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Blog : Riposte Sefarade

Des mosquées à n'en plus finir en France et en Europe !




La France est devenu le pays de la course aux mosquées. On dirait que les maires se bousculent pour être les chevaliers servants de l'islam ! Les raisons de ce nouvel empressement sont connues : l'islam est la deuxième religion de France, et la première par le nombre de ses pratiquants. Elle n'a donc plus à être confinée dans des « caves » : dignité oblige, mais contrôle aussi : les prêches souterrains pourraient être intégristes !

Voilà pourquoi « il paraît souhaitable que des lieux officiels et « ouverts » soient créés » afin que les musulmans puissent adorer leur Dieu sans se cacher, quitte à ce que les municipalités aident « de manière indirecte ces lieux de culte à se créer en toute visibilité ».

Ainsi parle Philippe de Longevialle, président du Modem de l'Isère ? qui incarne, à l'égard de l'islam, la position de la plupart des maires de France.

Evidemment, ce monsieur est en accord avec sa conscience d'élu : agissant en fonction des demandes de la population dont il a la charge, il respecte le jeu démocratique. Et l'on comprend soudainement pourquoi la laïcité est lettre morte à Mayotte, où la population est musulmane à 90 % ! Certes, ce monsieur avoue contourner la loi de 1905, dont l'article 2 stipule que « la République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte », mais ce n'est pas grave : faute avouée est à moitié pardonnée ! Et puis, tout le monde sait qu'en favorisant un islam de tolérance, on en limite un autre, dont on dit qu'il est radical. Ce faisant, on oublie que le second n'existerait pas sans le premier... mais passons : le confort mental mérite bien quelques simplifications !



Il reste que de nombreuses questions demeurent. Comment se fait-il, par exemple, qu'il faille surveiller les imams ? Surveillons-nous les rabbins, les prêtres ou les pasteurs ? Surveillons-nous les Témoins de Jéhovah, les Mormons, les évangélistes, les bouddhistes, les Adventistes du Septième Jour ? La laïcité leur est-elle un problème ? En conséquence, comment se fait-il qu'elle en soit un pour les musulmans, et pire, pour nos élus eux-mêmes sitôt qu'ils se trouvent confrontés à des musulmans ? Par quelle aberration la solution à ce problème ne vise-t-elle qu'à éviter la colère de ces derniers ? Pourquoi cette colère effraie-t-elle nos élus au point de n'être expliquée que par la sempiternelle « marginalisation d'une population en voie de radicalisation », pour reprendre les propos de Louis Marie Joguet, vice-président du Modem-Vendée et maire de la commune de Mallièvre ? Que peut, par ailleurs, signifier le terme de « marginalisation » appliqué à une population qui, en France, atteindra vingt millions d'âmes avant 2020 ? Plus encore, comment mettre sur un pied d'égalité l'identité de la République laïque et celle d'un ordre politico-religieux étranger à nos valeurs ? Et si nous savons qu'il y a là une dangereuse antinomie, pourquoi nous y enfonçons-nous toujours plus ? Pourquoi soutenir, avec Pierre le Guérinel, président du Modem des Yvelines, que « la loi de 1905 ne concerne pas, à proprement parler, la laïcité ? qui relève d'un autre domaine ? mais la séparation des pouvoirs » (sic !) ?

Bref, pourquoi déshabiller Marianne ? Pour la revêtir plus aisément d'une burqa ?

A coups de billevesées aussi énormes, il semble bien que cela soit possible. Et d'ailleurs, qu'est-ce qui ne serait pas possible pour des élus de cet acabit ? L'inconvénient, c'est que lorsque tout est possible, les scénarios catastrophes le sont aussi, et, n'en déplaise à quiconque, la France des mosquées en est un !

Comment ? Les musulmans n'ont-ils pas le droit d'avoir leurs lieux de culte ? Chaque religion n'a-t-elle pas ce droit-là ?

