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4 commentaires
"In der klaus",le monstre...................................
Envoyé par Jaques - le Jeudi 16 Avril 2009 à 22:32
quel pays et régime était "le chien de guerre" des AMÉRICAINs contre les communistes??
réponse : l'Allemagne Nazi
En39-45 le monde a basculé sans jamais par la suite se remettre dans le bon sens! ou est le mal ou est le bien!
Envoyé par Julien_009 - le Vendredi 17 Avril 2009 à 01:09
Un jour, le commandant en chef fit retirer d'un lot de nouveaux arrivés quelques enfants dont les parents furent mis à mort; il ordonna de les habiller de beaux vêtements, de les nourrir de sucreries, et il joua avec eux. Mais cette lubie lui passa au bout de quelques jours, après quoi il les fit tuer.
Une des principales distractions des S.S., c'était de faire subir les pires violences aux femmes jeunes et jolies que l'on mettait à part à chaque nouvel arrivage et que leurs tortionnaires eux-mêmes poussaient, le matin venu, à la chambre à gaz. C'est ainsi que s'amusaient à Treblinka ceux qui étaient l'appui du régime hitlérien, l'orgueil de l'Allemagne fasciste.
Des bourreaux théoriciens et verbeux
Notez bien que ces individus n'étaient pas d'aveugles exécutants. Tous les témoins s'accordent à relever chez eux un trait commun : l'amour des raisonnements théoriques, un penchant à philosopher. Ils se plaisaient à prononcer des discours interminables et à se vanter devant leurs victimes; à expliquer le sens et la portée grandiose de ce qui se faisait à Treblinka, à expliquer en détail pourquoi leur race était supérieure à toutes les autres; ils prononçaient de longues tirades sur le sang allemand, le caractère allemand, la mission des Allemands. Leur credo était exposé dans les livres de Hitler et de Rosenberg, dans les brochures et les articles de Goebbels.
Après avoir travaillé et s'être divertis comme nous venons de voir, ils s'endormaient du sommeil du juste, sans visions ni cauchemars. Jamais leur conscience ne les tourmentait, pour cette bonne raison qu'ils n'en avaient point. Ils faisaient de la gymnastique, veillaient sur leur santé avec un soin jaloux, buvaient du lait, avaient leur confort très à coeur, entouraient leurs logis de jardinets, de somptueuses plates-bandes et de gloriettes. Ils allaient plusieurs fois par an passer un congé en Allemagne, car leurs supérieurs, estimant qu'ils exerçaient une « profession » des plus malsaines, veillaient à leur santé. Dans leur pays, ils marchaient la tête haute; et s'ils taisaient leur travail ce n'était pas parce qu'ils en avaient honte, mais uniquement parce que, en hommes disciplinés, ils n'osaient violer leur signature, enfreindre leur serment. Et quand, au bras de leur femme, ils allaient le soir au cinéma et riaient d'un gros rire en faisant sonner les fers de leurs lourdes bottes, il eût été difficile de les distinguer du commun des hommes. Mais c'étaient des brutes au vrai sens du mot. Des brutes S.S.
Les déportés qui travaillaient à l'incinération
L'été 1943 fut exceptionnellement chaud. Pas une goutte de pluie, pas un nuage, pas un souffle de vent pendant des semaines. L'incinération des cadavres se poursuivait; depuis six mois déjà les fours fonctionnaient le jour et la nuit, mais seulement un peu plus de la moitié des morts avaient été brûlés.
Les détenus qui travaillaient à l'incinération des cadavres ne résistaient pas longtemps aux horribles tourments moraux et corporels qu'ils enduraient; on enregistrait de quinze à vingt suicides par jour, et, beaucoup trouvaient la mort en enfreignant délibérément les règlements disciplinaires.
«Recevoir une balle était un luxe», m'a dit un gars de Kossow qui s'est évadé du camp. Et l'on m'a affirmé qu'être condamné à vivre à Treblinka était mille fois plus horrible que d'y mourir.
Les cendres
On emportait les cendres hors de l'enceinte. Les paysans du village de Wolka, mobilisés par les Allemands, les chargeaient dans des voitures et les épandaient sur la route qui, longeant le camp de la mort, conduisait au camp disciplinaire des Polonais, et des enfants détenus les étendaient régulièrement sur cette même route à l'aide de pelles. Ils y trouvaient parfois des pièces d'or, des dents en or fondues. Les « enfants de la route noire », disait-on en parlant d'eux. En effet, elle était noire de cendre et pareille à un ruban de deuil. La roue des autos y faisait un bruit 'très particulier, et quand je l'ai suivie, je croyais entendre sans cesse un bruissement plaintif et sourd comme un gémissement timide.
Ce ruban noir qui, à travers bois et champs, allait du camp de la mort au camp des Polonais, était comme le symbole du terrible destin qui unissait les peuples sous la hache de l'Allemagne hitlérienne.
Les paysans transportèrent les cendres, du printemps 1943 à l'été 1944. Chaque jour, vingt voitures se rendaient au travail et chacune emportait six on huit fois un chargement de cent vingt-cinq à cent trente kilogrammes.
Envoyé par Jacqueline_013 - le Vendredi 17 Avril 2009 à 11:54
la révolte de Tréblinka... voilà ci-dessus quelques atrocités des SS...dont ce type à fait partie En colère !
Envoyé par Jacqueline_013 - le Vendredi 17 Avril 2009 à 11:56
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 15 minutes