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Je répondrai également, que malgré le verrou du mépris rencontré, je ne verrouille pas à mon tour ma porte, au sens propre comme au sens figuré.
Toute fois je n'irai pas jusqu'à me précipiter vers le rationalisme, la laïcité pure et dure pour me fondre dans le décor de l’universalité, pour oublier ma condition juive. La fuite en avant conduit alors à la haine de soi de l’homme juif honteux de sa propre identité juive, comme pas plus je n'irai vers une fuite en arrière et devenir comme ces fondamentalistes les Natouré Karta.
Nahid Abu T’eima est responsable de la production au studio Ma’an à Bethléem ; originaire de la bande de Gaza, elle vit et travaille en Cisjordanie avec ses enfants. Voici quelques extraits d’une lettre ouverte qu’elle adresse au Président Mahmoud Abbas afin qu’il intervienne pour mettre fin aux crimes d’honneur dont sont victimes les femmes palestiniennes.
‘‘Monsieur le Président,
…Je vous écris en mon nom personnel et au nom de beaucoup des autres femmes, même si je ne suis en aucun cas une représentante désignée.
Je vous écris au nom de très nombreuses femmes, car je ne cesserai pas de me sentir responsable tant que ma société sera enchaînée, et je ne peux continuer à regarder les femmes se faire tuer à bon compte alors même que nous savons tous que le meurtre est illégal et viole nos enseignements religieux.
Monsieur le Président, moins de deux semaines après avoir signé la Convention sur l’Elimination de toutes les Formes de Discrimination à l’égard des Femmes (CEDAW - Convention on the Elimination of all forms of Discrimination Against Women) lors de la Journée internationale des femmes en mars dernier, Tahani Uda, une fille du village de Habla au sud de Qalqiliya a été étouffée à mort par son propre frère.
Il y a une semaine, Ula Safi, âgée de 31 ans, originaire du camp de réfugiés d’Al-Maghazi dans le centre de la bande de Gaza, a été tuée par ses proches sous le prétexte du soi-disant « honneur de la famille ». Il y a quelques jours, toute une famille a été assassinée et le tueur a utilisé le mot “honneur” pour sa défense.
Moi-même et les femmes au nom desquelles je prends la parole espérions que cet incident serait le dernier. Il ne l’a pas été. Hier, Rihab Al-Hazin, 28 ans, du camp de réfugiés de Nusayrat dans la bande de Gaza, a été tuée par sa famille et le cycle se poursuit encore et encore …
Je vous écris parce que je suis convaincue que vous pouvez protéger notre droit à la vie, et que vous pouvez nous aider à appliquer la justice. Vous avez le pouvoir d’arrêter le massacre des femmes et des filles dont le seul crime est d’être femme.
Tant que les méfaits exercés par ces tueurs envers les femmes seront tolérés, les meurtres ne s’arrêteront pas.
Je m’adresse à vous, président Abbas, car vous êtes responsable, et il vous sera demandé une explication quant aux raisons pour lesquelles des dizaines de femmes sont tuées par des membres de leur famille chaque année. Vous pouvez mettre fin à ces crimes « d’honneur » avec un coup de stylo et dire à nos familles qu’il n’y a pas d’honneur dans l’assassinat.
…Vous avez exprimé notre soutien aux droits des femmes quand vous avez signé la Convention (CEDAW). Mais une société qui permet aux assassins de tuer sur un simple soupçon, sans encourir de peine, est une société dirigée par une loi tyrannique qui légitime et encourage le meurtre.
Alors je vous demande, nous vous demandons, combien de femmes doivent être tuées par leurs pères, leurs frères ou leurs cousins avant, nous prenions conscience que ce n’est pas civilisé ? Je demande à ceux qui sont concernés de me dire, de nous dire, combien de femmes seront tuées avant que n’agissent les factions politiques, leurs dirigeants et ceux qui appliquent la justice. Si nous savions combien, nous pourrions peut-être d’une manière quelconque payer une rançon pour nos vies.
Monsieur le Président, l’histoire n’épargne personne, et comme l’histoire, nous les femmes nous n’oublierons pas et nous ne pardonnerons pas.
Les palestiniens écrivent à propos de la ténacité et du courage de nos femmes, on les appelle les gardiens de la culture palestinienne ; ce sont des propos agréables.
Dans le même temps, les journalistes écrivent que les tribunaux palestiniens ont adopté 70 lois relatives à l’impression de la monnaie ; ils n’en ont pas passé une seule sur le droit de la famille ou sur le statut personnel des femmes.
Monsieur le Président, nous avons assez d’être le carburant. Nous en avons assez des gens qui tuent nos femmes et se glorifient de mettre fin à la honte d’une famille. Nous en avons assez que personne ne s’interroge sur la vacuité de ces vantardises. Nous en avons assez des justifications par « l’honneur ».
Je - nous - sommes des infidèles, des non croyantes, dans notre propre société, qui comporte ses faiblesses. Nous en avons assez d’avoir un ministère des affaires féminines, qui ne demande pas, à chaque fois qu’une femme est tuée par ses parents, de mettre un terme à l’abattage païen des femelles. Nous en avons assez de notre impuissance à combattre une tradition qui légalise notre meurtre.
Monsieur le Président, je m’adresse à vous au nom de celles qui sont abattues chaque jour. Je vous dis que rester silencieux c’est être complice.
Monsieur le Président, nous ne voulons pas être tuées simplement parce que nous sommes des femmes censées protéger l’honneur de la famille avec notre chair. Nous refusons le châtiment des femmes et qu’elles soient assimilées aux pires criminels et méritent la mort.
Monsieur le Président, un mois après le mensonge connu sous le nom de « Journée internationale de la femme » nous vous sommes reconnaissantes d’avoir signé la Convention (CEDAW) considérant ceci comme un effort visant à nous protéger. Mais nous avons besoin de plus. Nous avons besoin d’un décret présidentiel qui nous dira et dira à nos assassins qu’il n’y aura plus d’immunité ; qu’un assassin est un assassin, quel que soit le sexe de sa victime.’’
Mais aussi , quel message - les femmes commencent de se révolter contre ça ! Je espère de tout cœur qui rien de fâcheux arrive a elle et ses sœurs de combat ! Ca fait du bien , de voire qui ils sont prêt a demander leur droits !
Avec les femmes comme ça on peut parler de un avenir en paix !