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Blog : Riposte SefaradeLe "nazisme" israélien dénoncé au Parlement belge par un député du HezbollahFouad Lahssaini l'agent belge du Hezbollah Exemples concrets de critique antisémite à l'égard d'Israël, selon la définition arrêtée par l'Union européenne (Working definition of anti-Semitism, European Monitoring Centre on Racism and Xenophobia): - la dénégation du droit du peuple juif à l'autodétermination, étayée, par exemple, par l'affirmation selon laquelle la création de l'État d'Israël serait un projet raciste; - l'établissement de parallèles entre la politique israélienne actuelle et celles des nazis. Ce sont pourtant ces accusations infâmes que les terroristes du Hezbollah et leurs amis ont proférées à la Maison des Parlementaires à Bruxelles. Ce triste spectacle est présenté comme une grande victoire contre le "lobby sioniste" par Abu Dyab Jajah, directeur général de l'IUPFP (communiqué) et président de la Ligue arabe européenne. Apologie du terrorisme et diatribes antisionistes du Hezbollah à la Maison des Parlementaires, Communiqué de presse du CCOJB "Le Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique (CCOJB) condamne avec la plus grande fermeté la présence de représentants du Hezbollah à la conférence qui s'est déroulée le 15 décembre 2008 à la Maison des Parlementaires, à l'initiative du député fédéral Ecolo Fouad Lahssaini. Le CCOJB, qui était présent à la conférence, dénonce le dévoiement de ce lieu hautement symbolique qui, trois heures durant, s'est fait l'écho de la propagande antisioniste et de l'apologie du terrorisme que l'on croyait réservées aux meetings du Secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah à Beyrouth Ouest. Organisée par l'Union Internationale des Parlementaires pour la Palestine (IUPFP) ? organisation fondée en 2001 à Téhéran ?, la conférence a été ouverte par Luk Vervaet, représentant en Belgique de l'IUPFP, qui a appelé à la mobilisation contre "le dernier Etat d'apartheid, l'Etat sioniste" et a justifié la présence de membres du Hezbollah par le devoir de "soutenir la résistance palestinienne et arabe sans exclusion". Le député belge Fouad Lahssaini a ensuite appelé à la libération de ses "collègues" du Hamas emprisonnés en Israël, a dénoncé les "pressions sur le Parlement pour qu'on interdise ou pour qu'on modifie le programme de ce colloque" et s'est prévalu de l'accord de "la conférence des présidents qui réunit l'ensemble des présidents de partis et des chefs des partis politiques au Parlement" pour l'organisation de cette sordide réunion. Le député libanais du Hezbollah Hussein Al Hadj Hassan a pris la parole pour sommer "les sionistes israéliens" d'arrêter "leur nazisme contre les Palestiniens", prôner "la résistance légitime" du Hezbollah contre Israël comme l'a été celle du "peuple belge contre les nazis" et se réjouir du fait que "les mensonges du sionisme international ont commencé à être dévoilés". Le directeur général de la chaîne de télévision du Hezbollah Al Manar, Abdullah Kassir, a dénoncé le "génocide [qui dure] depuis plus de 60 ans", "les lobbies" dont la télévision du Hezbollah serait la victime et les "chaînes sionistes qui parlent des Arabes et des musulmans de manière discriminatoire et raciste". Le CCOJB rappelle qu'Al Manar a été bannie du paysage audiovisuel européen en 2004 suite à la diffusion de programmes antisémites parmi lesquels le feuilleton "Cavalier sans monture", adaptation syrienne du célèbre faux antisémite "Les Protocoles des Sages de Sion". Le CCOJB rappelle également que le Hezbollah est un parti politique libanais violemment antisémite doublé d'une organisation terroriste à laquelle est attribuée la paternité de nombreux attentats, dont celui qui, en 1994, a détruit le centre communautaire juif de Buenos Aires, en Argentine, provoquant la mort de 95 personnes. Le CCOJB dénonce l'invitation irresponsable lancée par le député Ecolo Fouad Lahssaini à un membre actif d'une organisation politico-terroriste et au directeur d'un média notoirement antisémite, offrant ainsi une tribune aux apologistes du racisme et aux ennemis de la paix dans le c'ur symbolique de notre démocratie. Le CCOJB déplore la légèreté avec laquelle l'autorisation d'une telle manifestation a été accordée par le Parlement et appelle les pouvoirs publics à faire preuve de cohérence. On ne peut en effet lancer, d'une part, des coups de filet contre les cellules terroristes dans notre pays, et ouvrir, d'autre part, les portes du Parlement aux terroristes du Hezbollah." Publié par Philosémite 7 commentaires
