Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

Il est impossible d'avoir imposé aux français et d'autres peuples, en Europe, un remplacement par un autre peuple et encore moins l'islam qui affiche sa détestation, son mépris et sa volonté d'asservir ou supprimer L'AUTRE, sans une dictature qui, certes , s'est servie des institutions démocratiques, des médias, la crédulité des peuples concernés ...mais , à présent, le pouvoir qui a en face, des peuples lucides sur ce qui leur est arrivé, use de la force, de la censure et des tribunaux, puisque le peuple n'accorde plus de crédit aux médias, politiques, justice, éducation ! Que reste-t- il donc au pouvoir pour imposer la destruction de la civilisation européenne ? Accélérer l'immigration pour rendre impossible l'échec de leur programme. Toute perte de temps dans la fermeture des frontières , la mise en oeuvre d'une re-migration masssive, une interdiction de l'islam, en Europe, joue en faveur de la fin d'une civilisation extraordinaire et précieuse pour résoudre les problèmes écologiques et sauver des libertés qui rendent possible la créativité. Un phénomène qui peut paraître anodin, à tort, me semble-t-il, tient à la persistance du succès du groupe Abba, presque 40 ans après sa dissolution. Il se reforme à présent, malgré l' âge de ses membres, le fait qu'ils ne soient plus 2 couples. C'est que par delà la beauté de leur oeuvre, ils ont incarné laa continuité d'une civilisation, ils ont associé tradition et modernité, à une époque où le mvmt était l'ouverture à l'autre excl

Exclusivement pour aboutir à ce désert de toute originalité dans l'art qui n'est même plus reconnu comme tel..partout on entend les mêmes procédés qu'un ordinateur aurait pu pondre.
D'où sort un univers ennuyeux et sordide., sauf exceptions. Ce qui ne fait qu'alimenter le phénomène Abba un monde que l'on reconnait comme le nôtre, un monde de bonheur, de talent, de beauté qui nous rappelle ce qu'est "aimer" au-delà d'une personne ou même d'une chanson.Abba, c'est un monde perdu qui est le plus bel avenir souhaitable .et qui nous montre, nous qui sommes égarés, comment concilier passé, présent et futur, retisser le lien de notre civilisation. Musicalement, à quoi repère-t-on que l'occident s'est perdu ? La conception populaire de la musique actuelle ne repose plus sur le primat de la mélodie, mais du rythme. Et le son devient l'essentiel d' où un ennui qui repose sur des mélodies éculées, convenues, vieilles dès leur sortie , des rythmes et des sons de même incapables de produite du sens quand ce sont des oeuvres anciennes d' un demi siècle qui sont toujours fraiches, neuves et inapprochables. La musique populaire actuelle soit ne s'accroche à rien et tient plus du bruit, ou bien fait de la mélodie, une rengaine.insipide.Au contraire, entendre le martellement du piano dans "sos" qui scande l'événement égrainé en secondes du présent auquel on ne peut échapper qui contamine tout le temps avenir et passé comme destin, effondrement et inexistence de ce qu' on croyait exister

Et qui nous est le plus précieux. Agnetha est une extraordinaire tragédienne qui, par un tremblement étonnant de sa voix nous fait entendre un être se briser , dans la session originale; la présence du corps sous l'emprise du choc, de la souffrance d'un amour qui doit mourir et qui vibre de toute son intensité encore. Comme un défunt encore chaud. Cette chanson est universelle et déchirante. Ce moment de l'existence de la perte d'un amour, à peu de personnes cette chanson ne le fera pas revivre. Qui eût cru que de la chanson populaire et d' une toute jeune fille , une telle intensité pût être atteinte ? Puisqu'à tort, dans les années 60-70, il n'était pas imaginé que la chanson pût être autre qu'un art mineur.Disons qu'il y a les oeuvres que le temps n'altère pas et celles qui paraissent vieilles ou éphémères dès leur sortie. Il me semble d'actualité de se demander en quoi consiste le phénomène Abba qui, me semble-t-il ne s'explique qu'en relation avec un monde, une civilisation qui ne veut pas disparaître. Déjà les obsèques de Johnny; c'était déjà cela...Aznavour...qu'aurons- nous donc de précieux à perdre , bientôt ?