Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

collusion arabe et les nazis


il doit y en avoir encore , là où l ' on n'y pense même pas , pas plus loin que les immeubles dans lesquels vivent aussi bien les juifs israëliens , que les arabes israëliens ou plutôt , disons-le les musulmans ou les chrétiens israëliens : le fameux mélange de 2 démocraties , dont l'une est tueuse !

il serait bon de soulever ce problème , dangereux à plus d'un titre , car , s'il y a encore en israël des muftis nazis , comme celui de la seconde guerre mondiale , avec sa rencontre avec hitler et surtout ses appels au génocide du juif à radio-berlin , il faut le dénoncer , même s'il est né bien après la seonde guerre mondiale , car , son père ou bien son grand père peut lui avoir enseigné la haîne du juif , comme l'a souligné il n'y a pas si longtemps , hossam zaki , le porte parole égyptien des affaires étrangères .
se taire est dangereux , très dangereux , c'est comme une pandémie ," la peste brune à la dieudonné " , il ne faut pas en rire , il faut s'en méfier , et garder son sêrieux !

ne jamais oublier cet aspect de l'histoire de la shoah de la seconde guerre mondiale .

il existe des héritiers de la haîne qui vivent encore aujourd'hui , mais demain ils seront encore plus nombreux , et l'on ne s'en méfiera pas , parce qu'ils seront encore plus proches de nos habitudes et de notre mode de vie :

la nuit , tous les chats sont gris !

chabath chalom et que le peuple juif soit prôtégé !

Il y a beaucoup d'éléments de ce genre que l'on n'évoque que très peu, ou même pas du tout.
Le cas du grand mûfti de Jérusalem, Hadj Amin el-Husseini est de plus en plus souvent évoqué, mais pon parle peu de son engagement pro-nazi dès les années trente du siècle dernier, ni de la popularité, confinant à l'adulation, dont il jouissait, à cause même de son antisémitisme, dans la majorité de la population arabe de Palestine mandataire.
De même, il arrive qu'on parle du coup d'Etat " anti-britannique " de Rachid 'Ali el-Kaïlani, en 1942 en Irak ; mais on s'abstient en général d'indiquer que Rachid 'Ali était non seulement pro-allemand, mais pro-nazi et que, d'ailleurs, il entretenait des liens étroits avec el-Husseini.

Jusque vers le milieu du siècle dernier, les historiens savaient ( et parfois évoquaient ) la profondeur de la pénétration, dans les années trente, des idées nazies dans les populations musulmanes de l'AFN - en particulier en Algérie, dans les milieux indépendantistes. Ensuite, les nécessités de l'anti-colonialisme ont amené à occulter, voire à gommer complètement ces aspects qui juraient avec la présentation " progressiste " que l'on souhaitait donner au mouvement algérien.
Il est exact que la figure de proue de ce mouvement, Messali Hadj, a refusé de se compromettre avec le nazisme. On ne peut tout à fait exclure que ce soit ce refus qui explique ensuite, au moins pour une part, l'animosité des futurs chefs du FLN à l'égard de Messali.

Pratiquement personne n'indique jamais que l'un des dirigeants du FLN, rarement mis sur le devant de la scène, mais néanmoins très influent, était un ancien SS, Mohammedi Saïd. Ni que les services spéciaux du FLN, dirigés par Lakhdar Ben Tobbal et Abdelhafid Boussouf, avaient été formés au Caire par les services spéciaux égyptiens, eux-mêmes formés et dirigés par d'anciens nazis réfugiés en Egypte.

Une usine de production d'armements destinés au FLN fut montée, en Belgique, par des trotskystes ( Michel Raptis dit " Pablo " ) eux-mêmes financés par François Genoud, le célèbre banquier nazi suisse, également banquier du FLN.

Aloïs Brunner, réfugié à Damas, était également en rapport avec les indépendantistes algériens.

Il est vrai qu'en AFN étaient aussi très actifs ceux qui agissaient, non pour le nazisme, mais pour le fascisme mussolinien.

Mais je voudrais évoquer un autre élément, plus curieux encore, s'il se peut, et qui est la présence très nombreuse, au sein de la police britannique de la Palestine mandataire jusqu'en 1948, non seulement d'anciens " Black and Tans " , mais de très nombreux ex-membres du BUF, qui trouvaient là un moyen de se racheter de leurs sympathies pour le nazisme, tout en gardant la possibilité d'en conserver certains éléments appliqués au même peuple haï ...

