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Blog : AshomerLE BOUFFON LYBIEN A RECU SA GIFLE CE MATIN....
Mahmud Hams AFP ¦ Des forces de sécurité palestiniennes attendent l'arrivée d'un bateau libyen le 1er décembre 2008
Gaza: la marine israélienne refoule un bateau libyen chargé d'aide humanitaire
Des forces de sécurité palestiniennes attendent l'arrivée d'un bateau libyen le 1er décembre 2008
Un bateau libyen en route pour la bande de Gaza, bouclée par Israël, a été intercepté par la marine 878 commentaires
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cla a pousser israel a reagir donc elle a du se defendre,1973 jour de kipour sacrer meme pour les non pratiquants, la R.A.U avec participation timide de la jourdanie et palestiniens ont attaquer israel au bout d une semaine nous avons retourner la situation a notre faveur, et jusqua maintenant israel ne fait que se defendre, ce n est pas qu elle est plus puissante, sa force reside a sauver une terre et le peuple, tandis que les pays arabes vont en guerre pour des conquetes et argent , mais des qu il ya complication, les soldats comprennent qu ils avaient rien a foutre dans ces batailles policienne et hipocrite de la part de leurs dirigeants
Tu veux dire qu´ils cultivent leurs champs en famille?
donc une palestine gaza et une palestine cisjourdanie quel bordel!
attendons et prions amen
Ryad
Envoyé par Ryad - le Jeudi 04 Décembre 2008 à 14:55
1967 Guerre des Six-Jours. « Réunification » de Jérusalem.
L'Égypte obtient le retrait des troupes de l'ONU en mai 1967, remilitarise le Sinaï et ferme le Détroit de Tiran, passage-clef du transport maritime israélien. Le 5 juin 1967, devant l'imminence d'une attaque arabe préparée et les bombardements Syriens réguliers depuis le plateau du Golan depuis début 1967, Israël lance une offensive préventive éclair contre l'Egypte, menée par le général Moshe Dayan (voir : Guerre des Six Jours) et appelle la Jordanie à rester neutre.
La Jordanie refuse et attaque Israël avec l'artillerie lourde sur Jérusalem-ouest et la région de Tel aviv. Le 8 juin Israël vainc l'armée jordanienne et conquiert la Judée et la Samarie.
Les Syriens continuent de bombarder les habitations, les vergers et les silos agricoles israéliens depuis le plateau du Golan ; en réponse le 9 juin, Israël attaque les Syriens sur le Golan.
Les aviations égyptiennes, jordaniennes et syriennes sont détruites en une journée. Au terme d'une guerre-éclair de six jours, Israël conquiert la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Golan (y compris la zone des fermes de Chebaa), la péninsule du Sinaï et Jérusalem-Est.
(http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/procheori ent1967).
« Rien n'a contribué davantage à l'explosion que la décision arbitraire et dangereuse de fermer le détroit de Tiran. Le droit de passage à la marine civile doit être préservé pour toutes les nations. »
Tant par leurs paroles que par leurs actes, les dirigeants arabes indiquaient qu'ils avaient l'intention d'attaquer Israël et de détruire l'État hébreux.
Citations de discours de Nasser en mai 1967 :
« Notre objectif de base est la destruction d'Israël. Le peuple arabe veut se battre. » (27 mai 1967)
« Le blocus de Charm-el-Cheikh signifie une confrontation avec Israël. Le fait d'avoir adopté cette mesure nous oblige à nous préparer à une guerre générale contre Israël. » (27 mai 1967)
« Nous n'accepterons aucune coexistence avec Israël. Il n'est pas question de l'établissement d'une paix entre les pays arabes et Israël. La guerre avec Israël est une réalité depuis 1948. » (28 mai)
« Les armées d'Égypte, de Jordanie, de Syrie et du Liban se trouvent le long des frontières d'Israël... pour faire face au défit. Derrière nous se trouvent les armées de l'Irak, de l'Algérie, du Koweit, du Soudan et toute la nation arabe.
à suivre
Cette action étonnera le monde. Aujourd'hui, le monde saura que les Arabes sont prêts à se battre, que l'heure suprême est arrivée. Nous avons atteint le stade des actions sérieuses et non plus des déclarations ». (30 mai)
Le 31 mai 1967, le roi Hussein de Jordanie se rend au Caire pour y signer un pacte de défense mutuelle avec l'Égypte pour une période de cinq ans. C'était un coup dur à la diplomatie d'apaisement américaine : la Jordanie étant un allié des États-Unis. Cela signifiait qu'Israël se trouvait maintenant confronté à une alliance arabe hostile sur trois frontières.
Le 31 mai 1967, le quotidien officieux du Caire, « Al Akhbar » , écrivait :
« Après les accords militaires signés avec la Jordanie, l'artillerie jordanienne, alliée aux forces d'Égypte et de Syrie, est en mesure de couper Israël en deux à Kalkilia, à l'endroit où le territoire israélien ne présente que 12 kilomètres de largeur, entre la ligne d'Armistice jordanienne et la mer Méditerranée. L'encerclement militaire d'Israël par les forces arabes... justifiera la crainte de Ben Gourion selon laquelle Israël se trouverait dans la gueule du loup. »
Nasser resserra encore plus le noeud autour d'Israël le 4 juin 1967, en persuadant un autre pays arabe, l'Irak, de joindre son alliance.
à suivre
Le 31 mai 1967, le président irakien Aref déclarait :
« L'existence d'Israël est une erreur qui doit être rectifiée. Nous avons maintenant l'occasion d'effacer l'ignominie qui existe depuis 1948. Notre but est clair &endash; effacer Israël de la carte. »
Israël se trouvait devant une double menace. Il était entouré d'armées capables d'utiliser des armes soviétiques sur toutes ses frontières, ainsi que des armes américaines et anglaises sur l'une d'entre elles, la frontière jordanienne.
Eilat, la fenêtre d'Israël sur l'Orient, sur l'Océan indien et sur la côte orientale de l'Afrique, était dorénavant fermée. Ce blocus du golfe a'Akaba constituait bel et bien le premier acte d'une guerre totale.
Après la Guerre des six jours, en juin 1967, Israël espérait que les États arabes reconnaîtraient enfin son existence et engageraient des négociations de paix. Au nom du gouvernement israélien d'union nationale (présidé par le travailliste Lévi Eshkol et dans lequel le dirigeant conservateur Menahem Begin était ministre d'État), le ministre israélien des Affaires étrangères, Abba Eban, précisa que tout était négociable.
à suivre...