Blog : Mais Si Srael

HINE LO YANOU VELO YSHANE SHOMER ISRAEL KADOCH ATA VENORA CHEMEKHA VEENE ELOAH MIBALADEKHA BAROUKH ATA HACHEM HAMELEKH HAKADOCH .

Je me joins à vous, Jocelyne, Léon, Maurice. Amen.

ET HAM ISRAEL HAYE

ce n 'est que rejeté la Thora ! c 'est notre terre, notre pays !! de quel droit les palos prendraient ce qu 'ils ne leurs
appartient pas ?? ce qui est à nous , c'est nous ! logique ? et bien qu 'il retourne d 'où ils ont été rejetés !! après chacun son pays !! et israel ne leur appartient pas !! c 'est drôle leur mentalité parcequ 'ils s' incrustent partout ,
sauf dans leur pays d' origine

Hello Maurice, je suis d'autant plus étonnée qu'autant que je m'en souvienne, je n'ai rien écrit qui soit "sanctionnable". Incompréhensible.

Dommage que tu n'aies pas pu me lire. Je ferai aussi attention que possible la prochaine fois. Mais encore faut-il savoir quels sont les mots ou phrases qui sont sujets à sanction???

En tout cas merci du conseil ,et bonne soirée.

merci jocelyne, mine de rien tu fouines grave sur le net.

merci jocelyne, mine de rien tu fouines grave sur le net.
Envoyé par Elie - le Mercredi 4 Mars 2009 à 22:53

tu sais elie, vivant en israel depuis presque 30 je n'ai pas grand merite, je suis juste un peu plus proche du sujet et me rappelant de certaines choses c'est plus facile pour trouver ensuite sur le net. dans la 2eme video tu peux voir, il me semble au debut, le ministre ZEEVI ZAL. surnomme (gandhi) assassine par un terroriste. les arabes en avaient une peur bleue. pour memoire :
- REHAVAM ZEEVI, leader du parti Moledet (extrême droite), fut le conseiller antiterrorisme du gouvernement israélien lors du raid sur l'aéroport d'Entebbe (Ouganda), le 4 juillet 1976. L'opération permit la libération d'une centaine d'otages.

interview complet : http://209.85.229.132/search?q=cache:5xoKSXaCQBcJ:www.lexpress.fr/informations/faut-il-negocier-yves-bonnet-oui-mais-rehavam-zeevi-non-mais_614597.html+zeevi+biographie&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr

- Depuis quelques années, Israël lui-même s'est montré pragmatique, à l'occasion.
- Notre image d'inflexibilité, depuis une quinzaine d'années, ne correspond plus à la réalité. Je le regrette. Pendant longtemps, nous avons refusé de libérer des terroristes qui avaient du sang sur les mains. Ce tabou a été brisé: nous avons notamment relâché des hommes d'Ahmed Jibril en 1985.

- En 1976, l'avion détourné vers Entebbe appartenait à Air France et le gouvernement français prônait la négociation.
- A l'époque, Paris a agi dans un souci humanitaire, conforme, par ailleurs, à ses intérêts nationaux. A présent, en revanche, je ne comprends pas pourquoi le président syrien, Hafez el-Assad, est reconnu comme un interlocuteur valable par Paris et Washington. Une dizaine d'organisations terroristes internationales ont pignon sur rue à Damas!

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