Antisémitisme : racisme envers les Juifs & Israël

Jean, C'est bien pour cette raison que vous êtes crédibles Jean !

la cupidite n a pas de religion ; cest une deviance ( ou un vice )de l etre humain en cela je rejoint jean sur ces propos et il est vrai on est exemplaire dans ces actions toutefois je tenais a faire remarque que le monde vois ce qui l arrange mais au porte d israel ce tiens dans la bande gaza le hamas ils etranglent volent les terres tuent sans pities ; appauvris le peuple , polue les cours d eau .affame et j en passe! que ce passe t il avec mouggabe ?au soudan ? bien sur que l argent est un element vital mais n est il pas dit quil doit etre un serviteur et non un maitre !!!

A Moshé: (en espérant m'adresser au même Moshé à qui j'ai envoyé un post hier lundi à 16h2):

Lorsque je lis votre réponse et le ton autoritaire que vous vous permettez d'employer avec moi, j'ai bien compris que "remette les pendules arabo-islamiques à l'heure occidentale" n'est pas spécialement votre tasse de thé.

Comme vous l'a dit Maurice, que je remercie au passage pour son intervention, je ne vous autorispas à me parler de la sorte. Est-ce parce que je suis une femme et que ma place devrait, à votre avis, être à la cuisine et à pondre des enfants tous les 9 mois comme les femmes arabes?

Personne sur ce site n'a jamais dit que TOUS les arabes/musulmans étaient mauvais. Il y en a une petite poignée, de corrects, et malheureusement, ils ne se font pas entendre, silencieux qu'ils sont, donc vous connaissez le proverbe: "qui ne dit mot consent".

Nous sommes bien obligés de parler de ceux qui se font remarquer, non par leurs exploits médicaux, littéraires, artistiques ou autres domaines qui élèvent l'humanité comme c'est le cas de beaucoup de juifs, mais par leurs actes de barbarie, leur haine ostensible à l'égard d'Israêl et des juifs, leur prosélytisme virulent, leurs comportements ignobles vis-à-vis des femmes, y compris vis-à-vis de leurs "frères", etc...

.Et nous n'en parlons pas pour faire des ragots et du communautarisme primaire, mais pour dénoncer des violences inacceptables. Est-ce clair?

Pour bien situer l'actualité de cette question, apprenez que le gouvernement iranien a fait l'honneur insigne de placer dans le Patrimoine National iranien les tombes d'Esther et de Mordékhaï en 2008. Un événement positif et considérable pour l'histoire de l'Iran-Perse et pour les relations du judaïsme et de l'Iran. Il nous faut comprendre la signification mondiale de cet événement et sa place dans l'histoire biblique globale. Et à nouveau le palais du Roi va s'ouvrir comme il a dit à Esther (7,2): "Fais moi connaître ta demande, reine Esther, et elle te sera accordée. Même si c'est jusqu'à la moitié du royaume, Je te la donnerai". Et la porte bloquée dans les ténèbres s'ouvrira pleinement AVEC TOUTES CES HISTOIRES D ARGENT, UN PEU D OXYGENE LU SUR LE SITE MODIA,LE NAIN IRANNIEN, PAS MAL TON INITIATIVE, MIRACLE EN PLEINE FETE DE HANOUKA, CA VOUS DIT RIEN ??

À l’heure où les enfants de son âge songent aux cadeaux de Noël, un tribunal saoudien refuse de prononcer le divorce d’une fillette de huit ans mariée par son père à un adulte de 58 ans.

Au tribunal de Unayzah, à 220 kilomètres au nord de Ryad, où l’affaire a été jugée samedi, le juge a expliqué qu’elle devait d’abord atteindre «la puberté» pour effectuer, elle-même, la demande de divorce. Car, cette demande a été déposée par la mère de la fillette, juste après que l’acte de mariage eut été signé par le père. Les parents sont eux-mêmes divorcés.

«Le juge a refusé de se prononcer sur la plainte (de la mère), estimant qu’elle n’avait pas le droit d’effectuer une telle démarche et qu’une plainte éventuelle devait être déposée par la fillette elle-même, une fois pubère», a déclaré dimanche l’avocat de la mère.

«Elle ne sait pas encore qu’elle a été mariée», a-t-il indiqué à propos de la fillette, qui s’apprête à entamer sa quatrième année à l’école primaire.

Des membres de la famille ont indiqué, sans vouloir s’identifier, que le mariage n’avait pas été consommé et que la fillette continuait de vivre avec sa mère. Selon eux, le père a exigé que le mariage ne soit consommé qu’une fois sa fille âgée de 18 ans. Ce père, qui semble, selon ces mêmes sources, avoir des problèmes financiers, a reçu une dot de 30.000 riyals saoudiens (8.000 dollars). Présent à l’audience, le père a réaffirmé être favorable à ce mariage.

L’avocat de la mère a indiqué qu’il allait saisir la