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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

Un ancien SS mis en examen pour des crimes commis en 1945

BERLIN - Les autorités allemandes ont annoncé mardi qu'un ancien nazi âgé de 90 ans a été mis en examen pour 58 meurtres de travailleurs forcés juifs en Autriche en 1945.
9 commentaires
ce n 'est que justice rendue ...mais à 90 ans il a bien roulé sa bosse ce nazi ..et il arrive à la fin de sa vie ..
et tel qu 'il est parti , il ne finira pas ses jours derrière les barreaux En colère !
Envoyé par Jacqueline_013 - le Mardi 17 Novembre 2009 à 16:25
Chers amis ne soyons pas sanguinaires comme les arabes il faut le juger pour l'histoire ,mais quoi demander
a un homme de cette âges .Je suis chrétien et un fervent défenseurs d'Israel /.Si vous croyer en dieu ,et bien lui le jugera shalom ......... SIgner .Un Allemand oui mes frères .J'irai jusqu'a combattre a vos côtés,mais contre vos ennemis actuels
Envoyé par G2rard - le Mardi 17 Novembre 2009 à 16:57
malheureusement de nombreux nazis ont échappé à la justice : beaucoup sont morts à 90 ans et plus de mort naturelle sans rendre compte de leurs crimes
Envoyé par Anne_011 - le Mardi 17 Novembre 2009 à 18:34
je me demande pourquoi ontrouve toujours des circonstances aténuantes à des criminels nazis de cet âge là ...
pendant la guerre ils ont obéient aux ordre du fûrher sans rien dire et ont envoyer des milliers de juifs pour leur
dernier voyage dans les usines de mises à mort ... En colère ! En colère ! En colère !
Envoyé par Jacqueline_013 - le Mardi 17 Novembre 2009 à 18:56
"Un ancien SS mis en examen pour des crimes commis en 1945":

Qui l'a aidé, ce nazi, pendant ces 64 dernières années???

On sait très bien que la syrie, entre autres pays "dé-mo-cra-tiques" ont accueilli "à bras ouverts" tous ces démons, sans oublier tous les terroristes patentés, style carlos et autres voyous.

Qui s'assemble se ressemble....

AM ISRAEL HAY Choqué En colère ! Embarrassé Star Triste
Envoyé par Viviane_005 - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 06:31
mais quoi demander a un homme de cette âges .
Envoyé par G2rard - le Mardi 17 Novembre 2009 à 16:57

Qu'il soit jugé et punit pour les crimes qu'il a fait ....
C'est une Loi de la Torah...

6. L'obligation d'instituer des tribunaux

Envoyé par Hélène - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 06:42
FAUT IL PENDRE DE LA PLACE MEME DE SA CRIME!!!! EXACTEMENT COMME A PENDU AMON GOETH A PLASOW
APRES LA GUERRE PAR LES POLONAISES!!!
LE CADAVRE DOIT BRULEZ DANS UN FOUR CREMATOIRE NAZIE!! SES CENDRES DOIT SE DISPERSE DANS UN FLEUVE!!! Star En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! Star
Envoyé par Alexander - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 08:28
OUI ALEXANDER VOUS AVEZ RAISON !! CE CRIMINEL NE MERITE PAS MIEUX ....
@ Viviane , il y a eu beaucoup de nazis qui se sont cachés en Argentine et amérique du sud ...
Envoyé par Jacqueline_013 - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 09:39
jerusalem-poste...L or souillé des nazis

Des dents, des alliances, des bijoux devenus lingots. A la libération des camps de la mort, le monde découvre avec horreur les traces d'un butin maculé de sang.

La partie visible d'un iceberg qui cache un sombre circuit à travers l'Europe. Le trésor noir du IIIe Reich a été entouré d'un épais voile de mystère avant que les premières révélations émergent timidement dans les années 1990. Des trains remplis de lingots d'or ont foulé les voies ferrées du Vieux continent.

Principale accusée : la Suisse, pierre angulaire d'un trafic qui implique tous les pays dits "neutres" : l'Espagne, le Portugal, la Suède, la Turquie...

Difficile de connaître l'origine d'un métal sur lequel le crime ne laisse aucune trace. Dans les caisses nazies : le trésor d'un pillage aveugle, les coffres-forts des pays vaincus mais aussi le maigre pécule arraché des valises à l'entrée des camps de la mort.

Un homme a la sinistre besogne d'en faire l'inventaire : Bruno Melmer. Officier SS et fonctionnaire méthodique, il appartient au service économique de la machine nazie.

Les effroyables listes de comptes de Belmer ont été mises au jour par les enquêteurs américains de la Division des Opérations spéciales (DOS). 29 colonnes qui détaillent l'inimaginable : "or dentaire", "bagues en or et en argent", "couteaux, fourchettes, bijoux", "montres", "sacs"...