Oui, mais il serait peut-être utile de se demander ce que cultive le culte, car si le « culte » est un « hommage rendu à la divinité », cet hommage dépend de la divinité honorée.

On l'aura compris : tous les cultes ne véhiculent pas le même message, car ils n'honorent pas tous le même Dieu. Il suffit donc qu'un Dieu promette le feu éternel à ceux qui n'obéissent point à sa Parole (Sourate 4, verset 14), ou établisse l'inégalité des sexes (Sourate 4, verset 34), pour que son lieu de culte devienne ipso facto un problème ! Et ce problème ira en s'aggravant tant que nos élus ne seront pas capables de le penser comme problème.

Pourtant, il y a urgence : alors que Vincent Delahaye, maire de Massy, inaugure solennellement le panneau du permis de construire d'une mosquée-minaret gigantesque, une association musulmane, membre de l'Union des Organisations Islamiques de France, écrit dans son bulletin mensuel que « des gens modestes, sortis du désert d'Arabie avec comme seule puissance celle de leur foi, ont pu conquérir le monde » ! Alors que le ministère de l'Intérieur nous apprend que les pouvoirs publics apportent désormais 30 % des fonds nécessaires à l'édification des lieux de culte musulmans, un nombre considérable d'élus persistent à fouler aux pieds les lois de la République en finançant la construction de mosquées. Alors que l'invraisemblable vient de se produire dans l'enceinte des Nations Unies, où une séance de travail a débuté par la prière musulmane ( !), nous continuons à ancrer l'Europe dans l'islam en en matérialisant la présence par la construction de mosquées.

Mais ne comprendrons-nous jamais qu'il y a dans cette exigence musulmane de constructions de mosquées la volonté affichée de notre éradication culturelle ? Quand les mosquées seront la Charte de la nouvelle Europe, que sera donc l'Europe ? Les minarets ne sont-ils pas déjà les marqueurs idéologiques d'une Europe revue et corrigée par les musulmans ? Quelle autre religion exige sans cesse la construction de lieux de culte ? Quelle autre religion se pense en termes d'implantation territoriale ? Comment pouvons-nous avoir des yeux et ne pas voir ? Si encore nous modérions l'islam en le sortant des « caves » ! Mais c'est l'inverse qui est vrai : plus l'islam est visible, plus il est fort. Plus il est fort, plus il entend être visible ! Faut-il rappeler ce qu'est l'islam en terre d'Islam ? N'est-ce pas en terre d'Islam qu'il a la visibilité maximale ? N'est-ce pas là qu'il applique la charia dans ce qu'elle a d'incompatible avec le monde occidental, comme le montrent la répudiation, la polygamie, le voile, les châtiments corporels, la lapidation ou la décapitation ?

L'absence de modération de l'islam ne provient pas de ce qu'il serait relégué dans des « caves » : elle provient de son texte fondateur. Or, ce texte n'est pas rectifiable : il est la « rectitude » même, c'est-à-dire la « droiture », et cette « droiture » vaut en tout temps et en tout lieu, car elle émane de Dieu ! Pour le musulman, la religion ne saurait être un concept : c'est le réel en acte. Faire un pas sur cette terre, c'est marcher dans le champ d'Allah. La France, comme l'Europe, appartient à ce champ ! Voilà ce que nos responsables politiques n'ont toujours pas saisi, ou s'entêtent à ne pas vouloir saisir ! Voilà le sens des demandes permanentes de mosquées en France et en Europe !



Maurice Vidal
Source : Site de Riposte Laïque
9 commentaires
Au moins 2100 mosquées sont dénombrées en France[44], la plupart du temps un simple garage ou un local. En 1985, il y en avait environ 900 et seulement 5 en 1965[45]. Seule une douzaine d’entre elles a été construite pour cet usage. Selon Le Monde, la construction de grandes mosquées s'accélère, avec des projets dans plusieurs grandes villes françaises[46]. La plus ancienne école musulmane française est située sur l’île de la Réunion. Deux collèges musulmans existent, l'un à Aubervilliers (École de la réussite) et l'autre à Décines dans la banlieue de Lyon (Collège-Lycée Al Kindi). Un lycée vient également d'ouvrir à Lille, le lycée Averroès.

