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Blog : Torah-BoxRabbi David Yéhoudayoff, le gendre Tsadik de Baba SaléRabbi David Yéhoudayoff était un homme aux mille qualités, aimé de D.ieu et des hommes. Il était le gendre bien-aimé et confident du saint "Baba Salé zatsal" qu’il appelait « mon père » et qui disait de lui : « J’ai trois fils : Rabbi Méïr, Rabbi Baroukh et... Rabbi David ». Il naquit le 27 Eloul 5694 (1934) à Jérusalem, de son père Mamane (tué par des arabes) et de sa mère Dina, et quitta ce monde le 15 Iyar 5752 (1992), à l’âge de 58 ans seulement — peu d’années de vie, mais des jours pleins. Une enfance baignée dans la saintetéSa grand-mère maternelle, la Tsadéket Rabbanite Sarah Chelomiyoff demanda à l’élever elle-même, expliquant que sa fille unique n’avait pas eu de fils, et qu’elle désirait ardemment former un enfant entièrement saint. Rabbi David grandit dans sa maison, nourri de sa piété, de ses jeûnes, de son ascèse et de sa sainteté. Il dira plus tard : « Un petit-fils est comme un fils ». Très jeune, il fut 'Hazan à la synagogue Beth Yossef de son grand-père Rabbi Yossef Moussaiyoff, donna des cours dès l’âge de 17 ans, et fut encouragé dans son ascension spirituelle par sa grand-mère. Son lien unique avec Baba SaléLorsqu’il fut en âge de se marier, on lui proposa la fille du saint Baba Salé. Ce dernier, après l’avoir observé deux minutes, déclara : « Un homme doit marier sa fille à un érudit en Torah – et moi, aujourd’hui, je marie ma fille à un tel homme ! » Un lien d’amour profond unissait les deux hommes. Baba Salé lui-même disait que la Tsadéket Sarah (sa grand-mère) avait préparé des Matsot d’une telle sainteté que, même avec une fracture au bassin, elle les pétrit avec abnégation. Lors du Séder, il ressentit une lumière rare en les mangeant et alla la visiter chez elle — une chose exceptionnelle venant de lui. Serviteur d’Hachem et de Son peupleRabbi David Yéhoudayoff accomplissait tous ses actes Léchem Chamaïm (pour l’amour du Ciel). Il était érudit dans le Niglé (la Torah dévoilée) et le Nistar (la Torah mystique), à la fois Cho’het (abatteur rituel), Mohel (circonciseur), enseignant et auteur de livres. Le Tsadik caché Rabbi Yossef Waltach disait de lui : « Rabbi David sait. » Et à la question « Il sait quoi ? », il répondit : « À chaque Brit-Mila, Éliyahou Hanavi vient. Mais chez Rabbi David, il commence la Mila dès qu’Éliyahou entre. » À 15 ans, déjà mû par un amour ardent pour le peuple juif, il sauva de nombreux enfants yéménites dans le camp de transit d'Ein Shemer. Il les arracha aux mains de ceux qui voulaient les détourner de la Torah, les plaça dans des Yéchivot, et les sauva spirituellement. Il était lié aux Tsadikim cachés comme Rabbi ‘Haïm Sinwani, Rabbi Ména’hem Menakhem, Rabbi Avraham Aharonovitz et Rabbi Binyamin Ze’ev ‘Hishin. Il priait sur les tombeaux des Tsadikim, annulait des décrets divins, et consolait les âmes brisées. Il releva des familles, éleva des générations, sanctifia le camp d’Israël, et ferma par sa parole des lieux d’impureté. Torah, érudition et transmissionIl fut la 'Havrouta (partenaire d’étude) des plus grands : Rav 'Ovadia Yossef, Rabbi Avraham Rafoul, Rabbi Yossef Zarouk, Rabbi Chmouel Auerbach — avec qui il étudia tout le Talmud en profondeur pendant deux ans. Il entretint une amitié spirituelle étroite avec : Rabbi Mordékhaï Eliahou, Rabbi Yaakov Moutsafi, Rabbi Ben Tzion Abba Chaoul, Rabbi Yehouda Tzadkah — avec qui il mena en secret de grandes actions pour le Zikouï Harabim (diffusion de la Torah). Il travailla sans relâche à publier des trésors cachés : les œuvres du Ben Ich ‘Haï, de Rabbi Eliezer Papo, de Rabbi Yitz’hak Alfiah, du Rav ‘Haïm Sinwani, ainsi que les écrits du Rashba, du Ritva, et du Hessed Laalafim. Il permit ainsi à de nombreuses âmes d’accéder à des écrits de sainteté. Il laissa aussi 3 ouvrages minutieux sur son beau-père Baba Salé, expliquant sa grandeur, sa pureté, son ascétisme, ses pratiques, et ses conduites saintes. Beaucoup témoignent qu’en les lisant, ils ressentent une élévation de leur crainte du Ciel. Une fin annoncéeQuelques jours avant de quitter ce monde, il dit à son fils aîné, Rav Its’hak : « Ce n’est pas l’oubli qui fait perdre, mais la mémoire. Celui qui oublie écrit. Celui qui se souvient ne note rien. Moi, je me suis fié à ma mémoire… Et si je meurs demain ? » Il confia également à son fils Rabbi Avraham Mess’od : « Je pars comme expiation pour le peuple d’Israël. » Pour sa Hiloula, son fils, le Admour Rabbi Avraham Mess’od Yéhoudayoff demande et conseille d’allumer une bougie en sa mémoire et de prier Hachem pour qu’il soit un intercesseur dans les cieux afin: Que son mérite nous protège. Ajouter votre commentaire !
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