Blog : L'actu vue par JSS

Je ne sais pas comment c' est écrit en hébreu ... Mais s'il est dit, sur ce visa, " territoires palestiniens " expressis verbis, je trouve ça inquiétant - car c'est une manière subreptice de reconnaître que la Judée et la Samarie sont ... " palestiniennes " ... : le doigt dans l'engrenage ...

Hilda et Edmond , moi je vois un peu autrement .
Avec un visa pour Israel les gens avec pas tjrs des bonnes attentions étains libre de passer au autre cote , sans
problème et aussi sans que leur pays à une trace ou ils sont vraiment !
Faut mettre carte sur table - soit on visite Israel ou les autres !
C'est mon avis , peut etre que je me trompe !

Edmond parfaitement écrit
La Judée et la Samarie sont des territoires intégralement Juif et donc Israelien. nul de notre génération ne peut mettre en cause se principe établit depuis des millenaires. pas un cm² de la terre que l'eternel nous à confié pour l'eternité ne doit faire l'objet du moindre marchandage.
les musulmans de Palestine peuvent acquérir la nationalité Israelienne leur conférant les memes droits et devoirs que les autres habitants à condition bien entendu qu'ils s'engagent par écrit et devants deux témoins à respecter les habitants Juifs de ce pays et de reconnaitre la souveraineté du peuple d'Israel sur cette terre.
En conséquence toutes les portes doivent leur etre ouverte y compris la politique. En cas de trouble à l'ordre publique ou en cas de renoncement à leur engagement ils devront subir la loi de ce pays. Je pense que la est la seule solution c'est un risque important à prendre.

Oui , Hilda , tout ça est vrai !
Dommage sur Guysen TV ils ont bien expliqué , mais ça me est sortie de tête ! Mais sur le moment j'ai pensée que ça est une bonne chose . Je vais encore regarder pour savoir exactement ! Il me semble , je dis bien que il me semble ça été surtout fait que les palos peuvent plus librement circuler sans véritable contrôle . Mais comme je dis , je me rappelle pas exactement , peut etre que je me trompe .

Et si je ne me trompe pas ça été question surtout de Gaza !

Si la définition de visa est: un cachet apposé sur un passeport donnant le droit de séjourner dans un pays, je ne vois pas comment Israël peut autoriser la création d´un Visa "Territoire Palestinien", ce dernier n´éxistant pas en tant que pays, le plus adéquat (à moins d´un acte tendancieux), pour visiter ces territoires occupés (par les palestiniens), serait l´appellation "cartes de tourisme".

Voila , que j'ai trouvée pour ces visas !

Des visas « Palestine only »
DUMONT,SERGE

Mercredi 19 août 2009

Proche-Orient Restrictions pour les visiteurs des territoires palestiniens
TEL-AVIV

DE NOTRE CORRESPONDANT

Autorité palestinienne seulement. » Dans la torpeur de l’été, Israël a discrètement introduit un niveau visa destiné aux personnes se rendant en Cisjordanie. Cette norme oblige les personnes désireuses de visiter les territoires palestiniens à transiter par la Jordanie pour pénétrer en Cisjordanie par le pont Allenby, le point de passage habituel. Là, les militaires israéliens apposent le cachet « Palestinian Authority only », ce qui signifie que les touristes, membres de familles ou amis devront se contenter de circuler dans les zones contrôlées par l’AP mais ne pourront pas se rendre en Israël. Ni même à Jérusalem-Est, la partie arabe de la ville annexée par Israël en 1967.

Contacté par téléphone, le cabinet du vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur Elie Yishaï (le leader du parti ultra-orthodoxe Shas) confirme que la mesure s’applique également aux visiteurs d’origine palestinienne qui débarquent à l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.

Depuis l’entrée en vigueur du nouveau visa, la mésaventure est également arrivée à des représentants d’ONG européennes ainsi qu’à des délégations françaises, italiennes et américaines. Des employés de l’Unwra, l’agence des Nations unies chargée d’aider les réfugiés palestiniens, ainsi que d’autres fonctionnaires des Nations unies qui venaient d’atterrir à Tel-Aviv se sont également vu refuser le droit d’entrer en Israël.

Les organisations israéliennes et palestiniennes de défense des droits de l’homme dénoncent le nouveau visa israélien comme un « symbole de l’apartheid ».

Dans les cercles diplomatiques étrangers, l’instauration du nouveau visa soulève également une tempête mais celle-ci garde le caractère feutré qui sied à ce milieu. Plusieurs ambassadeurs européens en poste à Tel-Aviv et consuls généraux en poste à Jérusalem ont fait connaître leur préoccupation à leurs interlocuteurs du ministère israélien des Affaires étrangères. La Grande-Bretagne et les États-Unis ont également manifesté leur mécontentement. Sans résultat jusqu’à présent. En revanche, le ministre israélien du Tourisme a écrit à son collègue Yishaï pour attirer son attention sur les risques que sa politique restrictive fait courir au secteur hôtelier d’Israël.

Mais Yishaï ne s’y intéresse guère. Car le leader du Shas est l’un des chefs de file de l’aile la plus dure du gouvernement. Lundi, accompagné de trois collègues parmi lesquels le ministre des Questions stratégiques Moshé Yaalon, il s’est d’ailleurs rendu en Cisjordanie afin de dire aux colons de « ne pas se décourager ». Il s’est prononcé en faveur de la reconstruction des quatre implantations évacuées puis démolies en même temps que celles de la bande de Gaza (août 2005).

Les commentateurs israéliens estiment que le durcissement de la politique des visas ainsi que la visite de Yishaï en Cisjordanie ne sont pas dus au hasard. « Ils interviennent au moment où l’administration Obama élabore un nouveau plan de paix pour le Proche-Orient et où le président américain reçoit Hosni Moubarak à Washington pour en discuter, affirme le chroniqueur politique Chico Menaché. Puisqu’ils ne veulent pas en entendre parler, les faucons du gouvernement se mettent en ordre de bataille pour le torpiller. »

Colonies : un « geste » d’Israël

Sous pression de Washington, Israël s’est dit mardi disposé à freiner temporairement la colonisation en Cisjordanie en gelant les appels d’offres à la construction de logements jusqu’au début 2010, ce qui n’empêcherait pas la poursuite des projets privés. La décision israélienne a été aussitôt rejetée par les Palestiniens qui ont fait valoir que la colonisation se poursuivait via des organismes privés ou relevant de municipalités (mais largement subventionnés par l’État). Le président Obama a salué « un geste dans la bonne direction ». (afp)

Donc , si ça fait tellement ch... , que ils commencent à pleurer , ça dit pour moi , c'est bien réfléchi !
Israel fait ça pas sans raison !