La loi de séparation de 1905 fait que les écoles publiques ne peuvent pas être confessionnelles. Les parents souhaitant que leurs enfants étudient
Envoyé par Jacqueline_013 - le Samedi 2 Mai 2009 à 18:34
Le patrimoine juif,
composante du patrimoine national
par Max POLONOVSKI
Conservateur en chef du patrimoine,
Chargé de mission pour la protection du patrimoine juif

Conférence prononcée en mars 2003 au Colloque de la
Société d'Histoire des Israélites d'Alsace et de Lorraine


Je tiens à remercier, tout d'abord, les organisateurs de ce colloque de m'avoir invité à venir parler ici d'un thème qui regarde la Société d'Histoire des Iisraélites d'Alsace et de Lorraine au premier chef. La situation dans laquelle je me trouve ici au milieu de vous me fait penser à cette histoire juive qui veut que lorsque vous racontez une histoire drôle – a witz – à un juif, non seulement il ne rit pas, mais il vous répond : "d'abord je la connaissais et en plus je la raconte mieux". C'est pourquoi je ne vais pas vous dresser un tableau des trésors et richesses que recèle l'Alsace et la Lorraine en matière de patrimoine juif que vous connaissez mieux que moi, mais je vais m'attacher à situer les problèmes posés par la conservation de ce patrimoine, en tant que partie intégrante du patrimoine national.


La notion de patrimoine
En premier lieu, que recouvre la notion de patrimoine ? J'en donnerai une définition restreinte, celle dans le cadre duquel s'exercent les activités du Service des Monuments historiques depuis un peu plus de 150 ans. Il s'agit essentiellement d'un patrimoine mobilier et immobilier, intéressant l'histoire et l'art. Nous ne parlons donc pas ici de patrimoine littéraire ou musical, mais plutôt historique, architectural, urbanistique, artistique et archéologique. Reconnus comme monuments historiques, ces éléments patrimoniaux jouissent d'une protection légale et peuvent éventuellement bénéficier d'une aide financière de l'état pour leur conservation.

Le service des monuments historiques est né après la révolution de 1830. Ce furent d'abord les vestiges du moyen-âge qui furent remis à l'honneur. Le romantisme de l'époque adopta les monuments qu'une longue période de clacissisme avait dédaigné. Une doctrine s'établit bientôt qui privilégiait les églises romanes et gothiques, les châteaux du moyen-âge et de la Renaissance. Si les périodes historiques plus récentes furent peu à peu reconsidérées au fur et à mesure que l'on s'est avancé dans le 20e siècle, c'est toujours dans cette catégorie d'architecture que les classements au titre des monuments historiques se sont opérés.

C'est ainsi que des éléments appartenant au patrimoine juif ont fait leur entrée dans le parc des monuments protégés. Les synagogues de Cavaillon et de Carpentras en 1924, la synagogue de Trets en 1926. Il est évident que c'est le caractère archéologique de cette dernière, et le caractère artistique des deux premières qui ont justifié leur classement. C'est en ce que les critères habituels de protection s'appliquaient parfaitement que le classement n'a pas posé de problème (décor baroque, 18e siècle, grande qualité, malgré ou à cause de l'étrangeté de la nature de l'édifice cultuel). C'est le critère de l'histoire de l'art plutôt que celui de l'histoire qui a pratiquement toujours prévalu au sein de la commission supérieure des monuments historiques.


