Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

"Le président de l’université de Lincoln, en Pennsylvanie, a déclaré qu’il ne peut pas renvoyer un professeur titulaire qui a mis en doute l’Holocauste et a exprimé de virulentes positions anti-israéliennes, parce que l’enseignant a gardé ses opinions en dehors de la salle de classe."


Mais alors, pourquoi demande t on le CV?
Ce dernier n´est pas destiné uniquement pour dévoiler son parcours professionnel mais aussi personnel de manière à ce que soit décoder la véritable personnalité à l´exterieur de l´établissement.

Votre CV est le reflet de votre parcours personnel et professionnel et de votre personnalité

Kaukab Siddique est peut etre professeur d'une université américaine mais il est aussi américain qu'ussama bin laden,le terroriste milliardaire !

Faut le faire pour avoir un nom pareil.

Pas si hors sujet que ca:

Cela faisait déjà quelques années que la Jordanie nous couvait cela. Après avoir interdit l’entrée d’exemplaires de l’ancien ou du nouveau testament, après avoir interdit aux juifs de visiter le pays avec dans leurs bagages des Téfilines (pourtant essentielles pour les prières du matin), voilà que le Royaume hachémite interdit officiellement le port de la Kippa

Fondamentalement, les décisions de la Jordanie disent ceci : il n'y a pas de place pour les Juifs, fussent-ils seulement de passage, dans cette région du monde. L'" AP " demande des territoires ( notre Judée-Samarie ) " Judenrein " ; la Jordanie proscrit tout signe de judéité : la boucle est bien bouclée et on a compris : c'est " Juden raus ! " .

Mais voila, aucun de ces médias dénoncant israel pour tout et n´importe quoi n´évoque l´attitude de cette jordanie afin de démontrer ce qu´est la paix avec les pays arabes, ni aucun de ces médias n´a parlé de l´attitude d´israel quant à son aide vis à vis de tahiti pour ce qui est du choléra, cette population dirigée par des dictateurs est pourtant dans une situation bien pire que celle des gazaouis.

Mais bon, nous sommes la nous autres pour le rappeler.

"un mouvement non-violent n'aurait pu stopper les troupes de Hitler".Les sophismes sociologisants avancés pour expliquer le terrorisme, et tout particulièrement le terrorisme islamiste ou islamo-palestinien, relèvent de la même "culture de l'excuse", qui a pour effet de désarmer les décideurs politiques tout en leur laissant croire qu'ils sont sur la bonne voie.Mais, dans le cas du terrorisme islamiste, ces sophismes sont aggravés par la méconnaissance des motivations idéologiques des stratéges, des planificateurs et des acteurs de la terreur exercée contre des civils.C'est dans cette perspective que le politologue Matthias Küntzel dénonce à juste titre
ce qu'il appelle la "lutte aveugle" contre l'islamisme, qui ignore, volontaiement ou non, l'idéologie de l'adversaire,
a savoir la doctrine du jihad.

Suite
Certains experts en anti-terrorisme ignorent même que l'adversaire a une idéologie, et se fonde sur le postulat que les attentats-suicides sont des actes de désespoir, dus aux"injustices" commises par les "impérialistes" occidentaux ou "sionistes", désignés comme les seuls vrais coupables.C'est là méconnaître les véritables motivations, d'ordre idéologique, des islamistes radicaux, et traiter les victimes du terrorisme islamiste comme les véritables responsables de ce dernier-leurs responsables "en dernière analyse", comme disaient naguère les marxistes.Nombre d'Occidentaux ont intériorisé ce renversement de la culpabilité: ils perçoivent l'islamo-terrorisme comme le résultat de la politique du monde occidental ou de l' Etat d' Israël, une politique "impérialiste" "colonialiste" ou porteuse d'"injustice"

Suite
Travaillés par la mauvaise conscience, ces Occidentaux font preuve d'indulgence, voire de complaisance, vis à vis de leur ennemis déclarés, qu'ils ne perçoivent qu'à travers leurs propres catégories sacralisées de la "revolte contre l'injustice", de la "résistance à l'oppression" ou de la "révolution".Cette rationalisation relève de la conduite expiatoire d'Occidentaux d' autant plus intimidables qu'ils se senten coupables.D'où ce paradoxe pointé par Küntzel sur l'exemple des victimes isr^éliennes des islamikazes:
Ici aussi, selon le principe"plus la terreur antijuive est barbare, plus la culpabilité d'Israël est grande", les victimes des attaques deviennent à la fois la source et le bouc émissaire du terrorisme mondial.
Le vieux stéréotype du "Juit éternel coupable" est ainsi amplifié sous cette forme contemporaine.Fragment du livre.....Taguieff.

Et ça enseigne à la Fac, ben bravo.

Le Sionisme c'est l'hydre, non mais le mec il se prend pour hercule, c'est ça ?

Le Sionisme c'est la vie, l'espoir, la délivrance finale, le Mashiah !