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Blog : Sérum de LibertéObama et ses amis Gates et Cornel WestWND rapporte qu'un proche associé et collègue du professeur de Harvard, Henry Louis Gates Jr. (photo), lié aux radicaux noirs, Cornel West (photo), a présenté le Président Barack Obama lors d'une collecte de fonds à Harlem en 2007 en dénoncant le système judiciaire "raciste" de l'"Empire américain". "Il est mon frère, mon compagnon et mon camarade" a déclaré West à propos d'Obama. Dans une vidéo de l'événement, Obama entre en scène après la présentation de Cornel West et lui exprime sa gratitude, le qualifiant de "not only a genius, a public intellectual, a preacher, an oracle ... he's also a loving person." Cornel West qui est professeur à l'Université de Princeton, a également été conseiller pour la Million Man March de son ami proche Louis Farrakhan. Louis Farrakhan était encore il y a peu, le chef raciste, antisémite et homophobe du groupuscule ethnocentriste Nation of Islam. Farrakhan a ainsi qualifié le judaïsme de «religion de suceurs de sang» ou de «religion de caniveau» c'est au choix, les juifs de "sangsues" et qualifié les Blancs de «diables aux yeux bleus». Ainsi, le gouvernement britannique a-t-il interdit l'entrée sur son territoire à Louis Farrakhan en 1986, suite à sa déclaration selon laquelle Adolf Hitler avait été « un grand homme ». West (photo ci-dessous) a également appartenu à un groupe socialiste américain et entretient de nombreux liens avec les milieux radicaux noirs. Par ailleurs, West a qualifié les Etats-Unis de nation "raciste et patriarcale" dirigée par la "suprématie blanche" et déclaré que les attentats terroristes du 11 septembre avaient permis de donner aux Blancs un aperçu de ce que cela signifiait d'être un Noir aux Etats-Unis. West a écrit deux livres sur les races avec l'ami d'Obama, le professeur Gates, qui était encore il y a peu au centre d'une polémique raciale après son arrestation mouvementée par un policier blanc. Professeur à Harvard, Gates a su incorporer plusieurs radicaux noirs au sein de son département de recherche, dont Cornel West qui a quitté Harvard pour Princeton en 2002 après une dispute publique avec le président d'Harvard de l'époque, Lawrence Summers. Cornel West et le comédien Chris Rock ont tous les deux présenté Obama lors de la collecte de fonds en 2007, un événement réunissant près de 1500 personnes. Obama a d'ailleurs nommé West au Conseil Consultatif Noir de sa campagne présidentielle. Lorsqu'il était jeune, West a proclamé qu'il admirait "the sincere black militancy of Malcolm X, the defiant rage of the Black Panther Party ? and the livid black [liberation] theology of James Cone." Malcolm X était un raciste et un antisémite. La même théologie de Cone défendue par l'ancien "conseiller spirituel" de Barack Obama, le raciste Jeremiah Wright qui marié les Obama et baptisé leurs deux filles. West avait d'ailleurs pris la défense du pasteur lors de la campagne présidentielle de 2008 alors même que Wright affirmait dans un sermon, que les Etats-Unis devaient être tenus pour responsables du 11 septembre et aboyé: "Que Dieu maudisse l'Amérique"; il a aussi accusé le gouvernement des Etats-Unis de chercher à éliminer physiquement les Noirs en les droguant et en répandant parmi eux des maladies mortelles... En 2002, West a signé une "Déclaration de Conscience" de C. Clark Kissinger du Parti Communiste Révolutionnaire. Il a aussi soutenu la campagne intitulée "World Can't Wait", projet du Parti Communiste Révolutionnaire dont le but est d'organiser les "people living in the United States to take responsibility to stop the whole disastrous course led by the Bush administration." Après avoir qualifié les Etats-Unis de nation "raciste" et "patriarcale" dans son livre "Race Matters", West a écrit: "White America has been historically weak-willed in ensuring racial justice and has continued to resist fully accepting the humanity of blacks." Dans le même ouvrage, West écrit à propos des attentats terroristes du 11 septembre: "Since 9/11, the whole nation has the blues, when before it was just black people." Petit rappel: Barack Obama a qualifié l'ancien membre de sa campagne présidentielle, Cornel West de "not only a genius, a public intellectual, a preacher, an oracle ... he's also a loving person." 11 commentaires
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Il y a 2 heures - Kountrass
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Dernière mise à jour, il y a 28 minutes
Les Juifs américains se sont donc bien laissé tromper - tout comme nombre de Juifs français, qui n'auraient pas voté pour Mitterrand s'ils avaient su ses liens d'étroite amitié avec René Bousquet.
