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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlMontréal : la police analyse du savon prétendument fait à partir de victimes de la ShoaLa police a demandé à ses services une analyse chimique d’une barre de savon avec une croix gammée estampillée dessus pour savoir si elle a été faite à partir des corps de victimes de la seconde guerre mondiale, comme le clamait le vendeur la semaine dernière.
La police a saisi le savon après que divers medias aient visité la boutique du boulevard St Laurent, exploitée par Abraham Botines.
Aucun mandat n’a été délivré et le propriétaire du magasin a coopéré avec les policiers qui ont visité son magasin, selon l’inspecteur en chef Paul Chablo.
Les résultats de l’analyse devraient êtres connus très bientôt, mais Chablo dit ne pouvoir être plus précis.
L’analyse consiste à déterminer si des restes humains font partie de la barre de savon.
La ligue du B’nai Brith pour les droits de l’homme s’est plainte, citant le code criminel sur la violation des restes humains.
Invitée à commenter la saisie de la barre de savon par la police, Anita Bromberg, porte parole du B’nai Brith de Toronto, a déclaré que l’organisation est heureuse que la police poursuit son enquête.
« Nous sommes également heureux que le propriétaire du magasin coopère, ce qui indique un changement, alors qu’avant il indiquait aux journalistes qu’il avait le droit de vendre ce ‘produit’, » a-t-elle dit.
Bien que les historiens doutent que les allemands aient fait du savon avec des restes humains, Bromberg a déclaré qu’elle était heureuse que la police enquête sur « l’affirmation que le vendeur faisait ».
Si cette affirmation s’avérait fausse, d’autres actions légales sont possibles, a-elle proposé.
Le vendeur du magasin s’est rétracté la semaine dernière par rapport à leurs affirmations originales, disant ne pas êtres certains de la composition du savon.
Il a tout d’abord proposé de le vendre pour 200 $ avant de monter le prix à 300 $.
Botines, qui est juif, a été critiqué par le passé par d’autres juifs pour la vente de souvenirs nazis dans son magasin.
L’historien Frank Chalk, directeur de l’institut de Montréal sur les études du génocide et des droits de l’homme à l’université Concordia, a déclaré que le consensus des historiens de la Shoa est que les allemands n’ont jamais fait de savon avec des restes humains. 5 commentaires
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bn'importe quoi. Et les extrémistes juifs orthodoxes qu ivont en IRAN
pour embrasser le président nazillon, voilà comment on sali notre peuple!
Jusqu'où ira-t'on ? probablement vers la fin de l'humanité mais vu ce que nous faisons à cette planète, on finit par ce demander si ce ne serait pas la meilleure des choses pour l'évolution; après tout peut-être ne sommes-nous pas dignes d'exister !
mais comment peut se "vendre" quelque chose qui est contenu de restes humains,qui-ils sont massacrees par de millions de Nazies,pour recupere leur graisse!!!