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Antisémitisme : racisme envers les Juifs & IsraëlLe Pen lie la hausse de l'antisémitisme à celle de l'immigrationLe président du Front national Jean-Marie Le Pen a lié mardi la recrudescence des "faits antisémites" à "l'importation massive" en France d'immigrés "enclins à prendre violemment position" sur le conflit au Proche-Orient.
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41 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 4 heures - Kountrass
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Dernière mise à jour, il y a 19 minutes
Madame j'approuve sans réserve votre texte.
Vous dites tout haut ce que tous pensent tout bas.
Persistez Madame.......................................Maurice à Marseille
qu elle aille explorer un blog pro-arabes ilslamiste....bon vent
Ce qui me semble incroyable c'est de ne pas inclure ... tous les Hommesqui sont attachés à la laicité par exemple
Ce mot et ce concept ont subi, depuis quelques décennies, un formidable retournement de sens.
De quoi s'agissait-il, à l'origine ?
Du droit à l'expression d'une " vision " différente, même si on la jugeait erronée.
Du temps où la scolastique thomiste -c'est-à-dire le dogme religieux- représentait la seule pensée permise, au point que la contester, ou même s'en écarter, pouvait valoir le bûcher, ou l'emprisonnement, ou l'ostracisme, que revendiquèrent les humanistes du XVesiècle ainsi que les philosophes des Lumières du XIXesiècle ? Non point qu'une pensée contraire fût déclarée juste, mais que, fût-ce à la marge, sa manifestation soit tolérée. Autrement dit, on admettait tout à fait que l'Eglise et les gardiens du dogme défendissent une orthodoxie et condamnassent des impiétés voire des hérésies, mais à condition que les prétendus hérétiques puissent rester libres et en vie et jouir de leur droit à la parole.
Giordano Bruno était panthéiste, Diderot était matérialiste, mais aucun d'entre eux n'exigeait de l'Eglise qu'elle renonce à critiquer, voire à stigmatiser le panthéiste ou le matérialiste. Autrement dit, tolérer une pensée autre n'impliquait pas qu'on s'interdise d'estimer ou de proclamer qu'il s'agissait d'une erreur.
Au demeurant l'Eglise, en acceptant le principe de tolérance (que le pape Pie IX à la fin du XIXesiècle déclarait encore impie), l'avait bien compris ainsi, puisque, tolérant l'expression, par exemple, de l'agnosticisme,
Autrement dit, hier, au nom d'une sainte intolérance qui rendait l'erreur illicite, on ne pouvait ni penser ni dire autrement. Et, aujourd'hui, au nom d'une sainte tolérance, on ne peut même plus ni critiquer l'erreur, ni même la désigner comme telle.
Pis : le rabbin, l'imam, l'ayatollah, l'evêque ont le droit, eux (du moins dans notre pays démocratique et laïc), de juger fallacieux, absurde, scandaleux, dégoûtant ce que cependant ils tolèrent ou sont contraints de tolérer (en quoi, en effet, ils sont tolérants). Mais, à l'inverse, on ne saurait affirmer la fausseté ou l'inanité du discours théologique de l'imam, du rabbin, de l'ayatollah ou de l'évêque sans se voir accuser d'être profondément intolérant.
Autrement dit, la tolérance, ce n'est plus la reconnaissance du droit à l'erreur supposée, c'est l'interdiction de désigner l'erreur, du moins dans la mesure ....
Progrès ou recul?
Peut-on encore oser dire ça sur les religions ?
Marianne
HAG ATSMAOUT SAMEAH
Je n'ai pu venir lire les com depuis qq temps et là, à défaut de France et son Jésus, je tombe juste sur Sylviane et son église ! lol pas de pot!