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Blog : Mais Si SraelNicolas Sarkozy a condamné «le discours de haine» d´Ahmadinejad
Nouvelle provocation d'Ahmadinejad à Genève
Malgré la mise en garde de Ban Ki-moon, le président iranien a déclaré que le gouvernement israélien était raciste, devant la conférence de l'ONU consacrée au sujet. Des propos qui ont aussitôt
provoqué de vives réactions dont celle de [...] 12 commentaires
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Mais,comme dit le proverbe,la peur n'évite pas le danger.
Avoir peur aujourd'hui,ce sera pire demain.
Pour nous,la Bible nous enseigne:"LO ICAR".
Alors,RIRA BIEN QUI RIRA LE DERNIER.
La Suisse elle, est resté, soit disant pour la liberté de parole.
si la condamnation du racisme, de l'esclavagisme, du sexisme ou des injustices est bonne,
alors
condamner l'islam, c'est bien, aimer l'islam, c'est mal.
Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a rappelé l'ambassadeur d'Israël en Suisse, Ilan Elgar, pour consultations à Jérusalem, alors que le président Helvétique, Hans-Rudolf Merz, a reçu officiellement, et avec les honneurs, son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad qui participe au sommet "Durban II".
Selon un communiqué du porte parole de la diplomatie israélienne, ce rappel de l'ambassadeur est un acte de protestation contre l'attitude de la Suisse "envers un négationniste de la Shoah, qui s'est exprimé à plusieurs reprises sur la nécessité d'effacer Israël de la carte".
Avant même cette rencontre entre les deux hommes, qui ont ensuite diné ensemble, Israël avait protesté en affirmant : "Il n'y a aucune raison au monde de rencontrer le président d'un Etat qui exporte terrorisme, haine et antisémitisme. Une rencontre avec Ahmadinejad porte une grave atteinte à la coalition morale internationale face à l'Iran, et représente un acte déshonorant qu'il eut mieux valu éviter. Aucun chef d'état qui se respecte ne doit serrer la main du négationniste de Téhéran".
L'ancien ambassadeur d'Israël à Berne, le fougueux Itshak Meïr, ne décolère pas. Il a écrit une lettre incisive au Président suisse non seulement pour avoir rencontré Ahmadinejad et dîné en sa compagnie, mais pour avoir répondu à toutes les critiques à son encontre en tentant de se dédouaner de la sorte: "Nous sommes par un pays neutre". Itshak Meïr lui pose alors la question: "Comment peut-on rester neutre face à la haine et à la méchanceté??!" L'ancien ambassdeur s'est dit "trps attristé de cette attitude, surtout pour un personne comme lui ayant vu d'autres aspects de la mentalité helvétique". Mais il a surtout décrêté "que la notion de neutralité telle que la Suisse la brandit depuis toujours, n'est plus tenable. Cette neutralité entraîne des injustices telles que le refoulement des réfugiés juifs qui tentaient d'échapper aux griffes des nazis durant la Shoah"