ES USA MAIS SURTOUT ISRAEL..
LES REACTIONS NE VONT PEUT ETRE PAS TARDER !!!! L'AMERIQUE N'EST PAS LA FRANCE CE PAYS DE COLLABOS , TROUILLARDS ET SANS HONNEUR , COMME LE DIT TRES JUSTEMENT HILDA.....
Le masque tombe. Dès l'entrée en scène de ce grand noir, j'ai "tiqué", en particulier lorsque j'ai appris son prénom muslim "hussein", même soigneusement dissimulé pendant la campagne électorale.
Ce type-là, dont on n'est même pas sûr qu'il soit américain, n'a vraiment rien à faire à la tête du pays le + puissant du monde. Il en est même un danger permanent, vues ses relations + que douteuses.
HAM ISRAEL HAYE (devant bab-el-muzz, ex-maison blanche)
Ce que fait ici le Président américain vous semble-t-il légitime ? Autrement dit, est-il permis de banaliser la Shoah , même pour éduquer les masses a plus de compassion les uns envers les autres ?
Si l’on en juge par la fameuse déclaration faite a l’Université du Caire, ou la Shoah pouvait être entendue comme directement liée a la création de l’Etat d’Israël et a la Nakba, est-il possible que l’intention du Président Obama, dans son discours au Ghana ait été en fin de compte maligne ?
par Gilles William Goldnadel
[Mardi 04/08/2009 14:33]
Depuis le début de son mandat, Barack Obama ne cesse de faire des gestes envers le monde musulman et le monde arabe en particulier. Dans un cas de figure de relations entre pays occidentaux, ces gestes auraient effectivement entraîné des gestes de bonne volonté en retour. C’est sans doute dans cette optique que le président américain espérait avancer dans le dossier du Proche-Orient, tablant sur une attitude positive de la part du monde arabe, tandis qu’il pourrait à loisir faire pression et être ferme envers Israël uniquement.
Or jusqu’à présent cette stratégie ne lui a guère réussi. La seule et unique chose qu’il escomptait de la part des pays arabes était un pas vers la normalisation envers Israël, ne serait-ce que pour couper l’herbe sous les pieds de l’argumentaire du gouvernement israélien, estimant avec raison que les lourdes concessions qui sont exigées de la part d’Israël ne sont assorties d’aucune garantie de la part du monde arabe.
Cela fait ainsi trois ministres arabes, qui en trois jours, refusent officiellement à Barack Obama de prendre des mesures ô combien symboliques dans le sens d’une normalisation. Pour ce qui concerne la Jordanie, il s’agissait de l’ouverture de chambres de commerce, échange d’universitaires ou simplement autorisation de survol du territoire par des avions de lignes israéliens. Gestes du reste tout à fait anodins entre deux pays voisins vivant en paix!
Ces déclarations n’ont pas empêché Hillary Clinton de féliciter la Jordanie « pour son action en faveur du processus de paix » et de critiquer Israël sur le point des implantations juives et de l’évacuation des familles arabes, osant même utiliser le terme fort peu diplomatique de « provocations ».
Bienvenue dans le monde de la réalité, Mr. Obama!