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mdrrrrr
Depuis la création de la terre, tout ce que les juifs ont rapporté, les muslims l´ont repris à leur compte, savez-vous que Adam et Eve etait des muslims? mais oui, rigolez pas c´est serieux
Maurice, les nations qui se laissent envahir ne se servent pas de l´histoire pour comprendre les methodes des fourbes, une fois installée pour les muslims c´est du acquit pour l´eternite, comme le rapporte le coran, une fois la verrue implantée sur le temple, quel musulman aujourd´hui osera rappeller qu´elle n´a rien à foutre à cet endroit, c´est à tout les coups l´intifada, je sais pas si tu as regarder cette video (je sais ton probleme d´ADSL) c´est une mosquee à Malmö en Suede que des muslims squat et mette le feu dans toute la cité comme dans les banlieues francaise:
http://www.bivouac-id.com/2008/12/19/suede-emeutes-de-jeunes-a-malmo-suite-a-la-fermeture-dune-mosquee/
Date de création : 13/11/2008
Date de cloture : 13/11/2009
Auteur : 66, rue de l'arbre sec - 75001 Paris
Observatoire du communautarisme - http://www.communautarisme.net
A l'attention de : Monsieur le Président de la République
Nous, Français attachés aux principes de la République, nous désolidarisons du Manifeste pour l’égalité réelle en faveur de la discrimination positive et de ses tentatives visant à manipuler l’opinion.
Nous rappelons par le présent manifeste notre opposition catégorique à l’instauration dans notre pays d’un régime d’inégalité des droits.
Nous affirmons notre indéfectible attachement aux principes de la Révolution française, par laquelle nos ancêtres ont conquis le principe d’égalité en droit de tous les Français, indépendamment de leurs origines, de leur religion ou de leur race.
En aucun cas, la recherche de l’égalité réelle ne saurait, selon nous, autoriser l’introduction dans notre droit positif d’un régime de discriminations « positives ». Seule l’égalité des chances, qui consiste à introduire des discriminations dans les moyens mis en œuvre pour organiser un cursus scolaire, une formation, la préparation d’un concours ou d’une compétition quelconque, nous paraît recevable, et même souhaitable.
Mais ce qu’on appelle aujourd’hui « discriminations positives » consiste à biaiser les résultats d’une sélection ou d’une compétition avec l’obligation pour les autorités d’atteindre des objectifs fixés par avance quant à la « représentation » de chacune des communautés préalablement définies.
La définition de ces communautés elle-même est arbitraire. Les caractères ethniques ne reposent sur aucun critère scientifique reconnu. Les origines culturelles sont sujettes à discussions infinies. Chaque définition possible est arbitraire et lacunaire. Elle oublie des catégories, en crée d’autres de manière artificielle, de manière souvent intéressée, en fonction des modes intellectuelles du moment ou sous la pression de tel ou tel « lobby ». Elles doivent donc être condamnées sans appel.
En revanche, nous ne sommes nullement opposés à l’élaboration d’un code de bonne conduite en matière d’embauche ou de promotion politique auquel les entreprises et les partis politiques adhéreraient sur la base du volontariat, un peu comme pour les normes ISR (Investissement socialement responsable). Mais nous ne pouvons accepter que des quotas soient institués par voie législative ou réglementaire à l’entrée de nos grandes écoles, ni que le recrutement dans la fonction publique s’écarte de la procédure du concours, exclusif, anonyme et universel.
Nous estimons que la revendication communautariste, en s’attachant à la notion de « représentation miroir » des « minorités visibles », attaque le principe de l’universalisme républicain qui ne fait pas dépendre de qualités particulières la capacité à représenter la nation ou l’une de ses circonscriptions.
Nous dénonçons également le caractère stigmatisant des revendications communautaristes qui désignent, pour s’en glorifier ou pour s’en offusquer, la couleur de la peau, la religion, le sexe ou l’âge d’un candidat ou d’un élu.
L'élection d'Obama, un exemple mal choisi
Nous pensons à cet égard que la récente élection de M. Barack Obama à la présidence des Etats-Unis est un exemple très mal choisi pour justifier l’instauration en France d’un régime d’inégalité des droits, même du point de vue des partisans de la « représentation miroir ».
