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Blog : AshomerUne loi pour le statut de JérusalemA l'occasion du Yom Yeroushalayim où l'on célèbre la réunification de la capitale d'Israël, le leader de la coalition, Zeev Elkin, a présenté, avec d'autres chefs de formations parlementaires, une proposition de loi visant à fixer une fois pour toutes le statut de Jérusalem.On peut dire que la question est d'actualité, étant donné que le président des États-Unis Barack Obama a fait savoir en 3 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 36 minutes
Etant donné que Jérusalem Est à été conquis en 1967 et annexé d 'office , il est tout à fait normale que notre capitale reste entière et indivisible et que les Israeliens puissent construire de nouvelles cités sur la parti Est ..;
Le gouvernement devait même exproprier tous les arabes squattent cette ville et qui la dégrade en ne respectant rien ...une Loi serait donc la bienvenue ...
On peut dire que la question est d’actualité, étant donné que le président des États-Unis Barack Obama a fait savoir en début de semaine, après sa rencontre à la Maison Blanche avec Netanyahou, qu’il avait élaboré un nouveau “plan de paix” pour le Proche-Orient, prévoyant notamment la création d’un Etat palestinien dont “Jérusalem-Est” serait la capitale. En outre, toujours d’après ce programme, la Vieille Ville deviendrait une “zone internationale sous le contrôle de l’Onu”.
Selon ce projet de loi, tout changement dans les contours municipaux de la ville ne pourra se faire qu’avec l’appui d’une large majorité de 80 députés, au lieu de la majorité habituelle exigée qui est de 61 voix.
Elkin n’est pas le seul à vouloir prendre ses précautions: il a été rejoint par le chef du groupe parlementaire d’Israel Beteinou, Robert Ilatov, ainsi que par le député Avraham Michaeli, du parti Shass, par Zevouloun Orlev, de Habayit Hayehoudi, par Ouri Ariel du Ihoud Leoumi et par le député de l’opposition Othniel Schneller (Kadima).
Le député Elkin a expliqué qu’il souhaitait par cette nouvelle loi, qui est en fait un amendement de la loi fondamentale, confirmer une fois pour toutes l’unité de la ville et assurer l’avenir de la capitale tout en veillant à la sécurité de ses habitants.
La loi actuelle définit l’étendue du territoire de Jérusalem conformément à ce qui a été fixé le 28 juillet 1967. Elle interdit en outre que le contrôle de la ville soit confié à une autorité étrangère, à moins que ce changement ne soit décidé à une majorité de 61 députés. Elkin a expliqué sa démarche de la façon suivante: “Jérusalem est une ville qui a un statut particulier, avec une signification historique pour le peuple juif dont elle est la capitale éternelle”. Il a ajouté que des générations de Juifs s’étaient engagés à la préserver en tant que capitale du peuple juif. Et de poursuivre: “C’est pourquoi la Knesset doit faire en sorte que rien ne pourra jamais porter atteinte à la capitale d’Israël”.
Il faut rappeler qu’un projet de loi similaire avait déjà été soumis à la Knesset précédente, cette fois par le député Likoud Guideon Saar (devenu ministre de l’Education). Parmi les signataires figurait à l’époque … Binyamin Netanyahou.
En guise de conclusion, Elkin a déclaré: “J’espère que le gouvernement actuel permettra le vote de cette loi. Cela ne signifie pas qu’il y aura un affrontement avec Obama. Il existe actuellement à la Knesset une large majorité en faveur de l’unité de Jérusalem mais il faut également penser aux générations futures”.
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1] Selon l’AFP, la France condamne par la voix du Quai d’Orsay cette déclaration qui préjuge des négociations finales et qui est un obstacle à la paix. : "Or il appartient aux parties de parvenir à un accord final et général sur le statut définitif, qui mette fin au conflit. La feuille de route rappelle que cet accord prévoit un règlement négocié de la question du statut de Jérusalem qui tienne compte des préoccupations politiques et religieuses des deux parties et qui soit conforme au principe de deux Etats, Israël et une Palestine souveraine, indépendante, démocratique et viable, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité...Des actions comme la destruction de maisons palestiniennes ou la transformation des quartiers arabes risquent d’engendrer une escalade de la violence. Elles sont inacceptables et contraires au droit international.
De manière générale, la France condamne la poursuite de la colonisation, y compris à Jérusalem-Est. Nous rappelons l’exigence d’un gel des activités de colonisation, y compris celles liées à la croissance naturelle".
[2] voir aussi l’AFP relayée par Cyberpress