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Blog : Michel GarrotéIRAN - Les cinglés de Téhéran- Michel Garroté ? Mercredi 4 mars 2009 - http://monde-info.blogspot.com - Lors d'une conférence, mercredi 4 mars 2009, conférence sur la bande de Gaza tenue à Téhéran, le Guide suprême (et halluciné) d'Iran, l'ayatollah Khamenei, la plus haute autorité de l'Etat théocratique iranien, taxe allègrement Israël de « tumeur cancéreuse » (le président nabot génocidaire Ahmadinejad, je profite de l'occasion pour le redire ici, n'étant que le laquais de l'ayatollah Khamenei). L'ayatollah Khamenei ajoute que « la résistance est la seule façon de sauver la Palestine » (ce qui en langage décodé signifie : la terreur islamique hamassoïde est la seule façon de rayer Israël de la carte). L'ayatollah Khamenei dénonce en outre la politique d'Obama qui s'inscrit - selon l'ayatollah intégriste - dans la lignée de la politique de Bush. Cela valait bien la peine de prôner un « rapprochement » avec l'Iran' - - © 2009 Michel Garroté http://monde-info.blogspot.com - - 1 commentaire
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L'Iran a appelé mercredi à la "résistance" des musulmans pour "sauver la Palestine" en rejetant la solution de deux Etats palestinien et israélien prônée par les pays arabes et les grandes puissances.
"La résistance est le seul moyen de sauver la Palestine", a déclaré le guide suprême iranien Ali Khamenei, qualifiant Israël de "tumeur cancéreuse", en ouverture d'une conférence à Téhéran sur la bande de Gaza.
"On ne pourra sauver la Palestine en mendiant auprès des Nations unies", a-t-il affirmé.
L'ayatollah, la plus haute autorité de l'Etat, a réitéré son idée d'un retour de tous les réfugiés palestiniens suivi d'un référendum sur l'avenir du territoire israélien.
La veille, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a affirmé lors d'une visite en Israël qu'une "solution à deux Etats" était "inévitable".
La conférence de Téhéran, qui réunit pendant deux jours des représentants de pays de la région et des délégations sud-africaine et nigériane, se veut une réponse à celle conclue lundi en Egypte par une promesse de la communauté internationale de verser 4,5 milliards de dollars pour la reconstruction de Gaza.
"Ceux qui ont (...) tenu ce spectacle de marionnettes approuvent les atrocités du régime sioniste à Gaza", a déclaré à l'agence Fars le secrétaire de la conférence de Téhéran, Ali Akbar Mohtashamipour.
La conférence va tenter de centraliser l'aide à Gaza mais "malheureusement, la route pour la livraison (de l'aide) est fermée", a indiqué le député iranien Khazem Jalili, en référence au blocus israélien du territoire palestinien.
Le guide suprême a aussi accusé le président américain Barack Obama de prendre la "défense du terrorisme gouvernemental" d'Israël malgré ses promesses de changement de politique.
Il a qualifié d'"erreur de jugement" le fait qu'"un pays nommé Israël soit une réalité de 60 ans qui doive être acceptée. Une autre erreur est de dire que la seule façon de sauver les Palestiniens est par la négociation".
Le président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad a également appelé à l'établissement d'un "front global antisioniste" et à "punir sérieusement les criminels sionistes".
Israël est l'ennemi juré de la République islamique qui ne reconnaît pas son existence et soutient fermement le mouvement palestinien Hamas qui contrôle Gaza.
Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui appartient au mouvement rival Fatah, a critiqué ce soutien mercredi: "Nous envoyons un message à l'Iran: arrêtez de vous ingérer dans nos affaires".
Parmi les rares personnalités identifiées lors de cette conférence figurent le président du parlement libanais Nabih Berri, allié du Hezbollah chiite libanais, le N.2 du bureau politique du Hamas en exil Moussa Abou Marzouk et Mahmoud Zahar, le plus influent dirigeant du "Hamas de l'intérieur".
Mahmoud Zahar a reconnu que l'Iran finançait le Hamas notamment "en payant les salaires de nos employés" depuis la victoire du Hamas aux législatives de 2006.
Mardi au Caire, le chef de la diplomatie saoudienne, le prince Saoud Al-Fayçal, a exhorté ses homologues arabes à ne pas tolérer que des pays non-arabes, en référence à l'Iran, s'ingèrent dans les affaires de l'Irak, du Liban et des Palestiniens.
Dernière mise à jour le: Mercredi 4 Mars 2009, 17:15