. Jacques Attali est une institution à lui tout seul. Il hante, depuis des décennies, les allées du pouvoir en France. Il a tribune dans maints quotidiens et revue. On le voit souvent sur les plateaux de télévision, dissertant de mille choses et surtout d’économie et de finance, ses spécialités, avec une autorité tranchante et un brin arrogante, dont j’ai mis en ligne un échantillon au début de l’année [**]. Bref, le personnage – au demeurant considérable - est souvent irritant. Mais ce qui m’insupporte le plus, personnellement, c’est le rôle d’arbitre des élégances qu’il s’est arrogé en matière de judaïsme et d’israélité. Sa thèse principale – qu’il martèle ad nauseam - c’est que « l'Etat moderne d'Israël n'a rien à voir avec l'identité juive ». Attali qui sait, lui, ce qu’est le judaïsme et ce qui est bon pour lui, déverse dans cet article ses recettes de perlimpinpin eugéniques et démographiques, qu’on me permettra de trouver incongrues, voire extravagantes. Les princes des nations raffolent des "Juifs de premier plan", qui corroborent leurs exigences à l’égard d’Israël. Obama à son Emmanuel Rahm, qui le pousse à « violer Israël », prions le ciel qu’Attali ne soit pas le Rahm du président français. (Menahem Macina).