Une nouvelle sensibilité
Ce n'est que depuis une vingtaine d'années qu'une nouvelle sensibilité s'est faite jour. Elle est marquée par l'année du Patrimoine en 1980 lancée par Jean-Philippe Lecat. La notion de patrimoine devient plus affective. On englobe tout une série de catégories dont la valeur en tant que telle n'avait pas encore été perçue : c'est le patrimoine industriel, le patrimoine maritime, le patrimoine instrumental, ce sont aussi les cinémas, les devantures de magasins, le patrimoine du 20e siècle. C'est dans ce contexte que le patrimoine juif apparaît en tant que tel pour la première fois dans une circulaire. C'est ce que l'on appelle de la discrimination positive. La circulaire en question demandait aux différents services régionaux de faire des propositions de protection de synagogues et de faire preuve d'indulgence quant à leur qualité et de ne pas leur appliquer les critères habituels de sélection. Le ministre donna d'ailleurs l'exemple avec le classement en totalité de la synagogue de Lunéville, exemple je crois pratiquement unique de décision d'un ministre sans prendre l'avis de la commission des monuments historiques.

Les services furent un peu pris de court. En l'absence d'inventaire, ils firent des propositions un peu au hasard. Les lenteurs de l'administration firent que ce ne fut que quatre ans après qu'une commission se réunit pour examiner les dossiers retenus. Une seule séance sensée rattraper 150 ans. Les critères de jugement étaient plus que flous. Phalsbourg fut refusé, de même que Pont-à-Mousson. Cette dernière a été détruite depuis. Phalsbourg a été réexaminée dix ans après.


Le patrimoine juif au sein du patrimoine national
C'est donc une reconnaissance récente, dans un cadre général d'une perception élargie du patrimoine architectural. Et s'il faut se réjouir de cette prise en compte d'un aspect important de notre histoire nationale, il faut reconnaître que sur le plan des effets pratiques de cette reconnaissance, on peut s'interroger. En effet, comme je l'ai dit, le patrimoine juif n'a pas été le seul à être redécouvert depuis les années 80.

Quelques chiffres vous donneront une idée de la part que ce patrimoine représente au sein du patrimoine national. Combien y a-t-il d'églises et de chapelles en France ? 50 ou 60 000 ? Combien y a-t-il de châteaux et manoirs dans notre beau pays ? 120 à 150 000 ? Il y a environ 40 000 édifices protégés au titre des monuments historiques, classés ou inscrits. Il y en a une cinquantaine relevant du patrimoine juif. Il est évident que les moyens financiers du Ministère de la Culture n'ont pas suivi la croissance exponentielle du nombre de monuments protégés. Si, déjà, il y eut toujours de grande difficultés à faire face aux besoins de restauration que réclamait un patrimoine ancien, il est aujourd'hui impossible de faire face à la simple demande d'entretien que demande des édifices de plus en plus nombreux, de plus en plus récents qui alourdissent sans cesse le parc des monuments historiques. Dans ces circonstances, le rôle de l'Etat consiste à surfer sur la crête des demandes, essayant de satisfaire aux pressions locales et électorales.

Et pourtant quel poids pèse le patrimoine juif ? Les besoins sont-ils si grands qu'il ne puisse trouver les moyens de sa pérennité ? Que représentent le nombre de synagogues (moins de 200), de cimetières (180 dont 53 antérieurs à la Révolution), en tout pour ces deux catégories moins de 400 monuments ? C'est dire combien on peut en faire facilement le tour.

