Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

"La banalisation du terrorismes islamique pratiqué au nom du jihad et recourant aux "opération martyre", en particulier aux "bombes humaines", a profondément modifié la nature de l'arène mondiales; Les terroristes ont l'avantage de celui qui joue le premier : ils décident de l'absence de règles, de la violence du conflit, de son caractère illimité dans le temps et l'espace. Ils font de leur guerre mondiale un combat non plus pour la liberté, mais un combat à mort une mort qu'ils tiennent pour une nouvelle vie. Avec les nouveaux combattants, hommes puis femmes, et, à partir de 2005, enfants endoctrinés, comme sait le faire la télévision palestinienne , le sacrifice est devenu une arme. Ce qui est vrai d'un individu peut d'ailleurs être vrai d'un Etat, comme l'Iran, prêt à "encaisser" une riposte nucléaire israélienne si tel est le prix à payer pour effacer toute trace de souveraineté juive sur la terre, comme l'a expliqué l'ancien pésident Rafsandjani à la université de Téhéran, en 2001.

L'une des difficultés rencontrées par les stratèges du "contre-jihad" dans leurs argumentations tient à ce que les dihadistes affirment que le but de leurs actions (terroristes) est d'attirer l'attention sur l'injustice sociales.Ce faisant, les jihadistes se placent sur le terrain des valeurs et des normes acceptées par leur pires ennemis, qu'ils paralysent ainsi, tout en gagnant des défenseurs chez les militants de gauche et d'extrême gauche, particulièrement sensibles à la défense des "pauvres", des "déshérités", des "exclus", victimes ou censés être victimes d'un ordre injuste. Les "contre-jihadistes" ne peuvent guère dès lors que souligner un conflit axiologique chez leurs ennemis, en montrant que la violence mise par ces derniers au service de la justice sociale nuit à la réalisation d'un autre idéal, qui serait plus fondamental ; le respect de la vie.

Argument auquel les islamistes radicaux répliquent en réactivant la doctrine élaborée par Hassan al-Banna dès 1937-1938, celle de l'"industrie de la mort", qui s’inscrit dans le cadre de sa théorisation du jihad et de la "mort en martyr".
Face à l'offensive polymorphe des groupes fanatiques de l'islam politique, que faire ? Résister et les combattre du plus petit au plus grand.
Car toute "réaction" d'un Etat puissant, face à un ennemi invisible qui se fond dans la population civile, est infailliblement dénoncée comme "disproportionnée". Dès lors, la défaite dans la guerre médiatique ou sur le plan diplomatique annule la victoire sur le terrain de combat.
Face aux ambitions nucléaires de l'Etat iranien aux aux mains de fanatiques de l'apocalypse, que faire ? Elles portent autant sur les aspects militaires des combats engagés contre des forces terroristes que sur leurs aspects politiques, médiatiques, culturels ou intellectuels.
Sont nos ennemis et il faut les combattre , il n'a pas d'autre chois, ou nous devenons tous des musulmanes ou des dhimmis. AM ISRAEL HAY !

Ecoute Taher, c'est ne pas les juifs qui posent de problèmes, tu le sait très bien, et le monde le sait très bien, les islamistes sont de pourris a la solde de criminel qui tuent de millions des musulmans innocentes, et des non musulman, que n'ont aucun respect pour rien. Et ne met pas Moies dans tes écrits car si vient aujourd'hui ils vous fait disparaître tous, car la médisance, et le meurtre englobe tout. AM ISRAEL HAY !