Un butin qui atteindrait les 40,5 millions de dollars actuels. Un calcul encore incomplet, selon les experts. D'autant plus que ces estimations ne prennent pas en compte le butin de l'opération Reinhard - l'extermination des Juifs de Pologne - soit 3,9 millions de dollars.

Sitôt sortis de l'enfer d'Auschwitz, Sobibor, Treblinka, les cargaisons de Belmer franchissent les portes grandes ouvertes de la Reichsbank, la banque nationale allemande. Première étape d'une route de l'or à travers toute l'Europe. Certaines destinations sont aujourd'hui connues, d'autres restent encore tapies dans l'ombre.

La Suisse : coffre-fort nazi

Le choix de la république helvétique répond à un calcul simple. A l'époque, le franc suisse assure le rôle d'unique devise encore convertible sur le marché mondial.

Economie prospère, la Suisse assure aux nazis l'acquisition d'une monnaie forte, indispensable à son effort de guerre. Le pays "neutre" devient le quartier général des transactions nazies, le commandant d'un navire que les Helvètes ont choisi délibérément de maintenir à flot.

Selon la commission Bergier, mise en place dans les années 1990 pour faire la lumière sur ce passé trouble, plus de 2,5 milliards de dollars ont transité par la banque centrale suisse. Dont l'or désormais incolore des camps de la mort. La commission Bergier met en évidence un autre aspect troublant.

A partir de 1941, la Suisse sait parfaitement que les lingots nazis ne sont rien d'autre que de l'or volé. Pourtant, l'année suivante marque l'apogée des relations pécuniaires entre les deux pays.

A partir de 1943, les Alliés multiplient les avertissements contre ce trafic lucratif. La Suisse tourne la tête et regarde ailleurs. La dernière transaction avec le régime nazi a lieu le 13 avril 1945.

Face à ce réquisitoire, les arguments de défense paraissent bien faibles : "Nous étions neutres. Pourquoi accepter l'or allié et non pas celui des Allemands ?" Devant leur passé trouble, les banques helvètes se sont longtemps retranchées derrière une bonne foi de façade.

Portugal : de l'or dans le sanctuaire catholique de Fatima

L'or nazi ne s'est pas arrêté aux coffres-forts suisses. Il en a juste fait un abri douillet avant de poursuivre sa route vers d'autres contrées. L'Espagne et le Portugal ont largement profité des livraisons nazies.

Les deux pays de la péninsule ibérique possèdent, en effet, un autre métal précieux fortement convoité par les nazis : le Wolfram, miraculeux pour renforcer l'acier des engins de guerre allemands.

Wolfram contre or, le trafic est très lucratif en particulier pour la dictature de Salazar. Après Berne, Lisbonne aurait été le deuxième bénéficiaire du butin nazi. De 1939 à 1944, le Portugal aurait acheté ou échangé 164 tonnes d'or du IIIe Reich par l'intermédiaire de la Suisse.

Sur sa route, l'or portugais bénéficie de la bienveillance de Vichy qui offre ses wagons pour transporter ce butin clandestin. Centre névralgique du trafic ibérique : la gare espagnole de Canfranc encastrée dans la chaîne pyrénéenne (voir page 17).

Le sombre marché est connu dès 1946 par les services américains de la DOS. Un document, marqué top secret, l'atteste. Des responsables suisses qui ont suivi la route de 280 véhicules chargés d'or, vers le Portugal et l'Espagne entre 1943 et 1944, acceptent de témoigner contre une protection. Ceux qui se sont grassement enrichis sentent, en effet, le vent tourner.

Après la guerre, les lingots d'or marqués du sceau nazi trouvent des abris imprévus. En mai 2000, le sanctuaire catholique de Fatima confirme en avoir détenu, jusque dans les années 1980. Avant de les dépenser pour rénover ce lieu vénéré par de nombreux catholiques.

Lingots contre minerais de fer suédois

Le butin du IIIe Reich n'a pas seulement emprunté les routes du Sud. Les caisses nazies ont également foulé le sol d'un autre pays "neutre", la Suède.

Le royaume nordique, connu pour son histoire pacifiste, est pourtant un réservoir de guerre grâce à ses minerais de fer. Le marché avec les nazis ne peut que prospérer : des lingots d'or contre des livraisons de fer, maillon infernal de la machine de guerre d'Adolf Hitler.

Un sujet longtemps tabou dans un pays qui ne veut surtout pas faire parler de lui. Des chercheurs ont pourtant déterré cet épisode sombre des archives nationales à la fin des années 1990. Entre 1939 et 1944, 34,5 tonnes d'or en provenance de Berlin ont rejoint les coffres-forts suédois.

Comme la Suisse et l'ensemble des pays "neutres", la Suède connaissait la macabre origine de l'argent allemand. Mais le royaume fait la sourde oreille aux mises en garde des Alliés.

Envoyé par Jacqueline_013 - le Mercredi 18 Novembre 2009 à 09:50
Membre Juif.org





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