(suite) Quant à Anouar el-Sadate, sa visite à Jérusalem et son discours à la Knesset paraissent l'avoir lavé de tous ses péchés de jeunesse ... Il n'empêche qu'il était ( et par antisémitisme ) l'un des plus pro- hitlériens parmi les " Officiers libres " qui l'étaient tous, d'ailleurs, peu ou prou. J'aimerais bien retrouver ( où , dans quel journal ou hebdo l'avais-je vue à l'époque ( du voyage à Jérusalem ) ? - je ne sais plus ) cette photo sur laquelle el-Sadate apparaissait avec Mena'hem Begin, z"l : je m'étyais frotté les yeux, croyant avoir mal vu, mais non, il n'y avzait pas de doutes : les motifs de la cravate d'el-Sadate étaient un entrelacement, tout à fait évident, de...croix gammées ! Peut-être était-ce inconscient ? Peut-être le valet de chambre d'el-Sadate avait-il choisi pour son patron, spécialement ce jour-là, une cravate qu'il jugeait, lui, appropriée ...

les algériens et les maghrebins et africains se sont battus pour la france contre hitler et l'armée française libre c'etait eux . Donc arréter de faire des reproches à vos libérateurs
Vous dites que se sont des nazis alors qu'ils se sont battus contre eux ( au moment où la france s'est faite battre en 5 semaines et donnée des juifs aux nazis donc laisse moi rire , les descendants de collaborateurs ou collaborateurs des nazis tu les croises tous les jours en frances )

Boycott ou pas Boycott ? http://www.pnyx.com/fr_fr/poll/640

Sosso, bonsoir. Pour ma part, je ne dis pas que LES Algériens, LES Maghrébins, LES Africains étaient des nazis. Et je ne nie pas qu'une partie d'entre eux se soit battue contre l'Allemagne nazie, encore qu'il ne convienne pas de parler d'eux comme des libérateurs, mais comme d'UNE PARTIE des libérateurs - ce qui ne diminue nullement leurs mérites, mais restitue aux Américains et aux Canadiens leur part, qui fut décisive. . Tout ce que je dis, c'est que la propagande nazie était fort active en Afrique du Nord et qu'elle y a rencontré DES oreilles complaisantes.

De même je ne dis pas que TOUS les indépendantistes algériens étaient pro-nazis. Je crois même avoir pris le soin de préciser que Messali Hadj a repoussé les avances qui lui étaient faites par les nazis.

Je dis :
- que les services spéciaux du FLN dirigés par Boussouf et Ben Tobbal devaient beaucoup aux services spéciaux égyptiens, ceux - ci étant truffés jusqu'au plus haut niveau d'anciens nazis réfugiés en Egypte et pour la plupart convertis à l'Islam ;

- que des nazis ( François Genoud ) ont financé une partie de l'armement du FLN et géré ( François Genoud ) son trésor de guerre ;

- qu'un ancien SS ( Mohammedi Saïd ) figurait dans la haute direction du FLN ;

(suite) - que le nazisme n'avait pas fait qu'effleurer, mais avait pénétré profondément certains milieux indépendantistes, notamment la mouvance islamiste autour de l'Association des Ulémas ;
- et ceci, que je n'avais pas évoqué dans mes posts d'avant-hier : j'ai longtemps mis en doute la présentation, véhiculée notamment par le PCF, des émeutes du Constantinois, le 8 août 1945. Ces émeutes, qui sont considérées comme une sorte d'acte précurseur de l'insurrection, neuf ans plus tard, de la Toussaint 1954, ont été présentées par les communistes ( à l'époque membres du gouvernement ) comme fomentées par des agents nazis.

Or, les incitations à l'émeute, relayées efficacement par les hommes de l'OS, avaient été lancées, la veille, le 7 mai, par le Libanais Chekib Arslan, qui dès le début des années trente, cherche à pousser les feux contre les Français en Afrique du Nord et se lie alors avec les principaux leaders ou futurs leaders indépendantistes.

Cela est su ( plus ou moins ... ) et parfois dit ( très rarement ). Mais ce qui est toujours dissimulé, ce sont les liens extrêmement étroits qui existaient entre Chékib Arslan et le grand mûfti Hadj Amine el-Husseini.

(Suite) Encore quelques précisions à propos de Chékib Arslan.: cet homme fut l'un des maîtres à penser de la renaissance islamo-arabiste. Il est considéré comme le maitre à penser des nationalistes maghrébins dans la première moitié du XXè siècle.

J'ai évoqué ses liens d'étroite amitié avec le grand mûfti. Mais il faut aussi savoir que Chékib Arslan, réfugié en Suisse depuis le début des années 20 -il y a connu Hassan el-Banna, fondateur des " Frères Musulmans " et grand-père des frères Ramadan, et qui était un disciple de l'inspirateur et ami le plus proche d'Arslan, Rachid Rida.
Mais Arslan était considéré, dans la première moitié des années 40, comme un agent d'influence des nazis. A tel point qu'après la défaite du nazisme, Arslan dut, pendant quelques mois, quitter la Suisse, pour se réfugier, comme beaucoup de nazis, en Amérique latine.
Dernier élément : Chékib Arslan est l'un de ceux qui, en 1915 ( il était né en 1869 ), incitèrent le gouvernement turc à massacrer les Arméniens.