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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlPétain: un ministre israélien exhorte Macron à ne pas défendre les soutiens des NazisLe ministre israélien de l'Enseignement Naftali Bennett a reproché au Président de la République française d'avoir fait le 7 novembre l'éloge du maréchal Philippe Pétain qui, selon lui, a été «un grand soldat» pendant la Première guerre mondiale.
11 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 37 minutes
ne jmais rendre hommage à Hitler , lequel a également été un enfant de cœur !
que de sommités mondiales se sont tranformés dans le temps et sont devenus des monstres !
il nous est impossible d ' oubler les camps de concentration….ni ...le veld ' hiver….et ce ….même si pétain a été ""un grand soldat pendaqnt la 1ère guerre mondiale !
ne jmais rendre hommage à Hitler , lequel a également été un enfant de cœur !
que de sommités mondiales se sont tranformés dans le temps et sont devenus des monstres !
il nous est impossible d ' oubler les camps de concentration….ni ...le veld ' hiver….et ce ….même si pétain a été ""un grand soldat pendaqnt la 1ère guerre mondiale !
Imaginez qu'un jour Macron découvre que Hitler a été un courageux soldat pendant la première guerre mondiale...
pétain a fauté , il a cassé " le verre deven irréparable ...il fut et il ne l ' est plus !
le mettre au même niveau que les autres maréchaux " méritants " , n ' est pas juste parce que pétain a faué et a collaborré !
Rappelé au gouvernement le 17 mai 1940 après le début de l'invasion allemande, il s'oppose à la poursuite d'une guerre qu'il considère comme perdue et dont il impute bientôt la responsabilité au régime républicain. Chef de file des partisans de l'arrêt des combats, il devient président du Conseil en remplacement de Paul Reynaud le soir du 16 juin et appelle, dès le 17, à cesser le combat. Il fait signer l’armistice du 22 juin 1940 avec l'Allemagne d'Adolf Hitler à Rethondes au même lieu et dans la même voiture de chemin de fer où fut signé autrefois l'armistice de 1918 par l'Allemagne alors vaincue, selon la volonté de Hitler, retirant la France du conflit.
Investi des pleins pouvoirs constituants par l'Assemblée nationale, soit la réunion du Sénat et de la Chambre des députés le 10 juillet 1940, il s'octroie le lendemain le titre de « chef de l'État français », qu'il conserve durant les quatre années de l'occupation des armées du IIIe Reich.
Installé en zone libre à Vichy à la tête d'un régime autoritaire, il abolit les institutions républicaines et les libertés fondamentales, il dissout les syndicats et les partis politiques, il instaure une législation antimaçonnique et antisémite dès août et octobre 1940, de sa propre autorité. Il engage le pays dans la Révolution nationale et dans la collaboration avec l’Allemagne nazie.
Le régime qu'il dirige jusqu'en juillet 1944 est déclaré « illégitime, nul et non avenu » par le général de Gaulle à la Libération.
Conduit par les Allemands en août 1944, à Sigmaringen, échouant ensuite en Suisse avant de se rendre aux autorités françaises, Pétain est jugé en juillet 1945 pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort, la cour recommandant toutefois la non-application de cette dernière en raison de son grand âge. Sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle, alors chef du Gouvernement provisoire de la République française. Il meurt le 23 juillet 1951 en détention sur l’île d’Yeu où il est ensuite inhumé.
déjà , "le régime que dirige pétain jusqu ' en juillet 1944 , est déclaré « illégitime, nul et non avenu » par le général de Gaulle à la Libération … et d ' un !
et puis , " Conduit par les Allemands en août 1944, à Sigmaringen, échouant ensuite en Suisse avant de se rendre aux autorités françaises, Pétain est jugé en juillet 1945 pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale, condamné à la confiscation de ses biens et à la peine de mort, la cour recommandant toutefois la non-application de cette dernière en raison de son grand âge .
" Pétain est jugé en juillet 1945 pour intelligence avec l'ennemi et haute trahison par la Haute Cour de justice, il est, par arrêt du 15 août 1945, frappé d'indignité nationale,
…intelligence avec l ' ennemi et haute trahison … et frappé d ' indignité NATIONALE :
c ' est un comble de lui rendre hommage !
pour finir " pétain , condamné …. à la peine de mort, la cour recommandant toutefois la non-application de cette dernière en raison de son grand âge. Sa peine est commuée en emprisonnement à perpétuité par le général de Gaulle, alors chef du Gouvernement provisoire de la République française. Il meurt le 23 juillet 1951 en détention sur l’île d’Yeu où il est ensuite inhumé.
"grand soldat " ce fut en 1918 , peut-être ... mais pétain a été frappé d ' indignité NATIONALE :
pétain fut un " grand soldat " soit , mais mais cela ne l ' empécha pas d ' être accuse de trahson et il fut condamné par le général de gaulle lui même !
pourquoi cette réhabilitation ?
quant à Dreyffus il fut réhabilité en 1906 !
L'affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du XIXe siècle, autour de l'accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus qui est finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l'innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité.
La condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus — pour avoir prétendument livré des documents secrets français à l'Empire allemand — était une erreur voire un complot judiciaire1,2 sur fond d'espionnage, dans un contexte social particulièrement propice à l'antisémitisme et à la haine de l'Empire allemand à la suite de son annexion de l'Alsace et d'une partie de la Lorraine en 1871. L'affaire rencontre au départ un écho limité, avant qu'en 1898 l'acquittement du véritable coupable et la publication d'un pamphlet dreyfusard par Émile Zola, J'accuse…!, provoquent une succession de crises politiques et sociales. À son paroxysme en 1899, l'affaire révéla les clivages de la France de la Troisième République, où l'opposition entre les camps dreyfusard et antidreyfusard suscita de très violentes polémiques nationalistes et antisémites, diffusées par une presse influente. Elle s'acheva en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocenta et réhabilita définitivement Dreyfus.
Cette affaire est souvent considérée comme le symbole moderne et universel de l'iniquité3 au nom de la raison d'État, et reste l'un des exemples les plus marquants d'une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l'opinion publique.