Tout d’abord parce que les Français d’origine africaine ont toujours bénéficié des mêmes droits civiques que leurs compatriotes et n’ont jamais souffert d’un régime juridique de ségrégation, au contraire des Afro-Américains. Or, c’est cette ségrégation, qui a justifié, dans la foulée du mouvement des droits civiques de Martin Luther King, la mise en place, au milieu des années soixante, par le président Lyndon Johnson, des « discriminations positives » et de l’affirmative action. Nous rappelons ici que la ségrégation était un régime d’inégalités des droits au détriment des Noirs américains, qui avaient été, au cours des siècles précédents, déportés aux Etats-Unis comme esclaves. L’affirmative action doit donc être comprise comme une réaction juridique à la réalité juridique de la ségrégation. Or, celle-ci n’a jamais existé en France (à l’exception du statut des Juifs sous le régime anti-républicain de Vichy). En effet, nos « minorités », issues d’une immigration volontaire – et parfois même clandestine – à la recherche d’une vie meilleure, n’ont jamais eu de statut juridique particulier, contrairement à ce qu’affirment les partisans de l’affirmative action.
Ensuite, parce que M. Obama, dont la valeur personnelle et intellectuelle est évidente, n’a nullement eu besoin de quota pour être admis aux prestigieuses universités de Columbia, puis de Harvard, en sortir diplômé avec mention, être élu président de la Harvard Law Review, puis sénateur de l’Illinois, prouvant ainsi qu’un enfant doué et volontaire peut se passer, pour réussir, des privilèges octroyés par la législation. Au contraire, ses origines en quelque sorte « aristocratiques », tant du côté de son père kenyan (luo) que de sa mère américaine, le prédestinaient à de hautes fonctions publiques.
Son élection n’est donc nullement le signe d’une supériorité du régime américain sur le nôtre en matière de promotion sociale ou de lutte contre le racisme. En effet, M. Obama n’est ni fils d’ouvrier, ni descendant d’esclave, mais un produit d’élites nord-américaine et africaine.
Nous rappelons également que M. Obama, contrairement à beaucoup de nos enfants issus de l’immigration, adhère pleinement aux valeurs de son pays d’adoption, à son drapeau, à son hymne national et à ses ambitions planétaires. Il semble, en particulier, n’avoir jamais évoqué, pour exiger une quelconque repentance, le passé esclavagiste de son pays, le génocide des Indiens ou son impérialisme impénitent de « peuple élu » appelé à la direction des affaires du monde. Au contraire, il n’a eu de cesse de revendiquer son attachement à l’histoire américaine, de s’en glorifier, d’exprimer son patriotisme et d’affirmer sa foi dans les grandes destinées de sa nation.
Nous critiquons à cette occasion les orientations de l’instruction publique en France qui, depuis trop d’années, ont remis en cause l’enseignement de notre histoire nationale dans le but, notamment, de mieux intégrer les descendants de nos anciens colonisés. Nous prétendons que nous ne pouvons à la fois défendre la conception française de la nationalité, qui se manifeste dans le droit du sol et qui est celle d’une adhésion volontaire au passé de notre nation et à la construction d’un avenir commun, et nous placer d’un point de vue étranger à nous-mêmes pour juger et enseigner notre histoire. Nous estimons au contraire que l’intégration d’immigrés, en provenance d’anciens territoires français ou d’autres pays, se fera d’autant mieux que la France sera plus indépendante, plus puissante, plus souveraine, plus sûre d’elle-même, aura et répandra une meilleure image d’elle-même, tant pour son œuvre passée que vis-à-vis de ses ambitions à venir.
Nous dénonçons enfin les dispositions de la charte des droits fondamentaux, rejetée à une large majorité (55 %) par le peuple français le 29 mai 2005 et néanmoins ratifiée de manière illégitime par des parlementaires qui n’ont pourtant pas été élus pour cela, et qui prévoit l’instauration, dans la législation interne des Etats membres de l’Union européenne, de dispositions discriminatoires contraires à nos principes fondamentaux. Nous témoignons ainsi de l’opposition du peuple français à toute forme de ségrégation juridique, en rappelant que la Révolution française s’est enracinée dans la révolte contre les discriminations de droit en vigueur sous l’Ancien Régime. On ne pourra donc pas lui faire très longtemps le coup de l’égalité des droits ennemie de la justice, ni oser prétendre que l’égalité réelle justifie l’inégalité des droits.
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Premiers signataires :
Hervé Beaudin, essayiste
Albert Salon, docteur d’Etat ès lettres, ancien Ambassadeur, président d’associations pour la promotion du français et de la Francophonie
Julien Landfried, Observatoire du communautarisme
François Devoucoux du Buysson, Observatoire du communautarisme
Lien vers le texte : http://www.communautarisme.net/Manifeste-republicain-pour-l-egalite-des-droits-et-contre-les-discriminations-positives-_a1030.html
Comprends je quelque chose a travers ????