Envoyé par Jacqueline_013 - le Samedi 2 Mai 2009 à 18:40
CHERCHER DONC LES ERREURS ENTRE MOSQUEES ET LES EGLISES ET LES SYNAGOGUES !!! d' où vient
l 'invason ?
Envoyé par Jacqueline_013 - le Samedi 2 Mai 2009 à 18:42
Une invasion payée à nos frais, qui plus est! : "Les pouvoirs publics apportent 30% des fonds nécessaires à l'édification des lieux de culte musulmans"
Inadmissible.
Pourquoi l'état français nous impose-t-ll la construction de ces mosquées, qui poussent comme des champignons, et qui dévisagent notre patrimoine culturel?
Et surtout comment se fait-il que personne n'en ait été informé avant? On nous met face au fait accompli, sans nous concerter.
La raison évoquée? L'état soutient la construction de ces mosquées pour les rendre plus transparentes aux yeux de la loi, donc plus "controlables"... (ça reste à voir..)
Encore une fois... mauvais calcul!
Car cette pseudo transparence, qui justifierait l'édification de ces mosquées dans les règles, pour favoriser un controle de l'état...ne résoud pas le problème de fond, à savoir : la destruction du socle identitaire français.
Envoyé par Elisa_004 - le Samedi 2 Mai 2009 à 22:37
La loi francaise interdit des prets ou de fiancer des lieux de culte. J'espère qu'elle est toujours en vigueur, car je ne tiens pas à fiancer des mosquée avec mes denniers. D'autre part, comment réagissent-ils les voisins qui vivent à proximite, si 5 fois par jours, ils doivent entendre l'iman appeler ces fidèles par chants et prières, sur hauts parleurs. Il y a t-il eut des modifications, ou restrictions apporter à ces pratiques? Sinon, pauvres voisins!! Shavouah tov Gerard David
Envoyé par Gerard.david - le Dimanche 3 Mai 2009 à 02:02
voilàpour Marseille ...
Une grande mosquée de 2500 m² pour 4000 fidèles, une école coranique pour 120 élèves, un restaurant de 230 couverts, une bibliothèque pour 150 personnes, une librairie pour 130, un parking souterrain de 250 véhicules : les anciens abattoirs vont céder la place au plus grand site islamique de la ville, qui s’étalera sur 6500 m². Et pourra contenir jusqu’à 8000 personnes. La Mecque des Bouches-du-Rhône, quoi !

Encore faudra-t-il que l’argent suive. C’est justement sur cette question que planchent Nourrédine Cheikh et l’Association de la Grande mosquée, qu’il préside, avec l’étroite collaboration de Mourad Goual, adjoint de Guy Teissier. Le terrain a été cédé par la Ville et le cabinet d’architecture choisi. Reste donc à recevoir les dons (Marseille compte 200 000 musulmans) sans lesquels la grande mosquée ne pourrait se faire.
Envoyé par Jacqueline_013 - le Dimanche 3 Mai 2009 à 08:18
avant de parler de mosquées, il faudrait peut etre se preoccuper de l'invasion islamique de la France !
les mosquées ne sont que le resultat de cette invasion !
alors arretons de se cacher la tete dans le sable ...d'arabie ...
Envoyé par David_098 - le Dimanche 3 Mai 2009 à 12:04
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Hilda - le Dimanche 3 Mai 2009 à 12:23
À Bergame en Italie, la piscine sera réservée aux musulmanes une heure par semaine

La Grande Mosquée de Marseille, le permis de construire bientôt déposé

Dans la ville de Gouda, désormais réputée pour sa jeunesse musulmane qui attaque les conducteurs de bus, les ambulanciers, les pompiers et les agents de police, deux jeunes marocains ont été arrêtés par la police pour avoir jeté des pierres sur des jeunes filles néerlandaises.

Souleymane, 26 ans, est accusé de s’être attaqué 4 fois au domicile d’une vieille dame à Palaiseau, de l’avoir séquestrée et battue. Après une première tentative, l’homme est parvenu à forcer le domicile de la retraitée de 82 ans. Pendant de longues heures, Souleymane va la frapper tout en récitant des passages du coran.

La Seyne-sur-Mer : « Le Coran l’invite à corriger son épouse »

Une jeune italienne de 23 ans a subi des sévices sexuels de la part d’un Egyptien clandestin à la fin du défilé du premier mai à Milan.

bivouac-id
Envoyé par Buffalo Soldier - le Dimanche 3 Mai 2009 à 12:40
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Dernière mise à jour, il y a 44 minutes